Jésus—Sa vie et son message : Ses différentes méthodes d’enseignement

Par Peter Amsterdam

août 10, 2015

[Jesus—His Life and Message: Teaching Methods] 

(Vous pouvez lire l’explication et la présentation d’ensemble de cette série dans l’article d’introduction.)

(Cet article est le résumé des principaux points développés par Robert H. Stein dans La méthode et le message des enseignements de Jésus.)

Jésus était un remarquable enseignant qui savait captiver son auditoire et transmettre son message avec force. Il y avait quelque chose dans sa façon d’enseigner qui donnait envie aux gens de L’écouter – à tel point que, parfois, des milliers de gens restaient près de Lui pendant plusieurs jours pour L’écouter.[1]

Tout au long des Evangiles, Jésus se réfère à l’Ancien Testament qu’Il cite souvent dans son enseignement. Toutefois, contrairement aux scribes et aux rabbis, dont les enseignements se fondaient généralement sur l’interprétation des Ecritures saintes qu’en avaient donnée les maîtres du passé, Jésus, Lui, enseignait avec une autorité unique qui Lui venait de son Père.[2] Par exemple, tout au long du Sermon sur la Montagne, Il répète plusieurs fois : « Vous avez appris qu'il a été dit …. Mais Moi, Je vous dis …”[3] Après que Jésus eut achevé ces discours, la foule fut frappée de sa doctrine ; car Il enseignait comme ayant autorité, et non pas comme leurs scribes.[4] Ses guérisons et ses exorcismes renforçaient aussi son autorité en tant qu’enseignant.

Jésus le menaça, disant: « Tais–toi, et sors de cet homme ! » Et l’esprit impur sortit de cet homme, en l’agitant avec violence, et en poussant un grand cri. Tous furent saisis de stupéfaction, de sorte qu'ils se demandaient les uns aux autres : « Qu'est–ce que ceci ? Une nouvelle doctrine ! Il commande avec autorité même aux esprits impurs, et ils Lui obéissent ! »[5]

En plus, du fait qu’Il parlait avec autorité, Jésus employait un certain nombre de techniques d’enseignement afin de livrer son message d’une manière intéressante et captivante. Il peut être utile de connaître ces différents procédés rhétoriques pour mieux comprendre le sens de son message. Nous allons maintenant examiner certaines de ces techniques d’enseignement.

L’exagération

Parfois, Jésus exagérait les choses pour asséner une vérité. L’exagération Lui permettait d’insister sur un point. De telles exagérations étaient monnaie courante dans l’expression orale de la culture sémitique de l’époque.[6]

Jésus fait usage de l’exagération dans l’exemple suivant :

Par conséquent, si ton œil droit te fait tomber dans le péché, arrache–le et jette–le au loin, car il vaut mieux pour toi perdre un de tes organes que de voir ton corps entier précipité en enfer.[7]

Jésus ne prônait pas l’automutilation; Il exagérait pour souligner clairement que nous devrions bannir de notre vie tout ce qui nous pousse à pécher, même si c’est douloureux. Il utilisait l’exagération pour expliquer sa position de façon saisissante.

L’hyperbole

Jésus maniait l’hyperbole, un procédé similaire à l’exagération, qui décrit une action impossible. Comme par exemple, quand Jésus disait aux scribes et aux pharisiens qu’ils étaient des guides aveugles : « Guides aveugles que vous êtes ! Vous avez soin de filtrer vos boissons pour éliminer tout moucheron, et le chameau, vous l’avalez tout entier. »[8] De toute évidence, personne ne peut avaler un chameau, mais cette scène impossible illustre clairement son propos. Dans un autre exemple, Jésus nous demande d’enlever d’abord la poutre de notre œil et alors nous verrons assez clair pour enlever la paille de l’œil de notre frère.[9] La signification de cette illustration est claire bien que cet acte soit évidemment impossible.

Le jeu de mots / le calembour

Jésus faisait aussi des jeux de mots et des calembours, qui jouent sur la différence de sens entre des mots qui se prononcent de la même manière, ou sur les différents sens d’un même mot. Les jeux de mots de Jésus ne fonctionnent pas dans d’autres langues mais ils sont présents dans l’araméen qui était la langue parlée par Jésus.

