Jésus—Sa vie et son message : Autorité

Par Peter Amsterdam

mars 25, 2016

[Jesus—His Life and Message: Authority]

En tant que croyants, nous avons bien conscience que Jésus est le fils de Dieu, qui est mort pour nos péchés afin que nous puissions avoir une relation d’intimité avec Dieu. Quand nous lisons le récit de la vie de Jésus, nous connaissons toute l’histoire du début à la fin. A cause de cela, il se peut que nous passions à côté de l’émerveillement qu’ont ressenti ceux qui L’ont entendu parler et qui L’ont vu de leurs yeux. Quand nous lisons le récit de ses miracles, nous ne sommes pas surpris ou ébahis parce que nous savons que Jésus avait l’autorité et le pouvoir de faire ces miracles. Par contre, les gens qui vivaient à l’époque de Jésus ne savaient pas ce que nous savons aujourd’hui sur Lui. Au départ, ils ne savaient pas très bien qui Il était, et ils ne l’ont compris que graduellement, au fur et à mesure qu’ils L’ont entendu enseigner et qu’ils ont été témoins des miracles. Et même là, la plupart d’entre eux avaient du mal à comprendre et à croire.

Tout au long de son ministère, Jésus a révélé qui Il était par le biais de son enseignement et ses actes. Il n’a pas proclamé de façon catégorique qu’Il était le Messie ou qu’Il était plus puissant que Jean le Baptiste.[1] Toutefois, par son enseignement, par les guérisons et les miracles qu’Il a accomplis, par ses actes symboliques, et sa description de sa relation avec le Père, Il a permis à ceux qui L’écoutaient et qui L’observaient attentivement de comprendre petit à petit quelle était sa véritable identité. Un des moyens par lequel Il s’est révélé au monde et a fait connaître sa mission était l’autorité dont Il faisait preuve dans ses actes comme dans son enseignement.

Dans les trois Evangiles synoptiques, nous lisons que ceux qui L’entendaient prêcher étaient étonnés par son enseignement. L’Evangile de Luc déclare:

Ses auditeurs étaient profondément impressionnés par son enseignement, car Il parlait avec autorité.[2]

Marc écrit:

Ses auditeurs furent impressionnés par son enseignement, car Il parlait avec une autorité que n’avaient pas les spécialistes de la Loi.[3]

Les scribes étaient des spécialistes de la Loi de Moïse, ils étaient responsables de son interprétation et de son application. Ils étaient les gardiens de la tradition légale, les enseignants accrédités de la Loi, qui, en vertu de leur formation et de leur fonction, étaient en droit d’attendre des gens qu’ils acceptent et respectent leurs jugements.[4] Du fait que leur autorité se fondait sur leur formation officielle et leur connaissance intime de l’enseignement des interprètes de la Loi qui les avaient précédés, ils citaient souvent leurs prédécesseurs. On cite souvent l’exemple du grand enseignant juif Hillel, qui mourut quand Jésus était encore un bébé : il avait disserté toute une journée sur un sujet particulier, mais les autres rabbis n’acceptaient pas son enseignement, jusqu’à ce qu’il dise : « C’est ce que j’ai entendu de la bouche de Shemaïah et d’Abtalion. » Pour les scribes, la continuité de la tradition était ce qui leur donnait l’autorité de statuer sur toutes les questions.[5] En plus de leur  connaissance approfondie des Ecritures et de leur interprétation, ils faisaient également autorité en matière de traditions orales, de ce que Jésus appelait « les traditions des hommes. »[6]

Jésus n’avait pas reçu la formation officielle que les scribes avaient reçue, mais Il avait un immense savoir. Son enseignement faisait autorité sans qu’Il ait besoin de s’appuyer sur ce que d’autres avaient enseigné avant Lui. Il enseignait avec une autorité intrinsèque fondée sur sa personne et sur son Père.

Les Juifs en étaient tout étonnés et se demandaient : « Comment peut–Il connaître à ce point les Ecritures, sans avoir jamais étudié ?» Jésus leur répondit : « Rien de ce que J'enseigne ne vient de Moi. J'ai tout reçu de Celui qui M'a envoyé. »[7]

Nous voyons cette autorité dans les 73 fois où Il dit : « Oui, vraiment, Je vous l’assure ». Le mot grec « amen » est traduit indifféremment par en vérité, vraiment, Je vous l’assure, Je vous le déclare, dans les différentes versions françaises de la Bible. Tout au long des quatre Evangiles, Jésus a employé cette phrase pour insister sur l’importance des paroles qu’Il allait prononcer. En substance, Il disait : « Ecoutez bien ce que J’ai à vous dire, parce les paroles que Je prononce ne viennent pas de Moi, ce sont des paroles qui sortent de la bouche même de Dieu! »[8] (Dans l’Evangile de Jean, le mot est systématiquement doublé, « en vérité, en vérité »). On ne trouve pas d’équivalent, dans la littérature juive, à cet emploi par Jésus du terme vraiment/en vérité.[9] Jésus est le seul à avoir employé cette formule pour introduire et renforcer ses déclarations. Il la faisait toujours suivre de « Je vous l’assure ». C’était sa façon d’affirmer qu’il s’agissait de vérités définitives.

