Par Peter Amsterdam
juillet 23, 2015
[The Stories Jesus Told: The Rich Fool, Luke 12:13–21]
La parabole du riche fou est une des trois paraboles que nous allons examiner dans trois articles consécutifs des « Histoires racontées par Jésus », histoires qui traitent toutes de la richesse et des possessions matérielles. Ces paraboles ne sont pas les seuls enseignements de Jésus sur le thème de la richesse et de son usage, bon ou mauvais, mais ce sont les fois où Jésus a employé des paraboles pour présenter son enseignement sur la richesse matérielle. Les paraboles qui viennent après « Le riche fou » sont « L’homme riche et Lazare » et « L’intendant injuste ».
Le chapitre 12 de Luc commence avec Jésus qui enseigne ses disciples à portée de voix d’une foule composée de plusieurs milliers de personnes. A un certain moment, quelqu’un s’adresse à Lui.
Du milieu de la foule, un homme dit à Jésus : « Maître, dis à mon frère de partager avec moi l'héritage que notre père nous a laissé ! » Mais Jésus lui répondit : « Mon ami, qui M'a établi pour être votre juge ou votre arbitre en matière d'héritage ? »[1]
Il n’aurait pas été extraordinaire que quelqu’un demande à un maître (c’est le terme, synonyme de rabbi, que Luc emploie dans son Evangile) d’arbitrer un différend d’ordre juridique comme celui-ci. Les rabbis étaient des experts de la loi mosaïque et ils passaient le plus clair de leur temps à rendre des arrêts sur des questions semblables. Dans ce cas précis, il se peut que le père soit décédé sans avoir laissé de testament, écrit ou oral, ce qui avait provoqué un litige entre les deux frères. L’homme qui interpellait Jésus était probablement le plus jeune des deux frères, puisque l’héritage du père, qui comportait certainement des terres, ne pouvait être partagé sans l’accord préalable du frère aîné. Ce dernier préférait sans doute que les terres, ou le domaine, ne soient pas partagées entre lui et son frère, et qu’ils puissent tous deux vivre sur la propriété, ce qui était courant à l’époque. Mais apparemment, le frère cadet ne voulait pas de cet arrangement et c’est pourquoi on le voit presque exiger de Jésus qu’Il dise à son frère de partager leur héritage.[2]
La réaction de Jésus est plutôt brusque et elle indique une petite pointe d’irritation : « Mon ami, qui M'a établi pour être votre juge ou votre arbitre en matière d'héritage ? » La version Segond 21 de la Bible dit : « … pour être votre juge, ou pour faire vos partages. » En fait, le frère cadet ne demande pas un arbitrage, il ne demande pas à Jésus de servir de médiateur entre lui et son frère. Il n’essaie pas de se réconcilier avec son frère ou de rétablir de bonnes relations avec lui. Il demande à Jésus de prendre parti pour lui et de dire à son frère de partager l’héritage. D’une certaine manière, il essaie de se servir de ce qu’il perçoit être la position influente de Jésus en tant que rabbi ou maître, pour faire pression sur son frère. Jésus aurait très certainement préféré que les deux frères se réconcilient au lieu de les voir partager l’héritage, et qu’ils se souviennent de la sagesse exprimée dans le premier verset du Psaume 133 :
Quel bonheur, quelle douceur pour des frères d’être ensemble ![3]
Jésus continue en disant :
Gardez–vous avec soin du désir de posséder, sous toutes ses formes, car la vie d'un homme, si riche soit–il, ne dépend pas de ses biens.[4]
Jésus adresse un avertissement à tous ceux qui sont présents en leur disant de se garder de toute forme de cupidité – cet insatiable appétit de toujours vouloir plus. Plutôt que de juger qui a tort et qui a raison dans cette situation, Il met en garde contre la cupidité. La solution qui amènerait la réconciliation et la guérison ne consiste pas à diviser l’héritage mais à se débarrasser de la cupidité et de cette attitude égoïste.
