Les histoires racontées par Jésus : Introduction

Par Peter Amsterdam

septembre 25, 2017

[The Stories Jesus Told: Introduction]

Jésus était un remarquable enseignant. Ses paroles, confirmées par ses actes, ont changé un nombre incalculable de vies durant son ministère sur terre, et continuent de le faire depuis deux mille ans. Son enseignement et sa vie, ont eu un impact inégalé sur l’humanité. Des milliards de gens ont modelé leur vie et leurs convictions en s’inspirant des paroles qu’Il a prononcées il y a plus de deux mille ans. Ces paroles et ces enseignements, consignés dans les Evangiles, ont radicalement transformé la conception humaine de Dieu et de notre relation avec Lui. Ces paroles parlaient au cœur des gens de l’époque de Jésus et, aujourd’hui encore, elles parlent aux croyants et à ceux qui sont en quête de vérité.

La vie du Christ, son ministère, sa mort et sa résurrection constituent le fondement du Christianisme, de ses enseignements et de sa théologie. Toutefois, Jésus n’a jamais enseigné la théologie comme on l’enseigne aujourd’hui. Il enseignait à la manière d’un poète ou d’un auteur de pièces de théâtre. Il faisait usage de la métaphore[1], de la comparaison[2], de la parabole, de l’exagération et de l’action dramatique.[3]

Un des procédés les plus fréquemment employés par Jésus pour transmettre son message était de raconter des paraboles. De fait, un tiers des paroles de Jésus qui nous ont été rapportées dans les Evangiles synoptiques—ceux de Matthieu, Marc et Luc—sont dans des paraboles.[4] Les paraboles étaient particulièrement efficaces parce qu’elles racontaient une histoire qui captivait les auditeurs et les interpelait. Ces histoires étaient parfois choquantes car elles remettaient en question les normes culturelles et religieuses de l’époque. Les auditeurs étaient souvent surpris quand le récit prenait une tournure imprévue et avait un dénouement inattendu.

C’était au moyen de ces histoires, de ces paraboles, que Jésus transmettait son enseignement sur le royaume de Dieu, qu’Il dévoilait la véritable nature de Dieu et son caractère, et qu’Il expliquait ce que Dieu attendait de son peuple.[5]

S’il est vrai que les paraboles racontées par Jésus nous parlent aujourd’hui encore, il reste que nous avons perdu une partie de leur sens original et de leur effet de surprise, tout simplement parce que les auditeurs contemporains ne vivent pas dans la Palestine du premier siècle de notre ère.

Comme l’écrivait un auteur :

« A première vue, il est tentant de taxer les paraboles d’histoires un peu simples. Elles parlent d’invitation à des banquets, de pêcheurs jetant leurs filets à la mer, de femmes qui font cuire leur pain, d’un adolescent qui quitte le domicile de ses parents, et d’employés qui ont des problèmes avec leur employeur. Comme ce sont des situations que nous connaissons tous par expérience, les paraboles nous paraissent plus accessibles qu’elles ne le sont en réalité. Toutefois, leurs premiers auditeurs eurent vite fait de se rendre compte que, derrière leur modeste apparence de simplicité, les paraboles recelaient des dimensions inattendues. Loin d’être de simples exemples illustrant la réalité, elles sont porteuses de surprenants messages. Quand nous les analysons en profondeur, nous découvrons que les paraboles comptent parmi les passages les plus énigmatiques et les plus troublants de la Bible. »[6]

Jésus était un Juif du premier siècle qui s’adressait à des Juifs de son époque. Il parlait la langue courante de l’époque et employait des mots, des phrases et des expressions que ses contemporains comprenaient bien. Quand Jésus parlait d’un Samaritain, Il savait que ses auditeurs juifs méprisaient les Samaritains. Quand Jésus raconta une parabole dans la maison de Simon le pharisien, il y avait une pécheresse dans la salle à manger—une personne que Simon n’aurait jamais invitée chez lui. Jésus savait exactement pourquoi on lui avait permis d’être là, et tout le monde le savait aussi. Lorsqu’Il parlait du blé et de l’ivraie, du levain, de régisseurs et de maîtres, tous les gens auxquels Il s’adressait comprenaient de quoi il s’agissait, car tout cela faisait partie de la vie quotidienne et du langage de la société juive du premier siècle.

