Jésus—Sa vie et son message : Jean et Jésus (2ème partie)

Par Peter Amsterdam

avril 25, 2015

[Jesus—His Life and Message: John and Jesus, Part 2]

(Vous pouvez lire l’explication et la présentation d’ensemble de cette série dans l’article d’introduction.)

Environ 18 ans se sont écoulés depuis que Jésus, alors âgé de 12 ans, était resté dans le temple. Durant toutes ces années, on nous dit qu’Il grandissait et progressait en sagesse, et Il se rendait toujours plus agréable à Dieu et aux hommes.[1] Il travaillait probablement aux côtés de Joseph, jusqu’au décès de ce dernier, et comme Jésus était l’aîné de ses enfants, Il devint le chef de famille. La Bible ne donne aucun détail de sa vie entre sa douzième année et le moment où Il débute son ministère – une période que l’on a appelée « les années cachées » ou « les années de silence » — quoi qu’il en soit, c’est à ce moment-là que les choses se mettent à changer.

Jean le Baptiste a déjà acquis une certaine notoriété à cette époque-là, et la nouvelle de sa prédication et de son baptême a atteint non seulement Jérusalem et la province de Judée, mais  s’est répandue jusqu’en Galilée. Jésus a entendu parler du prophète dans le désert et Il se rendit de la Galilée au Jourdain, auprès de Jean, pour être baptisé par lui.[2] Luc nous précise que Jésus avait environ trente ans.[3]

Les quatre auteurs des Evangiles nous relatent le baptême de Jésus dans le contexte de leurs Evangiles respectifs, mais ils font tous les mêmes remarques importantes sur les événements de cette journée. 

Voici comment le raconte l’Evangile de Marc :

Or, en ce temps–là, Jésus vint de Nazareth, un village de Galilée. Il fut baptisé par Jean dans le Jourdain. Au moment où il sortait de l’eau, il vit le ciel se déchirer et l’Esprit descendre sur lui comme une colombe. Une voix retentit alors du ciel : « Tu es mon Fils bien–aimé, tu fais toute ma joie. »[4]

Luc ajoute un détail à la scène, en disant que Jésus se mit à prier :

Jésus fut aussi baptisé. Or, pendant qu’il priait, le ciel s’ouvrit et l'Esprit Saint descendit sur lui en prenant l'apparence physique d'une colombe. Au même instant, une voix vint du ciel, disant : « Tu es mon Fils bien–aimé. Tu fais toute ma joie. »[5]

Matthieu nous dit qu’aussitôt après avoir été baptisé, Jésus sortit de l’eau. Alors le ciel s’ouvrit pour lui et il vit l’Esprit de Dieu descendre sous la forme d’une colombe et venir sur lui. En même temps, une voix venant du ciel fit entendre ces paroles : « Celui–ci est mon Fils bien–aimé, celui qui fait toute ma joie. »[6]

Jean le Baptiste avait déclaré auparavant que quelqu’un viendrait après lui, quelqu’un de bien plus puissant que lui[7], et voilà que ce puissant personnage entre en scène. Après que Jésus a reçu le baptême de Jean, un événement surnaturel a lieu, événement qui va bouleverser la vie de Jésus. Alors qu’Il est en train de prier, Il voit le ciel s’ouvrir et Il entend la voix de Dieu. Marc et Luc nous disent que la voix s’adresse directement à Jésus : « Tu es mon Fils bien–aimé », tandis que Matthieu écrit que la voix aurait dit: « Celui–ci est mon Fils bien–aimé », ce qui semblerait indiquer que d’autres personnes présentes entendirent la voix, et virent probablement les cieux s’ouvrir et le Saint-Esprit descendre sur Jésus. D’une façon générale, les différents commentateurs sont d’avis que c’était un événement privé – et qu’après son baptême, Jésus fut le seul à entendre la voix et à voir le ciel s’ouvrir. Ils pensent que Matthieu l’exprime de cette façon parce qu’il s’adresse à des lecteurs.