Jésus poursuit en racontant la parabole du riche fou. Pour bien comprendre cette parabole, il faut garder à l’esprit que, dans la Bible, Dieu a tout créé et que, par conséquent, tout Lui appartient ; nous sommes simplement des gérants, ou des intendants, de ce que Dieu nous a donné. Comme le dit le Psaume 24:1:
C’est au Seigneur qu’appartient le monde avec tout ce qu’il contient, la terre avec ceux qui l’habitent.[5]
L’auteur Kenneth Bailey écrivait:
Dans la pensée biblique, nous sommes simplement des administrateurs de nos possessions et nous devons rendre compte à Dieu de ce que nous en faisons. En même temps, le Nouveau Testament affirme la légitimité de la propriété privée. En Actes 5:1–11, Pierre exige des explications d’Ananias et de Saphira parce qu’ils avaient menti en déclarant avoir fait don de leur propriété à Dieu alors que ce n’était pas vrai. Leur péché n’était pas de posséder une propriété, mais d’avoir menti. Partout dans le monde, les chrétiens sont appelés à se comporter en simples administrateurs de leurs biens et de la terre. La parabole du riche fou est un des principaux enseignements sur ce thème. C’est l’histoire d’un homme qui refuse d’admettre qu’il doit rendre des comptes à Dieu pour tout ce qu’il possède.[6]
En réponse à la demande du frère cadet de partage des terres, et dans la droite ligne de ses remarques sur la cupidité et les possessions, Jésus leur raconte alors cette parabole :
Le domaine d'un riche propriétaire avait rapporté de façon exceptionnelle. L'homme se mit à réfléchir : « Que faire ? se demandait–il. Je n'ai pas assez de place pour engranger toute ma récolte ! Ah, se dit–il enfin, je sais ce que je vais faire ! Je vais démolir mes greniers pour en construire de plus grands, et j'y entasserai tout mon blé et tous mes autres biens. Après quoi, je pourrai me dire : Mon ami, te voilà pourvu de biens en réserve pour de nombreuses années. Repose–toi, mange, bois et jouis de la vie ! » Mais Dieu lui dit : « Pauvre fou que tu es ! Cette nuit–même, tu vas mourir. Et tout ce que tu as préparé pour toi, qui va en profiter ?» Voilà quel sera le sort de tout homme qui amasse des richesses pour lui–même, au lieu de chercher à être riche auprès de Dieu.[7]
Nous apprenons que cet individu est déjà un homme riche, et que ses terres ont produit une récolte exceptionnelle. C’était probablement une de ces années où il y avait eu suffisamment d’ensoleillement et la bonne quantité de pluie. Rien n’indique qu’il ait travaillé davantage pour cette récolte que pour les autres, mais cette année-là, il a un énorme surplus, au point que ses greniers ne sont pas assez grands pour pouvoir tout engranger.
Il n’a pas l’air de considérer que cette récolte abondante est une bénédiction de Dieu, ni qu’en définitive, c’est Dieu qui est le propriétaire de sa récolte et de ses terres, et de tout ce qu’il possède, d’ailleurs. Nous entendons son monologue intérieur où il se demande ce qu’il va faire de ce surplus de récolte, et où il parle de « ma récolte, mes greniers, mon blé, les biens, mon âme »… A aucun moment, il ne fait mention de Dieu ou des bénédictions de Dieu. Dans son esprit, tout cela lui appartient. Nous verrons qu’il n’a aucune intention d’en faire profiter les autres ou d’en faire un usage qui glorifie Dieu. Au contraire, il se dit: « Ah, … enfin, je sais ce que je vais faire ! Je vais démolir mes greniers pour en construire de plus grands, et j'y entasserai tout mon blé et tous mes autres biens. »
Cet homme riche et égoïste, qui a déjà de grands biens, envisage d’engranger sa récolte dans de nouvelles granges plus spacieuses; ce faisant, il compte bien être à l’abri du besoin pendant de nombreuses années. Il se dit en lui-même : « Mon ami, te voilà pourvu de biens en réserve pour de nombreuses années. Repose–toi, mange, bois et jouis de la vie ! »
Le livre de l’Ecclésiaste parle de manger, de boire et de profiter de la vie[8], mais il nous rappelle aussi que c’est Dieu qui nous a donné les jours de notre existence fugitive, et que notre vie et nos années ici-bas Lui appartiennent.[9] Jésus le rappelle très clairement dans la suite de cette parabole :
Mais Dieu lui dit : « Pauvre fou que tu es ! Cette nuit–même, tu vas mourir. Et tout ce que tu as préparé pour toi, qui va en profiter ?»
