Les histoires racontées par Jésus : La parabole des brebis et des boucs, Matthieu 25.31–46

Par Peter Amsterdam

mai 23, 2019

[TSJT: The Parable of the Sheep and the Goats]

La parabole des brebis et des boucs, qui concerne le retour du Fils de l’Homme, est l’une des trois paraboles rapportées en Matthieu 25. Les deux autres sont Les dix vierges et le roi et les intendants[1], également appelée parabole des talents et des lingots/pièces. Ces trois paraboles comparent deux groupes de personnes : les cinq vierges sages et les cinq vierges folles ; ceux qui investissent leurs talents et ceux qui les enterrent ; et dans cette parabole-ci, les « brebis » et les « boucs ».

La parabole commence ainsi :

Quand le Fils de l’homme viendra dans sa gloire, avec tous ses anges, il prendra place sur son trône glorieux. Tous les peuples de la terre seront rassemblés devant lui. Alors il les divisera en deux groupes — tout comme le berger fait le tri entre les brebis et les boucs. Il placera les brebis à sa droite et les boucs à sa gauche.[2]

Ces mots d’introduction reflètent l’enseignement de Jésus sur son rôle lors du jugement final. Dans un autre passage de l’évangile de Matthieu, nous lisons que le Fils de l’Homme siège sur un trône :

Jésus leur dit : —Vraiment, je vous l’assure : quand naîtra le monde nouveau et que le Fils de l’homme aura pris place sur son trône glorieux…[3]

Nous apprenons aussi que les anges seront à ses côtés :

Le Fils de l’homme viendra dans la gloire de son Père, avec ses anges, et alors il donnera à chacun ce que lui auront valu ses actes.[4]

Et qu’Il aura le pouvoir de prononcer des jugements :

En effet, comme le Père possède la vie en lui-même, il a accordé au Fils d’avoir la vie en lui-même.Et parce qu’il est le Fils de l’homme, il lui a donné autorité pour exercer le jugement.[5]

Lorsqu’Il déclare que « tous les peuples de la terre » seront rassemblés devant Lui, Jésus se réfère au jugement universel de toute l’humanité. Jésus compare l’humanité à un troupeau composé de brebis et de boucs. Les troupeaux de moutons et de chèvres paissaient souvent ensemble, et certains auteurs indiquent que les bergers séparaient les moutons des chèvres chaque soir, parce que les chèvres, étant plus sensibles au froid, avaient besoin d’un abri couvert tandis que les moutons préféraient l’air libre. Quelle qu’en soit la raison, la parabole suppose que les bergers de troupeaux mixtes séparent parfois les moutons des chèvres. De la même manière, la parabole nous dit que le Fils de l’Homme séparera les gens en deux groupes, plaçant les uns à sa droite et les autres à sa gauche.

Le thème de la séparation et du jugement se retrouve tout au long des paraboles de l’évangile de Matthieu. La parabole du blé et de la mauvaise herbe se termine par le maître disant aux serviteurs de laisser pousser la mauvaise herbe en même temps que le blé :

Laissez pousser les deux ensemble jusqu’à la moisson. A ce moment-là, je dirai aux moissonneurs : « Enlevez d’abord la mauvaise herbe et liez-la en bottes pour la brûler : ensuite vous couperez le blé et vous le rentrerez dans mon grenier. »[6]

Dans la parabole du filet, les pêcheurs tiraient leurs filets sur le rivage avant de s’asseoir pour trier leurs prises : ils mettaient les bons poissons dans des paniers et rejetaient les mauvais.

C’est ainsi que les choses se passeront à la fin du monde : les anges viendront et sépareront les méchants d’avec les justes.[7]

Dans La parabole des Dix Vierges, les cinq vierges qui n’avaient pas assez d’huile durent quitter la noce et trouvèrent les portes fermées à leur retour. Et elles eurent beau crier :

« Seigneur, Seigneur, ouvre-nous ! » Il leur répondit : « Vraiment, je vous l’assure : je ne sais pas qui vous êtes. »[8]

Dans la parabole du roi et des Intendants, ceux qui avaient reçu deux ou cinq talents et les avaient judicieusement investis furent récompensés, mais l’homme qui avait reçu un talent et l’avait enterré parce qu’il avait pris peur fut jeté dans les ténèbres du dehors :

« Quant à ce vaurien, jetez-le dans les ténèbres du dehors, où il y aura des pleurs et d’amers regrets. »[9]

Toutes ces paraboles indiquent qu’à l’heure du jugement, il y aura séparation.