On trouve un exemple de calembour dans un des versets cités plus haut. « Guides aveugles que vous êtes ! Vous avez soin de filtrer vos boissons pour éliminer tout moucheron, et le chameau, vous l’avalez « tout entier. » En araméen, le mot qui a été traduit par chameau était gamla et le mot traduit par moucheron était galma. Donc, il y avait un jeu de mots dans la phrase « Guides aveugles que vous êtes ! Vous avez soin de filtrer vos boissons pour éliminer tout galma, et le gamla, vous l’avalez tout entier. » On trouve un autre calembour dans le verset « Le vent souffle où il veut, tu en entends le bruit, mais tu ne sais ni d’où il vient ni où il va. Il en est ainsi pour quiconque est né de l’Esprit. »[10] En Araméen, le mot ruah signifie à la fois vent et esprit. Donc le ruah souffle où il veut … Il en est ainsi pour quiconque est né du ruah.

L’analogie

L’analogie est une comparaison qui crée une ressemblance entre deux choses de nature différente et qui est introduite par une conjonction comme « comme » ou « tel que », ou par un verbe comme « ressembler » ou « paraître ». Par exemple: « Voici : Je vous envoie comme des brebis au milieu des loups. Soyez prudents comme des serpents et innocents comme des colombes. »[11] En voici un autre exemple :

« Malheur à vous, maîtres de la loi et Pharisiens, hypocrites ! Vous ressemblez à des tombeaux blanchis qui paraissent beaux à l’extérieur mais qui, à l’intérieur, sont pleins d’ossements de morts et de toute sorte de pourriture. »[12]

Dans ces analogies, la comparaison et les différences sont clairement visibles. Dans la première analogie, les croyants sont présentés comme des brebis et ils sont censés être sages comme des serpents et irréprochables comme des colombes. Dans la seconde analogie, les pharisiens qui, en apparence seulement, ont l’air justes, sont comparés à des sépulcres blanchis à la chaux qui, extérieurement, sont propres et beaux, mais qui sont, en fait, remplis de pourriture.

La métaphore

Une métaphore est une comparaison qui utilise un terme concret pour exprimer une notion abstraite par substitution analogique, sans qu'il y ait d'élément introduisant formellement une comparaison ; elle fait une comparaison implicite. Là où une analogie dira « l’œil est comme la lampe du corps », une métaphore dira « l’œil est la lampe du corps».

Les métaphores de Jésus incluent : « Vous êtes le sel de la terre »[13] et « Vous êtes la lumière du monde. »[14] « La moisson est abondante, mais les ouvriers sont peu nombreux ! Demandez donc au Seigneur, à qui appartient la moisson, d’envoyer des ouvriers pour la rentrer » en est une autre.[15]Dans ces métaphores, Jésus compare directement deux choses qui n’ont aucun rapport. Il compare ses disciples au sel et à la lumière, et il assimile la moisson aux masses de gens qui n’ont pas entendu le message de Dieu. Pareillement, dans l’Evangile de Jean, les déclarations où Il dit « Je suis » sont des métaphores : « Je suis le pain de vie. » « Je suis la lumière du monde. » « Je suis le cep de la vigne, vous en êtes les sarments.»[16]

Le proverbe

Jésus a cité un grand nombre de proverbes—des petits adages ou des dictons, généralement assez courts, qui contiennent une déclaration formulée de manière assez frappante. Les adages suivants de Jésus peuvent être considérés comme des proverbes: « Car là où est ton trésor, là sera aussi ton cœur. »[17] « Tous ceux qui prennent l’épée périront par l’épée. »[18] « Un prophète est respecté partout, sauf dans sa ville, dans sa famille et dans sa maison. »[19]

L’énigme

Dans la Bible, une énigme est une forme typique de parole de sagesse qui met la personne au défi de découvrir le sens caché de la phrase. Voici quelques exemples d’énigmes prononcées par Jésus:

« Je démolirai ce Temple fait de main d'homme et, en trois jours, J'en reconstruirai un autre, qui ne sera pas fait par de mains humaines. ».[20] « Où que soit le cadavre, là s’assembleront les vautours. »[21] « En effet, si l'on traite ainsi le bois vert, qu'arrivera–t–il au bois sec ? »[22]

A fortiori[23](du moindre vers le plus grand)