Jésus le traite de fou. Ceux qui L’écoutaient se seraient souvenus de ce verset du livre des Psaumes :
Les insensés (fous) pensent : « Dieu n’existe pas. »[10]
Le mot fou (ou son synonyme insensé) est employé dans plusieurs passages de l’Ancien Testament pour désigner une personne qui refuse d’admettre sa sujétion à Dieu.[11] L’homme riche est qualifié de fou parce qu’il a exclu Dieu de sa vie. Il voit dans ses biens matériels le moyen d’assurer son avenir. Dans son esprit, si sa situation financière est garantie et stable, alors son avenir est assuré. Il peut manger, boire et jouir de la vie. Il n’a rien à craindre : que pourrait-il lui arriver?
L’homme riche ne tient pas compte du fait que c’est Dieu qui donne l’accroissement et apporte l’abondance. Il ne considère pas que c’est Dieu qui lui a donné la vie. Dans l’original grec, les mots qui ont été traduits par cette nuit même, ton âme te sera redemandée sont les mêmes mots que ceux qu’on emploie pour parler du remboursement d’un prêt.[12] Comme un prêt qui arrive à échéance, la vie de cet homme aura une fin, et cette brièveté met en évidence la folie et la vanité de ses plans. Ses possessions ne lui offrent aucune garantie ni aucune sécurité.
Jacques l’a très bien expliqué dans son épître, quand il écrivait :
Et maintenant, écoutez–moi, vous qui dites : « Aujourd'hui ou demain, nous irons dans telle ville, nous y passerons une année, nous y ferons des affaires et nous gagnerons de l'argent. » Savez–vous ce que demain vous réserve ? Qu'est–ce que votre vie ? Une brume légère, visible quelques instants et qui se dissipe bien vite. Voici ce que vous devriez dire : « Si le Seigneur le veut, nous vivrons et nous ferons ceci ou cela ! »[13]
L’homme riche n’inclut pas Dieu dans l’équation. Dans sa façon de voir les choses, tout lui appartient, y compris sa vie. Mais Jésus fait remarquer que, dans un sens, tout nous est prêté ; tout appartient à Dieu. L’homme riche faisait des plans pour l’avenir sans penser un seul instant à Dieu ou à sa place et à son autorité dans sa vie.
Jésus poursuit son histoire :
Et tout ce que tu as préparé pour toi, qui va en profiter ?
Ceux qui entendaient cette parabole ont dû se souvenir de ces passages de l’Ecclésiaste et du livre des Psaumes :
J’ai fini par prendre en dégoût tous les travaux que j’avais accomplis sous le soleil et pour lesquels je m’étais donné tant de peine, parce que je devrai tout laisser à mon successeur. Et qui peut savoir si mon successeur sera sage ou sot ? Pourtant, c’est lui qui disposera de tout ce que j’ai acquis sous le soleil par mon labeur et par ma sagesse.[14]
Ne t'inquiète pas si un homme s'enrichit et s'il augmente son train de vie. Quand il mourra, il n'emportera rien, ses biens ne le suivront pas dans la tombe. De son vivant, il a beau se dire heureux, se féliciter que tout aille bien pour lui, il lui faudra pourtant rejoindre les générations qui l'ont devancé, et qui ne verront plus jamais la lumière. Pourtant, au milieu de son luxe, l'homme ne comprend pas qu'il va vers sa fin, comme un simple animal.[15]
Comme le dit l’adage : quand on meurt, on ne peut rien emmener avec soi. Dans la mort, nous laissons derrière nous toutes nos richesses matérielles, et elles n’ont plus aucune valeur pour ceux qui les possédaient. C’est ce que Jésus souligne brièvement dans sa parabole ; et Il termine en disant :
Voilà quel sera le sort de tout homme qui amasse des richesses pour lui–même, au lieu de chercher à être riche auprès de Dieu.[16]
Celui qui amasse des richesses pour lui-même est comme le riche fou. Pour quelle raison ? Est-il qualifié de fou parce qu’il est riche ? Non. Le message de cette parabole n’est pas la condamnation des richesses ; c’est la condamnation du mauvais usage des richesses et de ceux qui n’accordent aucune pensée à Dieu.[17] Le riche fou voyait la récolte abondante comme l’occasion d’assurer son avenir et son bien-être personnel. Il ne pensait qu’à lui-même, à son avenir et à son plaisir. Il ne lui venait même pas à l’esprit que Dieu lui avait peut-être donné ce surplus pour d’autres raisons que son simple plaisir personnel, comme par exemple, pour venir en aide aux pauvres et aux nécessiteux.