Puis, Jésus ajoute quelques détails supplémentaires :

Après quoi, le roi dira à ceux qui seront à sa droite : « Venez, vous qui êtes bénis par mon Père : prenez possession du royaume qu’il a préparé pour vous depuis la création du monde. Car j’ai souffert de la faim, et vous m’avez donné à manger. J’ai eu soif, et vous m’avez donné à boire. J’étais un étranger, et vous m’avez accueilli chez vous. J’étais nu, et vous m’avez donné des vêtements. J’étais malade, et vous m’avez soigné. J’étais en prison, et vous êtes venus à moi. » Alors, les justes lui demanderont : « Mais, Seigneur, quand t’avons-nous vu avoir faim, et t’avons-nous donné à manger ? Ou avoir soif, et t’avons-nous donné à boire ? Ou étranger et t’avons-nous accueilli ? Ou nu, et t’avons-nous vêtu ? Ou malade ou prisonnier, et sommes-nous venus te rendre visite ? » Et le roi leur répondra : « Vraiment, je vous l’assure : chaque fois que vous avez fait cela au moindre de mes frères que voici, c’est à moi-même que vous l’avez fait. »[10]

Le Fils de l’Homme est maintenant appelé le Roi, et ceux qui sont invités à hériter du royaume sont bénis. Ils sont confirmés en tant que membres du royaume de Dieu et ils partagent l’autorité de leur Seigneur comme dirigeants, en raison de la façon dont ils ont vécu. Nous avons le même concept dans le livre de l’Apocalypse :

On n’aura donc plus besoin ni de la lumière d’une lampe, ni de celle du soleil, car le Seigneur Dieu répandra sur eux sa lumière. Et ils régneront éternellement. [11]

Ils seront prêtres de Dieu et du Christ, et ils régneront avec lui pendant les mille ans.[12]

Jésus énumère six actions qui contribuent à répondre aux besoins des autres. Donner à manger à ceux qui ont faim et donner à boire à ceux qui ont soif sont deux actes de bienveillance fondamentaux. Tout au long de l’Ancien Testament, nous trouvons des commandements enjoignant de nourrir ceux qui sont dans le besoin :

Le jeûne qui me plaît … C’est partager ton pain avec ceux qui ont faim.[13]

Voici un homme qui est juste et qui agit avec droiture et selon la justice … il donne son pain à celui qui a faim …[14]

Si ton ennemi a … soif, donne-lui à boire.[15]

Accueillir un étranger, c’est faire entrer chez soi une personne inconnue. Cette gentillesse et cette hospitalité reflètent l’enseignement de l’Ancien Testament.

Le jeûne qui me plaît est … (d’)offrir l’hospitalité aux pauvres sans abri.[16]

Le vieillard dit alors : —La paix soit avec toi ! Sois le bienvenu ! Laisse-moi pourvoir à tous tes besoins, tu ne vas pas passer la nuit sur la place. Il le fit entrer dans sa maison et donna du fourrage aux ânes, les voyageurs se lavèrent les pieds, puis ils mangèrent et burent.[17]

Dans l’Ancien Testament, donner des vêtements à ceux qui étaient nus était un acte louable.

Voici un homme qui est juste et qui agit avec droiture et selon la justice … il donne son pain à celui qui a faim et des vêtements à celui qui n’en a pas.[18]

Le jeûne qui me plaît … c’est donner des habits à celui qu’on voit nu.[19]

Visiter et soigner les malades était considéré comme un acte bienveillant et un devoir religieux, mentionné à plusieurs reprises dans les écrits juifs à l’époque antérieure à Jésus, et encore davantage dans les écrits chrétiens.