Si vous êtes Anglais, Australien ou Indien et que vous vous intéressez au cricket, vous savez ce que c’est qu’un lanceur, une position « silly mid-on », un « doosra », et un lancer court. Si vous êtes américain et que vous aimez le base-ball, vous savez ce que c’est qu’une balle courbe, une glissante, un double jeu, un arrêt court, et un gant. Vous le savez parce que cela fait partie de votre culture. Si quelqu’un vous racontait une histoire en employant ces mots-là, ou qu’il parlait d’un aspect du jeu dans le cours de la conversation, vous comprendriez, mais une personne peu familière avec ces sports ne saisirait pas tout ou passerait à côté de certaines nuances.

De la même façon, les habitants de la Palestine du premier siècle comprenaient tout à fait, et bien mieux que nous qui vivons 2 000 ans plus tard, la terminologie employée par Jésus. Lorsque vous lisez les paraboles de Jésus, il est utile d’en savoir un peu plus sur le contexte dans lequel Il parlait et sur ce que son auditoire aurait compris.

C’est surtout bénéfique quand on considère la quantité d’informations que les paraboles ne donnent pas. Les paraboles sont courtes. Elles n’en disent pas plus qu’il n’est nécessaire et, en général, elles ne donnent aucun détail qui n’est pas essentiel. Quand elles donnent des descriptions de personnes, elles ne nous disent pratiquement rien de leur apparence, de leur entourage ou de leur parcours personnel ; elles ne nous donnent que l’essentiel. A l’exception de Lazare et d’Abraham, en Luc 16.19-31, aucun nom n’est donné, si bien que nous avons affaire à des individus anonymes. Certaines actions sont omises ou résumées succinctement, et le lecteur doit lui-même compléter des éléments de l’histoire.[7]

Les paraboles sont par nature simples. Elles ne mettent jamais plus de deux personnes ou groupes de personnes en scène en même temps. Certes, en Luc 15, le père a deux fils, or il n’a pas de relation avec les deux en même temps, mais avec un seul à la fois.  Lorsque le récit mentionne un nombre important de personnes, comme dans la parabole de la fête[8] où beaucoup de gens sont invités au banquet, l’histoire ne s’intéresse qu’à trois des invités.[9]

Les paraboles de Jésus dépeignaient la vie quotidienne de gens du commun—des fermiers, des bergers, des femmes, des pères et des fils, des maîtres et des serviteurs. Ce sont des récits fictifs mais fidèles à la réalité de la vie de tous les jours, à l’époque du Christ. Cela dit, elles ne dépeignent pas obligatoirement des événements avec précision. Certaines histoires donnent une image réaliste, d’autres pas. Un exemple de représentation peu réaliste est l’histoire de l’homme qui devait 10 000 talents, ce qui est l’équivalent de 200 tonnes d’or ou d’argent. Cette parabole exagère délibérément, en employant un procédé que l’on appelle l’hyperbole,  une figure de style consistant à exagérer l'expression d'une idée ou d'une réalité afin de la mettre en relief et qui, dans notre contexte, sert à exprimer l’immense miséricorde de Dieu.[10] L’usage de l’exagération pour persuader était courant dans les écrits et les récits juifs.

Pourquoi des paraboles ? Quelle est la valeur d’une parabole ? Eh bien, tout le monde aime entendre une bonne histoire. Jésus racontait des histoires pour capter l’attention de ses auditeurs, pour les pousser à réfléchir aux questions soulevées par la parabole. Les scénarios relatés et dépeints par Jésus obligeaient souvent ses auditeurs à émettre un jugement moral sur le comportement des personnages de l’histoire, puis à porter un jugement similaire sur certains aspects de leur vie et de leur foi.

Certaines paraboles commencent par une question, comme « Lequel d’entre vous… » ou « Que pensez-vous de … ? » D’autres paraboles posent des questions à la fin. Le but des questions est de provoquer la réflexion, d’amener un changement dans le cœur et la vie de l’auditeur. Parfois la parabole n’a pas de conclusion ni de dénouement; l’histoire reste inachevée, comme en suspens.[11] Par exemple, à la fin de la parabole du fils prodigue, on ne nous dit pas quelle est la décision prise par le frère aîné.[12]

Les paraboles présentent souvent un tableau à l’inverse de ce que l’auditeur attendrait. Le collecteur d’impôts détesté de tous est présenté comme quelqu’un de juste, à l’inverse du pharisien ; le Samaritain se comporte en véritable prochain, contrairement au prêtre et au lévite. Les conclusions étaient à l’inverse de la norme. Elles forçaient leurs auditeurs à voir les choses sous un angle différent, à réfléchir, et à se remettre en question. Elles mettaient les gens au défi de changer.