Manson dit:

Une simple phrase, cette expression fréquente et emphatique « Vraiment Je vous l’assure/En vérité, Je vous le dis », suffit à ranger Jésus comme un enseignant à part, dans une catégorie différente de celle des prophètes ou des spécialistes de la Loi. Lorsqu’un prophète se prononçait, il le faisait en sa qualité de messager de Dieu; et le message qu’il transmettait était introduit par la formule consacrée « Ainsi dit le Seigneur. » Lorsqu’un scribe, un spécialiste de la Loi, se prononçait, c’était pour déclarer ce que l’Ecriture ou la tradition avait à dire. Quand Jésus parle avec autorité, Il emploie la formule « Vraiment, Je vous l’assure » ou « Je vous le déclare ».[10]

En sa qualité de Fils de Dieu, Jésus parlait avec l’autorité de son Père.

L’autorité de Jésus se manifestait à la fois dans son enseignement et dans ses actes extraordinaires. Tout au long des Evangiles, nous lisons le récit des actes miraculeux accomplis par Jésus. Cela inclut la guérison d’un grand nombre de maladies et de maux tels que la cécité[11], la lèpre[12], la paralysie[13], la fièvre[14], des hémorragies[15]. A côté de ces cas de guérison bien précis, on trouve aussi des résumés de ses guérisons en divers lieux:

On Lui amena tous ceux qui étaient atteints de diverses maladies et souffraient de divers maux : ceux qui étaient sous l’emprise de démons ainsi que des épileptiques et des paralysés, et Il les guérit tous.[16] Des foules nombreuses vinrent auprès de Lui et, avec elles, des paralysés, des aveugles, des sourds–muets, des estropiés et beaucoup d'autres malades. On les amena aux pieds de Jésus, et Il les guérit. La foule s'émerveillait de voir les sourds–muets parler, les estropiés reprendre l'usage de leurs membres, les paralysés marcher, les aveugles recouvrer la vue, et tous se mirent à chanter la gloire du Dieu d'Israël.[17] Ils firent prévenir tout le voisinage, et on Lui amena tous les malades. Ils Le suppliaient de leur permettre simplement de toucher la frange de son vêtement. Et tous ceux qui Le touchaient étaient guéris.[18]

En général, Jésus guérissait les gens sans invoquer Dieu ou son nom en prière. Il guérissait de sa propre autorité. (La seule exception, c’est quand Il pria son Père pour le bénéfice de ceux qui L’écoutaient, juste avant de ressusciter Lazare d’entre les morts.

Alors Jésus, tournant son regard vers le ciel, dit : « Père, Tu as exaucé ma prière et Je T'en remercie. Pour Moi, Je sais que Tu M’exauces toujours, mais si Je parle ainsi, c’est pour que tous ceux qui M’entourent croient que c’est Toi qui M’as envoyé. » Cela dit, Il cria d'une voix forte : « Lazare, sors de là ! »[19])

Jésus a exercé son pouvoir de guérison afin de prouver qu’Il avait l’autorité de pardonner les péchés. Quand on Lui amena un paralytique, Jésus lui dit:

« Mon ami, tes péchés te sont pardonnés. »[20] Les spécialistes de la Loi et les pharisiens se mirent à raisonner et à dire : « Qui est donc cet homme qui prononce des paroles blasphématoires ? Qui peut pardonner les péchés, si ce n'est Dieu seul ? Mais Jésus connaissait leurs raisonnements. Il leur dit : – Pourquoi raisonnez–vous ainsi en vous–mêmes ? Qu'y a–t–il de plus facile ? Dire : ‘Tes péchés te sont pardonnés’, ou dire : ‘Lève–toi et marche’» ? Eh bien ! Vous saurez que le Fils de l'homme a, sur la terre, le pouvoir de pardonner les péchés. Il déclara au paralysé : « Je te l'ordonne : lève–toi, prends ton brancard et rentre chez toi ! » Aussitôt, devant tout le monde, l’homme se leva, prit le brancard sur lequel il était couché et s’en alla chez lui en rendant gloire à Dieu. Les témoins de la scène furent tous saisis de stupéfaction. Ils rendaient gloire à Dieu et, remplis de crainte, disaient : « Nous avons vu aujourd'hui des choses extraordinaires ! »[21]