Dans son Evangile, Marc nous dit qu’au moment où Jésus sortait de l’eau, Il vit le ciel se déchirer et l’Esprit descendre sur Lui comme une colombe.[8] La description du Ciel qui s’ouvre indique qu’il s’agit d’une vision, comme on le voit dans d’autres passages des Ecritures. Ezéchiel écrivait : « Je vis le ciel s’ouvrir et Dieu m’envoya des visions ».[9] Alors que ses ennemis allaient le lapider, Etienne dit : « Je vois le ciel ouvert », et il leva les yeux au ciel et vit la gloire de Dieu.[10] Alors qu’il était à Jaffa, l’apôtre Pierre monta sur la terrasse de la maison où il se trouvait et, tandis qu’il priait, Il vit le ciel ouvert et une sorte de grande toile, tenue aux quatre coins, qui s’abaissait et descendait vers la terre.[11] Dans le livre de l’Apocalypse, l’apôtre Jean vit à deux reprises le ciel s’ouvrir au moment où il avait une vision.[12] Tout cela semble indiquer que Jésus a probablement eu une vision du ciel qui s’ouvrait et du Saint-Esprit descendant sur Lui.

Il se peut que Jean le Baptiste ait eu la même vision, ou qu’il ait eu une autre vision de l’Esprit descendant sur Jésus, comme nous le rapporte le quatrième Evangile :

Jean–Baptiste rendit ce témoignage : – J'ai vu l'Esprit descendre du ciel comme une colombe et se poser sur lui. Je ne savais pas que c'était lui, mais Dieu, qui m'a envoyé baptiser dans l'eau, m'avait dit : Tu verras l'Esprit descendre et se poser sur un homme ; c'est lui qui baptisera dans le Saint–Esprit. Or, cela, je l’ai vu de mes yeux, et je l’atteste solennellement : cet homme est le Fils de Dieu.”[13]

Plusieurs passages de l’Ancien Testament mentionnent que l’Esprit de Dieu descendrait sur le Messie : 

Puis un rameau sortira de la souche d’Isaï, un rejeton de ses racines portera du fruit. L’Esprit de l’Éternel reposera sur lui : Esprit de sagesse et de discernement, Esprit de conseil et de puissance, Esprit de connaissance et de crainte de l’Éternel.[14]

Quand Jésus prit la parole dans la synagogue de Nazareth, Il lut ce passage du livre d’Esaïe:

L’esprit du Seigneur DIEU est sur moi. Oui, il m’a consacré pour apporter une bonne nouvelle aux pauvres…[15]

C’est le jour où Il fut baptisé que l’Esprit et l’onction de Dieu descendirent et restèrent sur Jésus. 

Les commentateurs ont eu quelques difficultés à expliquer que l’Esprit était descendu sur Lui sous la forme physique d’une colombe.[16] Certains font le lien entre la colombe et le Saint-Esprit qui planait au-dessus des eaux, en Genèse 1:2, tandis que d’autres en donnent une interprétation différente. Voici l’explication de Brad H. Young :

Contrairement à la croyance populaire, dans la pensée juive, la colombe n’est pas toujours associée au Saint-Esprit.[17] Green affirme: On ne trouve aucune équation symbolique comparant et associant l’Esprit à la colombe dans la littérature antérieure ou contemporaine des Evangiles, et il est probable que cette comparaison avait pour objet d’évoquer le symbolisme de la colombe comme annonciatrice ou messagère de bonnes nouvelles; cela servirait à présenter Jésus comme ayant le pouvoir  d’annoncer la bonne nouvelle. La formule de Luc, « sous une forme corporelle », renforce encore davantage l’importance de cette scène apocalyptique, d’une manière tout à fait caractéristique.[18]

Le point essentiel qu’il convient de retenir ici, c’est que l’Esprit est descendu sur Jésus, même si le lien avec le symbole de la colombe n’est pas parfaitement limpide. Le fait que l’Esprit de Dieu bouge et revêt Jésus de puissance est l’élément essentiel du baptême.[19]