Généralement, la leçon principale arrive à la fin de la parabole, un peu comme la chute à la fin d’une blague. L’histoire pique votre curiosité, elle capte votre attention et, à la fin, elle révèle les enseignements de la parabole.

Au premier siècle, ceux qui entendaient les paraboles comprenaient la langue, la culture, les coutumes, les expressions et les tournures idiomatiques, mais cela ne signifie pas pour autant qu’ils saisissaient toujours la leçon, le sens profond des paraboles. Parfois, même les disciples de Jésus Lui demandaient quel était le sens d’une parabole. Les enseignements spirituels contenus dans les paraboles ne sautaient pas toujours aux yeux, ce qui obligeait les gens à s’interroger sur leur signification.  

Plusieurs paraboles, tout comme d’autres paroles de Jésus, sont exprimées dans une forme poétique, dans un style de poésie hébraïque appelé le parallélisme ou le redoublement de l’idée. Tout au long de l’histoire du peuple hébreu, les Ecritures et les enseignements du judaïsme étaient transmis oralement, de génération en génération. Pour faciliter la mémorisation, ces écrits et ces enseignements étaient énoncés dans une forme poétique. Pour la même raison, l’enseignement et les paraboles de Jésus étaient dans un style poétique similaire. 

L’Evangile de Jean ne comporte aucune parabole. Dans les Evangiles de Matthieu, Marc et Luc, on compte entre 37 et 65 paraboles, suivant la façon dont elles sont classées. Les érudits divergent sur la définition de la parabole, et par conséquent, ils classent les paraboles différemment.

L’Evangile de Marc ne contient que six paraboles : c’est celui qui en a le moins. Les Evangiles de Matthieu et de Marc contiennent la plupart de celles qui sont en Marc, et d’autres paraboles communes aux deux. Matthieu contient douze paraboles uniques, et Marc en contient dix-huit. Matthieu et Marc groupent tous deux leurs paraboles thématiquement.

Jésus n’était ni le premier ni le seul maître à se servir de paraboles pour enseigner. Dans l’Ancien Testament et les écrits juifs antérieurs au premier siècle, il y avait des paraboles et des écrits semblables aux paraboles, mais très peu sont semblables aux paraboles narratives de Jésus.[13] Certains des premiers écrits gréco-romains contenaient des paraboles, des écrits similaires aux paraboles, ainsi que des analogies. Ils présentent aussi des différences importantes avec les paraboles de Jésus mais ils suivent des schémas similaires.

Les paraboles ne faisaient pas partie des figures de style employées par les auteurs des épîtres. Dans les épîtres, on retrouve quelques analogies, comme dans 1 Corinthiens 9.26–27[14], et Paul nous donne une version allégorique de l’histoire de Sara et Agar[15], mais rien de comparable aux paraboles de Jésus.[16]

Les écrits juifs postérieurs, du deuxième au septième siècle, contiennent souvent des paraboles. Les paraboles rabbiniques de cette période sont semblables aux paraboles de Jésus. De nombreux érudits sont d’avis que les paraboles de Jésus étaient d’inspiration rabbinique, mais on n’a aucune certitude de l’existence de paraboles rabbiniques antérieures au ministère de Jésus.

Donc, bien que Jésus n’ait pas été l’inventeur des paraboles, on ne connaît aucune autre figure historique qui s’en soit servi aussi intelligemment et aussi efficacement que Lui.

Les paraboles de Jésus valent la peine qu’on les étudie. A travers elles, Jésus transmettait son message sur Dieu, sur notre relation avec Lui et les autres, sur la vie et la façon dont elle devrait être vécue. Quand on lit les paraboles, le fait d’avoir une meilleure compréhension du contexte du premier siècle donne davantage de clarté à son message. Cela nous permet de comprendre pourquoi Il a dû faire face à une telle opposition et pourquoi ses ennemis religieux voulaient sa mort. Cela nous montre aussi pourquoi Il était aimé et suivi par autant de personnes.