Si Jésus a posé cette question c’était pour montrer que s’Il avait le pouvoir et l’autorité de guérir le paralytique, alors Il avait aussi l’autorité de pardonner les péchés. Les scribes comprenaient que Dieu seul peut pardonner les péchés, c’est pourquoi ils accusaient Jésus de blasphémer.

Bock explique:  

La logique de la question est facile à suivre: il est plus facile de dire une chose qui peut être facilement vérifiée visuellement, qu’une chose qu’on ne peut pas confirmer visuellement. Du point de vue de l’observateur, il est plus facile de prétendre pouvoir pardonner les péchés, puisqu’on ne peut pas prouver que c’est faux. Reste à savoir si Jésus a dit des paroles en l’air ou la vérité ! Quand Jésus déclare qu’Il pardonne les péchés, a-t-Il l’autorité et le pouvoir de Dieu de le faire? … Le fait que l’homme puisse rentrer chez lui en marchant atteste de sa guérison, et cela devrait amener l’observateur et le lecteur à réfléchir à ce que cette guérison dit de Jésus et à la validité de sa prétention à avoir autorité sur les péchés.[22]

Jésus montre par sa capacité à guérir qu’Il a aussi l’autorité de pardonner les péchés.

Le centurion, dont le serviteur avait besoin de guérison, a bien compris le concept de l’autorité par laquelle Jésus guérit les malades. Lorsque Jésus annonce qu’Il va venir chez lui pour guérir son serviteur, le centurion répond:

Seigneur, dit alors l'officier, je ne suis pas qualifié pour Te recevoir dans ma maison, mais Tu n'as qu'un mot à dire et mon serviteur sera guéri. Car moi–même, je ne suis qu'un officier subalterne, mais j'ai des soldats sous mes ordres et quand je dis à l'un : « Va ! », il va. Quand je dis à un autre : « Viens ! », il vient. Quand je dis à mon esclave : « Fais ceci ! », il le fait. En entendant cela, Jésus fut rempli d'admiration et, s'adressant à ceux qui Le suivaient, Il dit : « Vraiment, Je vous l'assure : chez personne, en Israël, Je n'ai trouvé une telle foi. »[23] 

Le centurion comprenait que Jésus agissait sous l’autorité du Dieu d’Israël, de la même façon qu’il agissait lui-même sous l’autorité de ses supérieurs militaires.[24]

Nous lisons aussi que Jésus chassait les esprits impurs par son autorité :

Il y eut un moment de stupeur ; ils se disaient tous, les uns aux autres : « Quelle est cette parole ? Il donne des ordres aux esprits mauvais, avec autorité et puissance, et ils sortent ! »[25]

A côté des guérisons et des exorcismes, les Evangiles nous renseignent aussi sur le pouvoir et l’autorité que Jésus exerçait sur la nature. Il ordonna aux vagues et à la tempête de se calmer[26]; par deux fois, Il multiplia des pains et quelques poissons pour nourrir plusieurs milliers de personnes venues L’écouter[27]; et Il ressuscita des morts[28]. Les manifestations du pouvoir et de l’autorité de Jésus incitèrent ceux qui en étaient témoins à se demander : « Qui est cet homme ? »[29]

C’est la même question qui est soulevée dans certaines des déclarations de Jésus, comme lorsqu’Il dit qu’Il est « le maître du sabbat »[30]; qu’Il a reçu l’autorité d’exercer le jugement[31]; qu’Il viendra dans la gloire de son Père, avec ses anges, et alors Il donnera à chacun ce que lui auront valu ses actes[32]; et que celui qui écoute ce que Je dis et qui place sa confiance dans le Père qui M’a envoyé, possède, dès à présent, la vie éternelle et il ne sera pas condamné ; il est déjà passé de la mort à la vie.[33]

Le Fils de Dieu est venu dans le monde pour sauver ceux qui croient en Lui des ultimes effets du péché. Il nous a donné le droit d’être remplis du Saint-Esprit, de vivre d’une manière qui Le glorifie, et de demeurer éternellement en la présence de Dieu. Ce n’était pas tout de suite évident, pour ceux qui connaissaient Jésus de son vivant, de savoir qui Il était. Tout au long de son ministère, ses disciples et d’autres observateurs se demandaient : « Mais qui est cet homme? » ; et ce n’est que petit à petit qu’ils reconnurent en Lui le Messie. On a du mal à comprendre comment certains, parmi ceux qui étaient émerveillés de voir des malades guérir, des foules être nourries, et bien d’autres miracles, ne sont pas devenus ses disciples, mais de toute évidence, beaucoup ne L’ont pas suivi. Cependant, au fil du temps, ceux qui avaient été témoins de ses miracles et qui avaient écouté son enseignement commencèrent à comprendre et à croire, et ils changèrent le monde.