A l’époque romaine, les prisons servaient de lieux de détention des accusés en attendant le procès, par opposition à une incarcération de longue durée. Les détenus dépendaient le plus souvent de leur famille et de leurs amis pour obtenir leur nourriture, de l’eau et d’autres besoins essentiels. Nous en avons un aperçu dans une lettre de l’apôtre Paul où il parle de la visite et de l’aide qu’il a reçue pendant qu’il était en prison.

Quant à Onésiphore, que le Seigneur manifeste sa bonté à toute sa famille. En effet, il m’a souvent réconforté et il n’a pas eu honte de moi parce que je suis en prison. Au contraire, dès son arrivée à Rome, il s’est mis activement à ma recherche, et il a fini par me trouver.[20]

J’atteste par cette lettre avoir reçu tous vos dons, et je suis dans l’abondance. Depuis qu’Epaphrodite me les a remis, je suis comblé. Ils ont été pour moi comme le doux parfum d’une offrande agréée par Dieu et qui lui fait plaisir.[21]

Dans l’épitre aux Hébreux, on nous dit : Ayez le souci de ceux qui sont en prison, comme si vous étiez enchaînés avec eux.[22]

Dans cette parabole, les justes mentionnés par Jésus comme étant ceux qui s’étaient occupés des nécessiteux n’avaient pas conscience d’avoir donné à manger et à boire au Roi ou de Lui avoir offert l’hospitalité, alors ils lui demandèrent quand ils l’avaient fait. La réponse très touchante de Jésus était que tout acte de bonté qu’ils faisaient pour une autre personne, ils le faisaient pour Lui.Vraiment, je vous l’assure : chaque fois que vous avez fait cela au moindre de mes frères que voici, c’est à moi-même que vous l’avez fait.[23] On peut alors se poser la question suivante : qui pourrait être considéré comme le moindre de mes frères que voici? La compréhension la plus courante est qu’il s’agit de toute personne se trouvant dans le besoin. Certains commentateurs sont d’avis qu’il s’agit des disciples passés et présents de Jésus ; d’autres que c’est une référence aux missionnaires ; et d’autres encore qu’il s’agit des Juifs. Il semble que l’interprétation qui s’applique le mieux à ce passage et aux autres enseignements de Jésus, comme la parabole du Bon Samaritain, est que Jésus parlait de toute personne dans le besoin et que tout acte bienveillant fait pour une personne se trouvant dans le besoin l’est envers Lui.

Aider ceux qui sont dans le besoin était déjà enseigné dans l’Ancien Testament, où les gens généreux avaient la promesse des bénédictions de Dieu.

En fait, il y aura toujours des nécessiteux dans le pays : c’est pourquoi, je t’ordonne d’ouvrir toute grande ta main à ton compatriote, au malheureux et au pauvre dans ton pays.[24]

Celui qui a pitié du pauvre, prête à l’Eternel qui le lui revaudra.[25]

L’homme qui regarde autrui avec bonté sera béni parce qu’il a partagé son pain avec le pauvre.[26]

Les auteurs du Nouveau Testament reflétaient à la fois le concept de générosité de l’Ancien Testament et les enseignements de Jésus à ce sujet.

Ne négligez pas de pratiquer la bienfaisance et l’entraide : voilà les sacrifices auxquels Dieu prend plaisir.[27]

Que chacun de vous, au lieu de considérer ses propres intérêts, considère aussi ceux des autres.[28]

Si un homme riche voit son frère dans le besoin et lui ferme son cœur, l’amour de Dieu ne peut être présent en lui ?[29]

Dans la première partie de cette parabole, Jésus identifie ceux qui agissent avec miséricorde aux brebis qui sont à sa droite, vous qui êtes bénis par mon Père : prenez possession du royaume qu’il a préparé pour vous depuis la création du monde.[30] Et dans la deuxième partie, Il porte son attention sur ceux qui sont à gauche.