Non seulement l’Esprit descend sur Lui, mais une voix venue du Ciel dit : « Tu es mon Fils bien–aimé, tu fais toute ma joie. »[20] Par cette déclaration, Dieu montre qu’Il agrée Jésus, comme Il le fera plus tard dans les Evangiles, au moment de la transfiguration de Jésus. (Voir Matthieu 17:5.) Ce fils bien-aimé, qui fait toute la joie de Dieu, est déjà évoqué dans deux versets de l’Ancien Testament:

Je veux proclamer le décret : l’Eternel m’a dit : « Tu es mon Fils, je t’ai engendré aujourd’hui »[21], et « Voici mon serviteur, que je soutiens, celui que j’ai choisi, qui fait toute ma joie. Je lui ai donné mon Esprit et il établira la justice pour les nations.[22]

Le premier verset a trait à la désignation messianique de la filiation divine de Jésus, et le second rappelle le symbole de serviteur évoqué en Esaïe. La combinaison des rôles de Messie et de serviteur en la personne de Jésus le Fils est continuellement présente dans la trame des Evangiles.[23]

Certains commentateurs ont suggéré qu’au moment où Dieu a dit : « Tu es mon Fils bien–aimé, tu fais toute ma joie », Il adoptait Jésus comme son Fils. Toutefois, il est clair que les auteurs des Evangiles n’interprétaient pas cette déclaration de cette façon. Robert Stein explique :

Pour Jean [l’auteur de l’Evangile du même nom], Jésus était/est le Fils avant même son incarnation (Jean 1:1–4 est antérieur à Jean 1:14). Pour Luc et Matthieu, Jésus était déjà le Fils de Dieu au moment de la conception virginale (Luc 1:35, 42–45; Matthieu 1:20–25). De même, pour Marc, cette phrase ne signifie pas que, d’un seul coup, le statut de Jésus auprès de Dieu a changé. Autrement dit, Il n’est pas « promu » à la suite de son baptême. Au contraire, la voix proclame l’identité de Jésus, et c’est une manière pour Dieu de faire l’éloge des années de silence. Nul doute que cette reconnaissance et cet éloge ont dû réconforter Jésus pendant les épreuves et les moments de découragement qu’Il a connus au cours de son ministère.[24]

Les événements importants qui eurent lieu au moment du baptême de Jésus et le changement qui en résulta dans sa vie à compter de ce moment, peuvent être vus comme marquant l’instant où Dieu oint Jésus comme Messie et où Il L’équipe pour être son messager et le Sauveur du monde.

 Voici l’explication de Robert Stein :

A son baptême, Jésus était conscient qu’Il venait d’être oint pour une tâche divine. Servir Dieu tranquillement comme charpentier à Nazareth appartenait au passé. L’Esprit venait de Lui donner l’onction, ce qui marquait le commencement de sa mission divine.[25]

Revenons un instant en arrière: dans l’Evangile de Matthieu, lorsque Jésus vient se faire baptiser par Jean, nous lisons que Jean essaya de l'en dissuader. Il lui disait : «  C'est moi qui ai besoin d'être baptisé par toi, et c'est toi qui viens à moi ! Jésus lui répondit : – Accepte, pour le moment, qu'il en soit ainsi ! Car c'est de cette manière qu'il nous convient d'accomplir tout ce que Dieu demande. » Là–dessus, Jean accepta de le baptiser.[26]

Le baptême de Jean était un baptême de repentance, un appel adressé aux pécheurs à confesser leurs fautes et à changer de comportement; et pourtant Jésus, qui était exempt de tout péché, demande à Jean de Le baptiser. Matthieu nous dit que Jean avait conscience du fait que le rôle de Jésus était plus important que le sien et qu’Il était ce personnage plus grand qui devait venir. Il savait que Jésus n’avait pas besoin de son baptême et il essaya même de l’en dissuader. Il lui dit en quelque sorte: « C’est moi qui ai besoin de ton baptême de l’Esprit et de feu, mais Toi, Tu n’as pas besoin de mon baptême de repentance par l’eau. »[27] Néanmoins, Jésus insista pour que Jean Le baptise, en disant que c'était de cette manière qu'il convenait d'accomplir tout ce que Dieu demandait.