Ils connaissaient Jésus; ils avaient été témoins de l’autorité de ses paroles et de ses actes. Ils racontèrent sa vie, sa mort et sa résurrection à d’autres personnes qui, à leur tour, crurent en Lui. Les auteurs des Evangiles consignèrent les paroles de Jésus et les événements de sa vie dans leurs Evangiles, afin de les préserver pour les générations futures. Comme les Evangiles continuent d’être lus de nos jours, la question continue d’être posée aujourd’hui encore : Qui est cet homme? Nous, qui avons fait sa connaissance, comprenons qu’Il est Dieu incarné, qu’Il a donné sa vie pour nous et qu’Il a radicalement transformé notre vie pour toujours. Il incombe à chacun de nous qui avons eu la bénédiction de recevoir le don de la foi de Le partager avec les autres.

Tout comme Il l’avait dit à ses premiers disciples, aujourd’hui encore Il nous dit:

J'ai reçu tout pouvoir dans le ciel et sur la terre : allez donc dans le monde entier, faites des disciples parmi tous les peuples, baptisez–les au nom du Père, du Fils et du Saint–Esprit et apprenez–leur à obéir à tout ce que Je vous ai prescrit. Et voici : Je suis Moi–même avec vous chaque jour, jusqu'à la fin du monde.[34]


NB :

Sauf indication contraire, les passages bibliques cités sont extraits de la Sainte Bible, version du Semeur, copyright ©2000 par la Société Biblique Internationale. Tous droits réservés. Avec permission.


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[1] Matthieu 3:11; Marc 1:7; Luc 3:16.

[2] Luc 4:31–32.

[3] Marc 1:22. Voir aussi Matthieu 7:28–29.

[4] France, The Gospel of Matthew [L’Evangile de Matthieu], 298–99.

[5] Talbert, Reading the Sermon on the Mount [Lire le Sermon sur la Montagne], 145.

[6] Keener, The Gospel of Mark [L’Evangile de Marc], 90.

[7] Jean 7:15–16.

[8] Hawthorne, G. F., Amen, in Dictionary of Jesus and the Gospels [Dictionnaire de Jésus et des Evangiles], 8.

[9] Jeremias, New Testament Theology [Théologie du Nouveau Testament], 34.

[10] Manson, The Teaching of Jesus [Les enseignements de Jésus], 106.

[11] Matthieu 9:27–30; 20:29–34.

[12] Matthieu 8:1–4.

[13] Matthieu 9:2–8; 8:5–13.

[14] Matthieu 8:14–15.

[15] Matthieu 9:20–22.

[16] Matthieu 4:23–24.

[17] Matthieu 15:30–31.

[18] Matthieu 14:34–36.

[19] Jean 11:41–44.

[20] Luc 5:20.

[21] Luc 5:21–26.

[22] Bock, Luke [Luc] 1:1–9:50, 485–86.

[23] Matthieu 8:8–10.

[24] France, The Gospel of Matthew [L’Evangile de Matthieu], 315.

[25] Luc 4:36.

[26] Marc 4:36–41; Luc 8:24; Matthieu 14:26–32.

[27] Matthieu 14:16–21; 15:33–39; Marc 6:34–44; 8:1–9; Luc 9:12–17; Jean 6:5–13.

[28] Jean 11:39–44; Luc 7:11–16; Matthieu 9:18–19, 23–26; Marc 5:22–24, 35–43; Luc 8:40–42, 49–56.

[29] Jean 4:29; 9:16; 10:20–21; Luc 5:21.

[30] Marc 2:28.

[31] En effet, comme le Père possède la vie en Lui–même, Il a accordé au Fils d'avoir la vie en Lui–même. Et parce qu’Il est le Fils de l’homme, Il Lui a donné autorité pour exercer le jugement. (Jean 5:26–27).

[32] Matthieu 16:27.

[33] Jean 5:24.

[34] Matthieu 28:18–20.

 

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