Puis il se tournera vers ceux qui seront à sa gauche : « Retirez-vous loin de moi, vous que Dieu a maudits, et allez dans le feu éternel préparé pour le diable et ses anges. Car j’ai souffert de la faim, et vous ne m’avez rien donné à manger. J’ai eu soif, et vous ne m’avez rien donné à boire. J’étais un étranger, et vous ne m’avez pas accueilli chez vous. J’étais nu, et vous ne m’avez pas donné de vêtements. J’étais malade et en prison, et vous n’avez pas pris soin de moi. » Alors, ils lui demanderont à leur tour : « Mais, Seigneur, quand t’avons-nous vu souffrant de la faim ou de la soif ; quand t’avons-nous vu étranger, nu, malade ou en prison, et avons-nous négligé de te rendre service ? » Alors il leur répondra : « Vraiment, je vous l’assure : chaque fois que vous n’avez pas fait cela au moindre de ceux que voici, c’est à moi que vous avez manqué de le faire. » Et ils s’en iront au châtiment éternel. Tandis que les justes entreront dans la vie éternelle. »[31]

Cette fois-ci, Jésus qualifie de maudits ceux qui ont négligé d’aider les gens qui étaient dans le besoin – et leur sort est très différent de ceux du premier groupe. Dans ce passage, Il ne parle pas des gens qui ont péché en commettant des actes manifestement immoraux, comme tuer ou voler ; Il parle de ceux qui ont péché en ne faisant pas ce qu’ils auraient dû faire—ceux qui ont péché par omission. Ils ont ignoré les gens qui se trouvaient dans le besoin au lieu de les aider et, pour cela, ils subiront un terrible châtiment. Ils seront séparés des bénédictions de Dieu et se retrouveront, au contraire, en présence du diable et de ses anges, dans un lieu que Jésus appelle le feu éternel.

Comme la parabole de l’homme riche et Lazare[32] dans l’Évangile de Luc, cette parabole nous rappelle que tout le monde sera jugé, et que nos actes pieux envers les nécessiteux—ou leur absence—feront la différence à ce moment-là. Jésus nous dit qu’Il est présent sur le visage des pauvres, des indigents, des malades et des emprisonnés—lesquels symbolisent ensemble tous les gens qui sont dans le besoin. Ceux qui les traitent avec amour et compassion et qui s’occupent bien d’eux, le font à Jésus. Ceux qui les ignorent et refusent de leur apporter de l’aide L’ignorent Lui. Les premiers sont bénis pour l’amour et la sollicitude dont ils font preuve envers ceux qui ont faim et soif, ou qui sont nus, malades, emprisonnés et étrangers, et ils seront accueillis dans la présence de Dieu. Ceux qui ne s’en préoccupent pas, qui ignorent ou refusent d’aider ceux qui sont dans le besoin, connaitront un sort différent. Cette parabole a inspiré les chrétiens de toutes les époques à faire des œuvres de miséricorde comme un moyen de servir le Christ.

Jésus a souligné l’importance pour ses disciples de faire preuve de compassion en montrant les conséquences radicalement différentes pour ceux qui font preuve d’amour et de compassion envers les autres, et ceux qui refusent de partager leur pain, de vêtir ceux qui sont nus et de venir en aide à ceux qui en ont besoin. Il a usé de cette métaphore pour nous enseigner que tout le monde sera tenu responsable de ses actes, ou de l’absence de ceux-ci. Il a aussi fait valoir que nous sommes responsables à la fois de nos péchés de commission et de nos péchés d’omission. En tant que croyants, nous sommes appelés non seulement à aimer Dieu, mais aussi nos semblables ; à refléter la bienveillance et la sollicitude de Jésus pour ceux qui sont dans le besoin, et à répondre à ces besoins.


Ceci nous amène à la fin de la série Les histoires racontées par Jésus. Nous avons étudié trente-deux des paraboles de Jésus au cours de cette série. Je prie que cette série ait été une bénédiction pour vous, qu’elle vous ait aidé à mieux comprendre les paraboles de Jésus, et qu’elle vous ait nourri spirituellement ainsi que les personnes avec lesquelles vous serez amenés à partager ces articles.


La parabole des brebis et des boucs, Matthieu 25.31–46

31 Quand le Fils de l’homme viendra dans sa gloire, avec tous ses anges, il prendra place sur son trône glorieux.

32 Tous les peuples de la terre seront rassemblés devant lui. Alors il les divisera en deux groupes — tout comme le berger fait le tri entre les brebis et les boucs.