Les arguments a fortiori sont des propositions de type logique, qui permettent de dire que si une proposition est vraie, alors on peut en déduire logiquement qu’une autre proposition est encore plus vraie.[24] C’était une technique d’enseignement en usage chez les rabbis juifs pour aller « du moindre vers le plus grand » ou « du plus léger vers le plus lourd », et qui partait du principe que si une conclusion s’applique à une situation ou un cas de moindre importance, alors elle s’applique aussi à une situation plus importante. On reconnaît ce type d’argument du moindre-vers-le-plus-grand quand le texte comporte une locution de type « si … à plus forte raison…”

Par exemple:                                                                               

Qui de vous donnera un caillou à son fils quand celui–ci lui demande du pain ? Ou bien, s'il lui demande un poisson, lui donnera–t–il un serpent ? Si donc, tout mauvais que vous êtes, vous savez donner de bonnes choses à vos enfants, à combien plus forte raison votre Père céleste donnera–t–Il de bonnes choses à ceux qui les Lui demandent.[25] Voici un autre exemple : Mais Il leur répondit : « Supposez que l'un de vous n'ait qu'une seule brebis et qu'un jour de sabbat, elle tombe dans un trou profond. Ne la tirera–t–il pas pour l'en sortir ? Eh bien, un homme a beaucoup plus de valeur qu’une brebis ! Il est donc permis de faire du bien le jour du sabbat. » Alors Il dit à l'homme : « Etends la main ! » Il la tendit et elle redevint saine, comme l'autre.[26]

Les questions

Jésus posait souvent des questions lorsqu’Il enseignait. C’était un des procédés dont Il usait pour aider ses auditeurs à formuler leurs idées, leurs convictions ou leurs points de vue sur un sujet précis ; cela les forçait à réfléchir pour parvenir à la bonne conclusion au moyen de la réflexion. En posant la question, Il impressionnait plus profondément son auditoire. En voici un  exemple, à un tournant majeur de son ministère, lorsqu’Il demande à ses disciples: 

« Que disent les gens à mon sujet ? Qui suis–Je d'après eux ? Ils Lui répondirent : – Pour les uns, Tu es Jean–Baptiste ; pour d'autres, Elie ; pour d'autres encore, l'un des prophètes.  Alors Il leur demanda : – Et vous, qui dites–vous que Je suis ? Pierre Lui répondit : – Tu es le Messie. »[27] On en trouve un autre exemple dans la parabole du bon Samaritain lorsque Jésus demande : « A ton avis, lequel des trois s'est montré le prochain de l'homme qui avait été victime des brigands ? – C'est celui qui a eu pitié de lui, Lui répondit l'enseignant de la Loi. – Eh bien, va, et agis de même, lui dit Jésus. »[28]

Parfois, Jésus répondait à une question par une question, pour faire valoir son point de vue quand il se trouvait dans un environnement hostile et qu’on exigeait de Lui une réponse. Comme par exemple, la fois où Il était dans le temple et que les chefs des prêtres, les spécialistes de la loi et les anciens Lui demandèrent : 

« De quel droit agis–Tu ainsi ? Qui T'a donné le droit de faire cela ? Jésus leur répondit : – J'ai aussi une question à vous poser, une seule. Si vous Me répondez, Je vous dirai de quel droit Je fais cela : de qui Jean tenait–il son mandat pour baptiser ? De Dieu ou des hommes ? Répondez–Moi ! … Ils répondirent donc à Jésus : – Nous ne savons pas. Et Jésus répliqua : – Alors, Moi non plus, Je ne vous dirai pas de quel droit J'agis comme Je le fais. »[29]

Parfois, Il posait une question purement rhétorique – non pas pour obtenir une réponse mais pour produire un effet. Parfois, le but recherché était que ses auditeurs soient d’accord avec le point qu’Il avait soulevé. Par exemple, lorsque les spécialistes de la loi déclarèrent : « C'est par le pouvoir du chef des démons qu'Il chasse les démons. » Jésus leur répondit : « Comment Satan peut–il chasser Satan ?»[30]

Parfois, ses questions rhétoriques servaient à ajouter du poids à une de ses déclarations, comme par exemple :

Et que servira-t–il à un homme de gagner le monde entier, s'il perd son âme ? Que donnera un homme en échange de son âme ?[31]

Parfois, Il posait une question pour exprimer son irritation :

« Peuple incrédule ! Jusqu'à quand devrai–Je encore rester avec vous ? Jusqu'à quand devrai–Je vous supporter ? »[32] Jésus lui répondit : « Mon ami, qui M'a chargé d'être votre juge ou votre arbitre en matière d'héritage ?»[33]