Les messages que Jésus communiquait par des paraboles offensaient ses ennemis religieux et menaçaient même leur position au sein de la société. En même temps, le message contenu dans ses histoires attiraient ceux qui étaient perdus et cherchaient la vérité. Les paraboles montraient l’amour et la mansuétude de Dieu, son appel au cœur de chaque homme, femme et enfant, et sa volonté de payer le prix fort de l’amour pour amener l’humanité à la rédemption. Ces merveilleuses vérités incitaient les gens à aimer Jésus, à Le suivre et à devenir ses disciples, et même à mourir pour son nom. Aujourd’hui encore ses paroles produisent les mêmes effets.

Les paraboles interpellent celui qui les écoute, et quand nous les étudions, nous devenons des auditeurs. Les paraboles de Jésus ne sont pas seulement des histoires agréables à l’oreille ; elles sont la voix de Jésus qui nous communique son message. Ce sont des petites histoires qui ont une intention profonde, qui ont pour but de rapprocher chacun de nous de Dieu, pour nous inciter à vivre une vie conforme à sa vérité. Quand nous écoutons attentivement ce que Jésus nous dit dans ses paraboles, nous sommes confrontés aux mêmes questions que ses auditeurs de l’époque. Une lumière illuminera notre vie quand nous nous rendrons compte que notre comportement ressemble peut-être davantage à celui du frère aîné ou du riche insensé qui amassait des richesses, ou à celui du prêtre ou du lévite, qu’à celui du Bon Samaritain.

Comme dans toute étude de la Parole de Dieu, quand nous lisons et étudions les paraboles, il est bon de prendre le temps de méditer profondément sur les leçons qu’elles nous adressent et de permettre à ces vérités spirituelles de nous parler. Elles sont censées provoquer un changement dans notre cœur, notre vie, notre attitude, notre façon de voir les choses et notre comportement.

Les paraboles montrent de manière remarquable les différentes façons dont Jésus communiquait l’immense amour de Dieu pour l’humanité et jusqu’où Il était prêt à aller pour nous montrer cet amour, de même que la joie qui est la sienne quand une personne entre dans une relation personnelle avec Lui. Nous verrons comment Jésus décrit le Père, et comment ces descriptions nous ont amenés à porter un regard nouveau sur la nature de Dieu.

Dans cette série sur les histoires racontées par Jésus—les paraboles—j’espère pouvoir partager ce que j’ai appris d’un certain nombre d’auteurs et d’enseignants qui m’ont permis d’avoir une meilleure compréhension de la culture du premier siècle, facilitant ainsi ma lecture des paraboles au vingt-et-unième siècle.

Pour la préparation de chaque segment de cette série, j’ai comparé les écrits de quatorze auteurs reconnus, qui font chacun référence à des centaines d’autres auteurs et érudits. Parfois ces auteurs ne sont pas d’accord entre eux et ils donnent une interprétation différente d’une parabole. Je n’ai pas discuté des différentes opinions et je ne suis pas entré dans les détails de leurs différences pour éviter que le ton de cette série devienne trop académique. Dans cette introduction, j’ai évoqué des informations techniques concernant les paraboles, afin de préciser le contexte, si je puis dire, de notre étude des paraboles qui commencera dans le prochain épisode de cette série.

Une certaine dose de spéculation s’invite toujours dans l’étude de l’histoire et lorsqu’on entreprend de reconstruire la culture, les expériences et la compréhension d’un peuple qui vivait il y a 2 000 ans. Lorsqu’on essaie de comprendre le sens profond des histoires racontées par Jésus, il est parfois nécessaire de faire des suppositions ou d’avancer des explications possibles de la parabole qui ne sont pas clairement explicitées dans les Evangiles. Considérant que les paraboles sont courtes et qu’elles omettent des détails qui ne sont pas essentiels, un certain degré de supposition s’avère utile si l’on veut comprendre le contexte du premier siècle. Toutes les suppositions que j’ai émises dans cette série ont été faites avec prudence, et seulement après avoir lu et comparé ce qu’ont exprimé les différents auteurs que j’ai lus. Ce que je vous présente est ce que je considère comme une interprétation correcte de la signification et de l’intention des paraboles. Vous avez le droit de ne pas être d’accord avec moi et, dans votre étude et vos recherches, vous trouverez peut-être des interprétations qui vous paraîtront meilleures. Mon intention n’est pas d’enfermer qui que ce soit dans une interprétation ou une lecture particulière des paraboles ; au contraire, mon but est de contribuer à élargir et enrichir votre compréhension du message communiqué par Jésus et de la façon dont les auditeurs originaux le comprenaient.