33 Il placera les brebis à sa droite et les boucs à sa gauche.

34 Après quoi, le roi dira à ceux qui seront à sa droite : « Venez, vous qui êtes bénis par mon Père : prenez possession du *royaume qu’il a préparé pour vous depuis la création du monde.

35 Car j’ai souffert de la faim, et vous m’avez donné à manger. J’ai eu soif, et vous m’avez donné à boire. J’étais un étranger, et vous m’avez accueilli chez vous.

36 J’étais nu, et vous m’avez donné des vêtements. J’étais malade, et vous m’avez soigné. J’étais en prison, et vous êtes venus à moi. »

37 Alors, les justes lui demanderont : « Mais, Seigneur, quand t’avons-nous vu avoir faim, et t’avons-nous donné à manger ? Ou avoir soif, et t’avons-nous donné à boire ?

38 Ou étranger et t’avons-nous accueilli ? Ou nu, et t’avons-nous vêtu ?

39 Ou malade ou prisonnier, et sommes-nous venus te rendre visite ? »

40 Et le roi leur répondra : « Vraiment, je vous l’assure : chaque fois que vous avez fait cela au moindre de mes frères que voici, c’est à moi-même que vous l’avez fait. »

41 Puis il se tournera vers ceux qui seront à sa gauche : « Retirez-vous loin de moi, vous que Dieu a maudits, et allez dans le feu éternel préparé pour le diable et ses anges.

42 Car j’ai souffert de la faim, et vous ne m’avez rien donné à manger. J’ai eu soif, et vous ne m’avez rien donné à boire.

43 J’étais un étranger, et vous ne m’avez pas accueilli chez vous. J’étais nu, et vous ne m’avez pas donné de vêtements. J’étais malade et en prison, et vous n’avez pas pris soin de moi. »

44 Alors, ils lui demanderont à leur tour : « Mais, Seigneur, quand t’avons-nous vu souffrant de la faim ou de la soif ; quand t’avons-nous vu étranger, nu, malade ou en prison, et avons-nous négligé de te rendre service ? »

45 Alors il leur répondra : « Vraiment, je vous l’assure : chaque fois que vous n’avez pas fait cela au moindre de ceux que voici, c’est à moi que vous avez manqué de le faire. »

46 Et ils s’en iront au châtiment éternel. Tandis que les justes entreront dans la vie éternelle. »


Note

Sauf indication contraire, les passages bibliques cités sont extraits de La Bible Du Semeur, copyright © 1992, 1999 by Biblica, Inc.®  L’autre versions citée est la Segond 1978 (Colombe). Tous droits réservés. Avec permission.



[1] Cette parabole figure dans les évangiles de Matthieu et de Luc. Dans Les histoires racontées par Jésus, la version de la parabole Le roi et les intendants est celle Luc 19.11–27.

[2] Matthieu 25.31–33.

[3] Matthieu 19.28.

[4] Matthieu 16.27.

[5] Jean 5.26–27.

[6] Matthieu 13.30.

[7] Matthieu 13.49.

[8] Matthieu 25.11–12.

[9] Matthieu 25.30.

[10] Matthieu 25.34–40.

[11] Apocalypse 22.5.

[12] Apocalypse 20.6.

[13] Esaïe 58.6–7.

[14] Ezéchiel 18.5, 7.

[15] Proverbes 25.21.

[16] Esaïe 58.6–7.

[17] Juges 19.20–21.

[18] Ezéchiel 18.5–7.

[19] Esaïe 58.6–7.

[20] 2 Timothée 1.16–17.

[21] Philippiens 4.18.

[22] Hébreux 13.3.

[23] Matthieu 25.40.

[24] Deutéronome 15.11.

[25] Proverbes 19.17.

[26] Proverbes 22.9.

[27] Hébreux 13.16.

[28] Philippiens 2.4 Colombe.

[29] 1 Jean 3.17.

[30] Matthieu 25.33–34.

[31] Matthieu 25.41–46.

[32] Luc 16.19–31.

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