En conclusion, cette parabole nous dit d’être « riche auprès de Dieu ». Qu’est-ce que cela signifie ? Dans les versets qui suivent cette parabole, Jésus nous engage à faire confiance à Dieu et à ne pas nous inquiéter pour notre vie ni pour les choses dont nous avons besoin pour vivre; si Dieu nourrit les corbeaux, qui n’ont ni cave ni grenier, et s’Il habille les lis des champs de somptueux vêtements, nul doute qu’Il s’occupera aussi de nous. Il nous exhorte à faire confiance à Dieu, à chercher son royaume, et alors Il s’occupera bien de nous. C’est en agissant de la sorte – en faisant confiance à Dieu, en Le recherchant et en faisant sa volonté – que nous nous fabriquons des bourses inusables et que nous nous constituons un trésor inaltérable au Ciel.[18] Il nous dit de nous constituer un trésor au ciel. Nous sommes riches auprès de Dieu quand nous Le reconnaissons, quand nous faisons ce qu’Il nous demande, quand nous vivons d’une manière qui est conforme à ses enseignements, et quand nous cherchons à faire sa volonté, ce qu’Il attend de nous.
Cette parabole parle à chacun de nous. Nous avons tous besoin d’un minimum de ressources pour vivre. Il est prudent de mettre de l’argent de côté pour l’avenir, si on peut le faire. Ce n’est pas foncièrement mauvais de posséder des choses ou d’avoir beaucoup d’argent. Les richesses ne sont pas mauvaises en soi. Par contre, ceux qui sont riches sont confrontés à certains défis spirituels, comme la cupidité dont fait preuve l’homme riche de cette parabole. La Bible nous enseigne à ne pas compter sur la richesse ni à fonder d’espoir en elle[19], et Jésus nous avertit que les préoccupations de ce monde et l’attrait trompeur des richesses étouffent la Parole.[20] Le défi était suffisamment ardu pour que Jésus dise : « Vraiment, Je vous l'assure : il est difficile à un riche d'entrer dans le royaume des cieux. »[21] Le problème, ce n’était pas ses richesses : le problème, c’était que son cœur était attaché à ses richesses, auprès de son trésor, au lieu d’être auprès de Dieu. Il n’était pas riche auprès de Dieu. Il ne s’amassait pas des richesses dans les cieux; au contraire, il stockait son surplus sans accorder une pensée à Dieu ou à ceux qui pourraient être dans le besoin.
Qu’en est-il de nous ? Est-ce que nous reconnaissons que tout ce que nous possédons appartient, en fait, à Dieu ? Et si c’est le cas, est-ce que nous Le consultons pour décider comment dépenser notre argent et gérer nos finances ? Est-ce que nous Le louons et Le remercions pour tout ce qu’Il nous a donné ? Quand Il nous bénit financièrement, est-ce qu’à notre tour nous bénissons ceux qui sont dans le besoin? Est-ce que nous bénissons Dieu en retour, en Lui donnant notre dîme et nos offrandes ?
Comme le disait un jour le grand évangéliste Oswald J. Smith :
« [La question] ce n’est pas de savoir quelle portion de mon argent je donne à Dieu, mais quelle portion de l’argent de Dieu je garde pour moi. » Dallas Willard disait: « Etre frugal, c’est à la fois une discipline et une vertu chrétienne cardinale. Mais force est de constater que, dans ce domaine, les défaillances concernent l’usage des biens, et non pas leur possession. »[22]
Quelle que soit notre situation financière, nous pouvons très bien nous comporter comme le riche fou. Ce qui le rendait cupide, ce n’était pas le fait qu’il soit riche. Peu importe que nous ayons beaucoup ou peu, nous pouvons très facilement devenir cupides et obnubilés par nos possessions, ou notre manque de possessions, au point d’en arriver à exclure Dieu de notre vie ; au point de ne plus Lui faire confiance, d’arrêter de Le suivre, et de ne plus reconnaître comme principe de vie que nous sommes appelés ici-bas à être riches auprès de Dieu et à nous amasser des richesses au Ciel.