Jésus reçut le baptême de Jean, non pas parce qu’Il devait se repentir, mais afin de pouvoir s’identifier aux pécheurs et pour que cette indentification Lui permette de se substituer à eux. La Bible nous dit :

Celui qui était innocent de tout péché, Dieu l’a condamné comme un pécheur à notre place pour que, dans l’union avec le Christ, nous soyons justes aux yeux de Dieu.[28]

Esaïe écrivait:

Parce que beaucoup de gens le connaîtront, mon serviteur, le Juste, les déclarera justes et se chargera de leurs fautes … Il s'est dépouillé lui–même jusqu'à la mort et s'est laissé compter parmi les malfaiteurs.[29]

En prenant part au baptême de Jean, Jésus affirmait sa solidarité avec les pécheurs ; Il se considérait comme l’un d’eux dans le processus du salut.[30]

Charles Price explique:

Jésus n’avait commis aucun péché ; Il n’avait donc pas besoin d’être pardonné. Alors pourquoi Jésus s’est-Il fait baptiser? Esaïe 53:12 dit de Jésus : « Il s'est laissé compter parmi les malfaiteurs. » Cette prophétie a été accomplie sur la croix, mais elle a commencé à se réaliser au tout début de son ministère. Jésus a pris place dans les rangs, comme tout le monde, pour être baptisé, Il s’est identifié à notre condition de pécheurs et au fait que nous avons besoin d’être pardonnés. Il a pris la place du pécheur, et a anticipé ce qu’Il appellera plus tard « le baptême que J’aurai à subir », c’est-à-dire sa mort et son enterrement, suivis de sa résurrection.[31]

Certains biblistes ont émis l’hypothèse que Jésus aurait peut-être suivi Jean ou qu’Il aurait été un de ses disciples durant un certain temps avant d’être baptisé, mais la plupart des exégètes rejettent cette hypothèse. Toutefois, on constate des similitudes entre leurs ministères respectifs. Comme Jean, Jésus prêchait en plein air, à la différence des scribes de l’époque ; Il a enseigné une prière à ses disciples, comme Jean l’avait fait pour les siens[32];  Il a appelé les gens à la repentance[33] et a exprimé le caractère urgent de cette repentance[34] ; Il a prophétisé le jugement d’Israël[35]; Il a condamné le pharisaïsme hypocrite[36] et a accepté les pécheurs.[37]

Bien que les méthodes employées et dans les messages prêchés par Jean et Jésus soient similaires, ils comportaient aussi des différences majeures. Jean était un ascète qui vivait dans le désert, tandis que Jésus se mêlait aux gens dans les villages et les villes. Jean annonçait l’imminence du jugement de Dieu, tandis que Jésus proclamait l’arrivée du règne de Dieu et invitait tous ceux qui étaient tourmentés ou accablés à entrer dans le royaume de Dieu. La mission de Jean s’inscrivait dans l’attente de ce qui allait arriver ; celle de Jésus entrait dans le cadre de l’accomplissement des promesses.[38]

Quand Jésus se présenta pour être baptisé, Jean Le reconnut comme étant le puissant personnage qui devait venir. Le quatrième Evangile nous rapporte que Jean-Baptiste dit de Jésus:

« Voici l'Agneau de Dieu, celui qui enlève le péché du monde. C’est de Lui que je vous ai parlé lorsque je disais : « Un homme vient après moi, Il m’a précédé, car Il existait avant moi. » …Je ne savais pas que c'était Lui, mais Dieu, qui m'a envoyé baptiser dans l'eau, m'avait dit : Tu verras l'Esprit descendre et se poser sur un homme ; c'est Lui qui baptisera dans le Saint–Esprit. Or, cela, je l’ai vu de mes yeux, et je l’atteste solennellement : cet homme est le Fils de Dieu. »[39]