Les gestes symboliques

Parfois, Jésus transmettait son message d’une manière non verbale. Ses actes étaient un moyen pour Lui d’exprimer ce qu’Il voulait dire. On en a un parfait exemple dans sa rencontre avec Zachée, le riche chef des collecteurs d’impôts, qui essayait de voir Jésus mais qui n’y arrivait pas à cause de la foule trop nombreuse. Zachée courut en avant pour grimper à un arbre. Quand Jésus l’aperçut, Il lui dit : « Zachée, dépêche–toi de descendre, car c'est chez toi que Je dois aller loger aujourd'hui. » Zachée se dépêcha de descendre et reçut Jésus avec joie.[34] En dînant avec le collecteur d’impôts haï de tous, le message transmis par Jésus était que le salut était aussi pour les pécheurs.

Quand les disciples de Jean-Baptiste transmirent le message de Jean à Jésus, pour Lui demander s’Il était celui qui devait venir, Jésus leur répondit :

« Retournez auprès de Jean et racontez–lui ce que vous entendez et ce que vous voyez : les aveugles voient, les paralysés marchent normalement, les lépreux sont guéris, les sourds entendent, les morts ressuscitent, la Bonne Nouvelle est annoncée aux pauvres. »[35]

Quand Jésus guérissait les gens et qu’Il faisait d’autres miracles, ses actes manifestaient la présence du royaume de Dieu et déclaraient que Jésus était le Messie.

Au fur et à mesure que Jésus enseignait le peuple par ses paroles et ses actes, beaucoup de ceux qui L’entendaient commençaient à être convaincus qu’Il était le Messie, celui que Dieu avait envoyé. Sa résurrection d’entre les morts allait le prouver.


NB :        

Sauf indication contraire, les passages bibliques cités sont extraits de la Sainte Bible, version du Semeur, copyright ©2000 par Société Biblique Internationale. Tous droits réservés. Avec permission. Les autres versions citées sont Parole Vivante (PVV), la Bible en français courant (BFC), la Parole de Vie (PDV), et la Bible Segond 21 (SEG21).


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[1] Marc 8:1–3, Matthieu 15:32.

[2] Car Je n'ai pas parlé de ma propre initiative : le Père, qui M'a envoyé, M'a ordonné Lui–même ce que Je dois dire et enseigner. Or Je le sais bien : l’enseignement que M’a confié le Père c’est la vie éternelle. Et mon enseignement consiste à dire fidèlement ce que M’a dit le Père. (Jean 12:49–50).

Ne crois–tu pas que Je suis dans le Père et que le Père est en Moi ? Ce que Je vous dis, Je ne le dis pas de Moi–même : le Père demeure en Moi et c'est Lui qui accomplit ainsi ses propres œuvres. (Jean 14:10).

[3] Matthieu 5:21–22, 27–28, 33–34, 38–39, 43–44.

[4] Matthieu 7:28–29.

[5] Marc 1:25–27.

[6] Stein, The Method and Message of Jesus’ Teachings [La méthode et le message des enseignements de Jésus], 8.

[7] Matthieu 5:29.

[8] Matthieu 23:24 PVV.

[9] Matthieu 7:3–5.

[10] Jean 3:8.

[11] Matthieu 10:16.

[12] Matthieu 23:27 BFC.

[13] Matthieu 5:13.

[14] Matthieu 5:14.

[15] Matthieu 9:37–38.

[16] Jean 6:35 BFC; Jean 8:12, 15:5.

[17]Matthieu 6:21.

[18] Matthieu 26:52 BFC.

[19] Marc 6:4 PDV.

[20] Marc 14:58.

[21] Matthieu 24:28.

[22] Luc 23:31 SEG21.

[23] A fortiori  est une locution latine qui signifie « à plus forte raison ».

[24] CITE. Copyright © 1981–2005 by Gerald N. Hill and Kathleen T. Hill.

[25] Matthieu 7:9–11.

[26] Matthieu 12:11–13.

[27] Marc 8:27–29.

[28] Luc 10:36–37.

[29] Marc 11:28–30, 33.

[30] Marc 3:22–23.

[31] Marc 8:36–37 SEG21.

[32] Marc 9:19.

[33] Luc 12:14 PVV.

[34] Luc 19:5–6.

[35] Matthieu 11:3–5.

 

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