Puissions-nous apprendre à inclure Dieu dans chaque aspect de notre vie, y compris dans l’usage que nous faisons de nos finances et des biens matériels que Dieu nous a donnés. Puissions-nous Le consulter pour savoir comment faire usage des bénédictions qu’Il nous a données, et puissions-nous être le reflet de sa nature et de son caractère dans l’usage que nous faisons de nos possessions matérielles, dans notre service et dans notre façon de vivre. Puissions-nous tous être riches auprès de Dieu.
13 Du milieu de la foule, un homme dit à Jésus : « Maître, dis à mon frère de partager avec moi l'héritage que notre père nous a laissé !
14 Mais Jésus lui répondit : – Mon ami, qui M'a établi pour être votre juge ou votre arbitre en matière d'héritage ? »
15 Puis Il dit à tous : « Gardez–vous avec soin du désir de posséder, sous toutes ses formes, car la vie d'un homme, si riche soit–il, ne dépend pas de ses biens. »
16 Il leur raconta alors cette parabole : « Le domaine d'un riche propriétaire avait rapporté de façon exceptionnelle.
17 L'homme se mit à réfléchir : ‘Que faire ? se demandait–il. Je n'ai pas assez de place pour engranger toute ma récolte !
18 Ah, se dit–il enfin, je sais ce que je vais faire ! Je vais démolir mes greniers pour en construire de plus grands, et j'y entasserai tout mon blé et tous mes autres biens.
19 Après quoi, je pourrai me dire : Mon ami, te voilà pourvu de biens en réserve pour de nombreuses années. Repose–toi, mange, bois et jouis de la vie !’
20 Mais Dieu lui dit : ‘Pauvre fou que tu es ! Cette nuit–même, tu vas mourir. Et tout ce que tu as préparé pour toi, qui va en profiter ?’
21 Voilà quel sera le sort de tout homme qui amasse des richesses pour lui–même, au lieu de chercher à être riche auprès de Dieu. »
Sauf indication contraire, les passages bibliques cités sont extraits de la Sainte Bible, version du Semeur, copyright ©2000 par Société Biblique Internationale. Tous droits réservés. Avec permission. Les autres versions citées sont la Bible en français courant (BFC) et la Parole de Vie (PDV).
[1] Luc 12:13–14.
[2] Kenneth E. Bailey, Jesus Through Middle Eastern Eyes [Jésus à travers le regard du Moyen-Orient] (Downers Grove: InterVarsity Press, 2008), 300.
[3] Psaume 133:1 PDV.
[4] Luc 12:15.
[5] Psaume 24:1 BFC.
Psaume 50:12 BFC: Si J’avais faim, Je n’aurais pas besoin de te le dire, puisque le monde entier est à Moi avec tout ce qu’il contient.
Psaume 89:11: A Toi appartient le ciel et à Toi la terre, le monde et son contenu, Tu les as fondés.
[6] Bailey, Middle Eastern Eyes [Les yeux du Moyen Orient], 298.
[7] Luc 12:16–21.
[8] Ecclésiaste 8:15 PDV: Moi, je chante la louange de la joie. En effet, pour les humains, le seul bonheur sous le soleil, c’est de manger, de boire, de profiter de la vie. Voilà ce qui doit accompagner leur travail pendant les jours que Dieu leur donne à vivre sous le soleil.
[9] Ecclésiaste 9:9 PDV: Profite de la vie avec la femme que tu aimes, tous les jours de la courte existence que Dieu te donne sous le soleil. Oui, ta vie est courte, et c’est la part que tu reçois pour le travail que tu fais sous le soleil.
[10] Psaume 14:1.
[11] Arland J. Hultgren, The Parables of Jesus [Les Paraboles de Jésus] (Grand Rapids: William B. Eerdmans Publishing Company, 2000), 107.
[12] Kenneth E. Bailey, Through Peasant Eyes [A travers le regard des paysans] (Grand Rapids: William B. Eerdmans Publishing Company, 1980), 67.
[13] Jacques 4:13–15.
[14] Ecclésiaste 2:18–19.
[15] Psaume 49:16–20 BFC.
[16] Luc 12:21.
[17] Craig L. Blomberg, Interpreting the Parables [Interpréter les paraboles](Downers Grove: InterVarsity Press, 1990), 226.
[18] Luc 12:22-34
[19] Proverbes 11:28; 1 Timothée 6:17.
[20] Matthieu 13:22.
[21] Matthieu 19:23.
[22] Dallas Willard, The Spirit of the Disciplines [L’esprit des disciplines](HarperOne, 1988), 194.
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