Après que Jésus eut été baptisé par Jean, Dieu Lui donna son onction et L’équipa pour son ministère, en envoyant le Saint-Esprit sur Lui. La manifestation de la présence de l’Esprit dans la vie de Jésus est rendue évidente dans des déclarations comme : « Jésus, rempli de l'Esprit Saint, revint du Jourdain, et le Saint–Esprit Le conduisit dans le désert; et Jésus, rempli de la puissance de l’Esprit, retourna en Galilée …. L’Esprit du Seigneur repose sur Moi parce qu’Il M’a désigné par l’onction pour annoncer une bonne nouvelle aux pauvres. Aujourd'hui même … pour vous qui l'entendez, cette prophétie de l'Ecriture est devenue réalité.[40]

La voix de Dieu, venue du Ciel, proclame que Jésus est son Fils, établissant ainsi leur relation de Père et de Fils. Désormais Jésus, qui vient de recevoir la puissance du Saint-Esprit, est prêt à commencer son ministère – qui est de prêcher le royaume de Dieu, d’être la présence de  Dieu sur terre, et de réaliser la mission messianique que Lui a confiée son Père, et qui est de racheter l’humanité.


NB:

Sauf indication contraire, les passages bibliques cités sont extraits de la Sainte Bible, version du Semeur, copyright © 2000 par Société Biblique Internationale. Tous droits réservés. Avec permission. Les autres versions citées sont la Bible en français courant (BFC), la Parole de Vie (PDV), et la Bible Segond 21 (SEG21)


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[1] Luc 2:52.

[2] Matthieu 3:13.

[3] Luc 3:23.

[4] Marc 1:9–11.

[5] Luc 3:21–22 PDV.

[6] Matthieu 3:16–17.

[7] Matthieu 3:11; Marc 1:7–8; Luc 3:16.

[8] Marc 1:10.

[9] Ezéchiel 1:1 BFC.

[10] Actes 7:55–56.

[11] Actes 10:11.

[12] Apocalypse 19:11, 4:1.

[13] Jean 1:32–34.

[14] Esaïe 11:1–2 SEG21.

[15] Esaïe 61:1 PDV.

[16] Luc 3:22; Marc 1:9–11; Matthieu 3:16.

[17] Young, Jesus the Jewish Theologian [Jésus, le théologien juif], 20.

[18] Green, The Gospel of Luke [L’Evangile de Luc], 187.

[19] Young, Jesus the Jewish Theologian [Jésus, le théologien juif], 20.

[20] Marc 1:11.

[21] Psaume 2:7 SEG21.

[22] Esaïe 42:1.

[23] Guelich, World Biblical Commentary: Mark 1–8:26, 35 [Commentaire biblique universel: Marc 1-8:26,35].

[24] Stein, Jesus the Messiah [Jésus le Messie], 99.

[25] Idem

[26] Matthieu 3:14–15.

[27] Morris, The Gospel According to Matthew [L’Evangile d’après Matthieu], 64.

[28] 2 Corinthiens 5:21

[29] Esaïe 53:11–12 

[30] Morris, The Gospel According to Matthew [L’Evangile d’après Matthieu], 65.

[31] Charles Price, My Daily Journey With Christ, July 15[Mon cheminement quotidien avec le Christ], 15 juillet. (On “The Living Truth” website. Sur le site “Vivante vérité ”)

[32] Luc 11:1–4.

[33] Matthieu 4:17; Marc 1:14–15; Luc 13:3.

[34] Matthieu 24:44.

[35] Matthieu 23:36–38.

[36] Matthieu 23:23–28; Luc 5:32.

[37] Matthieu 9:10; Luc 15:1.

[38] Ce résumé des similitudes et des différences est tiré de Théologie du Nouveau Testament, 48-49, de Jeremias.

[39] Jean 1:29–30, 33–34.

[40] Luc 4:1, 14, 18, 21.

 

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