Dans la version transcrite de ces vidéos, vous trouverez les définitions de certains termes avec lesquels vous n’êtes peut-être pas familiers ainsi que des notes de bas de page contenant des références et des informations supplémentaires.

Je prie que cette série enrichisse votre compréhension des paraboles, qu’elle fortifie votre foi et vous encourage à inviter d’autres personnes à les lire et à faire personnellement connaissance avec Jésus—notre merveilleux Sauveur et bienheureux Rédempteur.

Que Dieu vous bénisse.


NB :

Sauf indication contraire, les passages bibliques cités sont extraits de la Sainte Bible, version du Semeur, copyright ©2000 par la Société Biblique Internationale. Tous droits réservés. Avec permission.



[1] Métaphore : emploi d’un terme concret pour exprimer une notion abstraite par substitution analogique, sans qu'il y ait d'élément introduisant formellement une comparaison. (Dictionnaire de français Larousse) ; figure de style qui consiste, par analogie, à donner à un mot un sens qu'on attribue généralement à un autre. [exemple : Ma jeunesse ne fut qu'un ténébreux orage. Charles Baudelaire]. (Dictionnaire français lintern@ute).

[2] Comparaison : une figure de style qui consiste à établir un rapport de ressemblance entre deux termes d'un énoncé grâce à un troisième terme introducteur (comme, ainsi que, tel, etc.) [exemple : La lampe brille comme une étoile.] (Dictionnaire de français Larousse) 

[3] Bailey, Kenneth E. Jesus Through Middle Eastern Eyes [Jésus à travers les yeux du Moyen-Orient]. Downers Grove: InterVarsity Press, 2008, 21.

[4] Depuis les années 1780, on appelle les trois premiers livres du Nouveau Testament les Evangiles synoptiques, du fait qu’ils possèdent une structure, un contenu et une formulation tellement similaires que l’on peut facilement les mettre côte à côte pour établir une comparaison synoptique [commune] de leur contenu. (Encyclopedia Britannica Online.)

[5] Green, Joel B., and Scot McKnight, eds. Dictionary of Jesus and the Gospels [Dictionnaire de Jésus et des Evangiles]. Downers Grove: InterVarsity Press, 1992, 591.

[6] Roberto D. Badenas, “Teaching Through Parables: Following Jesus,” paper prepared for the 31st International Faith and Learning Seminar held at Friedensau University, Germany, July 13–25 2003. [“Enseigner au moyen de paraboles: suivre Jésus”, un article préparé pour le 31ème Séminaire international de la foi et de l’enseignement, qui s’est tenu en Allemagne, à l’Université de Friedensau, du 13 au 25 juillet 2003.

[7] Klyne Snodgrass, Stories with Intent (Des récits pour instruire), (Grand Rapids. William B. Eerdmans Publishing Company, 2008), 17.

[8] Luc 14.16–24.

[9] Klyne Snodgrass, Stories with Intent (Des récits pour instruire), (Grand Rapids. William B. Eerdmans Publishing Company, 2008), 18.

[10] Klyne Snodgrass, Stories with Intent (Des récits pour instruire), (Grand Rapids. William B. Eerdmans Publishing Company, 2008), 18.

[11] Klyne Snodgrass, Stories with Intent (Des récits pour instruire), (Grand Rapids. William B. Eerdmans Publishing Company, 2008), 18–19.

[12] Luc 15.11–32.

[13] Green, Joel B., and Scot McKnight, eds. Dictionary of Jesus and the Gospels [Dictionnaire de Jésus et des Evangiles]. (Downers Grove: InterVarsity Press, 1992), 594.

[14] C’est pourquoi, si je cours, ce n’est pas à l’aveuglette, et si je m’exerce à la boxe, ce n’est pas en donnant des coups en l’air. Je traite durement mon corps, je le maîtrise sévèrement, de peur qu’après avoir proclamé la Bonne Nouvelle aux autres, je ne me trouve moi-même disqualifié. (1 Corinthiens 9.26–27).

[15] Galates 4.21–31.

[16] Klyne Snodgrass, Stories with Intent (Des récits pour instruire), (Grand Rapids. William B. Eerdmans Publishing Company, 2008), 51–52.

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