Ressembler davantage à Jésus : la gratitude (3ème partie)

Par Peter Amsterdam

novembre 26, 2017

 [More Like Jesus: Gratitude, Part 3]

Dans l’article précédent nous avons vu que « revêtir » le contentement fait partie intégrante de la gratitude. Nous allons maintenant examiner trois « tueurs » de gratitude dont nous voulons nous débarrasser pour avoir plus de gratitude. Ces tueurs sont l’envie, la convoitise, et la cupidité. Commençons par l’envie.

L’envie

L’envie a de multiples définitions : le fait de vouloir ce que quelqu’un d’autre a ; le sentiment amer ou l’insatisfaction qui nous fait jalouser la réussite, la chance, les qualités, ou les possessions de quelqu’un d’autre; le sentiment de mécontentement et de malveillance envers les avantages et les possessions d’autrui ; l’impression de la présence chez une autre personne de quelque chose de bon, mais qui nous manque à nous-mêmes ; un état d’esprit qui vous fait penser qu’il vous manque quelque chose qui vous permettrait d’être admiré autant que vous admirez la personne qui a les qualités désirées ou les biens que vous enviez.

L’envie figure dans la liste des différents péchés énumérés dans le Nouveau Testament[1], y compris dans celle de Jésus :

Car c’est du dedans, c’est du cœur de l’homme que proviennent les pensées mauvaises qui mènent à l’immoralité, au vol, au meurtre, à l’adultère, l’envie, la méchanceté, la tromperie, le vice, la jalousie, le blasphème, l’orgueil, et à toutes sortes de comportements insensés. Tout ce mal sort du dedans et rend l’homme impur.[2]

L’apôtre Pierre écrivait :

Débarrassez-vous donc de toute méchanceté et toute ruse, de l'hypocrisie, l'envie et toute médisance.[3]

Dans l’Ancien Testament nous voyons l’envie dans la haine que les frères de Joseph ressentaient envers lui parce qu’il était le préféré de leur père[4], ainsi que chez Rachel qui enviait sa sœur Léa, parce qu’elle avait des enfants et que Rachel n’en avait pas.[5]Le roi Saül était très envieux de David parce qu’il était admiré du peuple pour toutes ses victoires.[6]

Au départ de l’envie il y a le désir. Bien entendu, tous les désirs ne sont pas mauvais. Il va de soi que nous désirons tous certaines choses – plus d’argent, une meilleure santé, que nos enfants réussissent, la stabilité, la sécurité, etc. Le problème surgit quand les autres ont des choses que nous désirons et que nous en éprouvons de la rancœur, de la colère, ou de la tristesse. L’envie ne se focalise pas seulement sur les choses matérielles ; elle peut aussi survenir quand quelqu’un réussit quelque chose que nous voulons accomplir, ou a atteint un certain statut ou une certaine position que nous désirons. L’envie s’invite quand nous voyons quelqu’un avoir certains avantages ou bénédictions que nous voulons pour nous-mêmes ; et malheureusement, elle nous amène souvent à souhaiter que l’autre personne perde la chose dont nous sommes envieux. Parfois cela nous amène même à manœuvrer pour que cela arrive.    

Quand nous sommes envieux des autres, leur succès nous fait nous sentir mal ; cela nous donne le sentiment d’être nuls. Cela nous fait penser que nous sommes en compétition avec les autres et que nous perdons quelque chose quand ils s’en sortent mieux que nous ou qu’ils obtiennent ce que nous voulons. Cette perception peut engendrer du ressentiment envers Dieu parce que nous pensons qu’Il nous en donne moins que nous le méritons ou qu’Il aime les autres plus que nous.

Quand nous nous laissons influencer par l’envie, nous devenons progressivement incapables d’apprécier nos bénédictions, parce que nous voyons ce que nous avons ou ce que nous sommes en nous comparant avec ce que les autres ont ou sont. Nous développons une attitude du genre je ne m’en sors pas bien financièrement parce que j’en ai moins d’argent qu’elle, ou je ne suis pas apprécié parce qu’il gagne plus d’argent que moi. Quand nous nous mettons à penser comme ça, nous adoptons l’attitude erronée selon laquelle nous ne pouvons être heureux que si les autres ont moins de choses que nous.

Quand on est animé par l’envie, on a beaucoup de difficulté à être content ou reconnaissant. Plutôt que de remercier Dieu pour nos bénédictions, pour ce que nous sommes, et ce que nous avons, nous devenons amers parce que nous n’en avons pas plus. Même si Dieu nous en donne plus, l’envie nous pousse à continuer de nous comparer aux autres que nous considérons comme encore plus bénis. Cela devient une spirale sans fin de mécontentement, d’insatisfaction, et d’ingratitude. Nous ne sommes jamais satisfaits, et toute satisfaction que nous pouvons avoir est de courte durée, car nous trouverons toujours quelqu’un qui est mieux loti que nous.

L’envie tue la gratitude et le contentement ; elle nous prive de notre joie, nous fait éprouver de l’animosité envers Dieu, et nous éloigne de Lui. En revanche, la gratitude et le contentement nous font apprécier ce que nous avons et remercier le Seigneur pour sa sollicitude et sa providence, quelle que soit notre situation. Elles se fondent sur notre amour et notre confiance en Dieu, qui subvient à nos besoins, nous aime, et prend soin de nous. En 1 Corinthiens 13, le chapitre de l’amour, nous lisons que L’amour est patient, il est plein de bonté, l’amour. Il n’est pas envieux, il ne cherche pas à se faire valoir, il ne s’enfle pas d’orgueil.[7]  Si nous voulons avoir un esprit reconnaissant, nous devons vaincre l’envie en aimant les autres, en nous réjouissant avec eux de leurs bénédictions et de leurs succès, en remerciant le Seigneur de les bénir, et en réagissant à leurs succès comme nous voudrions qu’ils réagissent aux nôtres.

La clé pour vaincre l’envie c’est d’aimer Dieu et de Lui faire confiance. Quand nous comprenons que nous sommes ses enfants, et qu’Il nous aime profondément, nous pouvons avoir la foi que quoi qu’il arrive, Il fera toujours ce qui est le mieux pour nous – même si, sur le moment, nous n’avons pas l’impression que ce soit le cas. Quand nous Lui faisons confiance, nous plaçons notre confiance dans ce qui Il est et dans sa personnalité, parce que nous savons qu’Il est bon et aimant, et par conséquent nous pouvons être contents quelle que soit la situation dans laquelle nous nous trouvons.

La convoitise

La convoitise est le désir immodéré de posséder ce qui appartient à quelqu’un d’autre. C’est expressément interdit dans le dernier des Dix Commandements :

Tu ne convoiteras pas la maison de ton prochain, tu ne convoiteras ni sa femme, ni son serviteur, ni sa servante, ni son bœuf, ni son âne, ni rien qui lui appartienne.[8]

La convoitise est aussi définie comme un désir excessif de gain matériel ou une soif de posséder des choses matérielles. Jésus disait :

Gardez-vous avec soin du désir de posséder, sous toutes ses formes, car la vie d’un homme, si riche soit-il, ne dépend pas de ses biens.[9]

L’apôtre Paul écrivait :

Faites donc mourir tout ce qui, dans votre vie, appartient à la terre, … la soif de posséder — qui est une idolâtrie.[10]

Et … la soif de posséder, qu’il n’en soit pas même question entre vous.[11]

Car, sachez-le bien : aucun homme qui se livre …. à la soif de posséder — qui est une idolâtrie — n’a d’héritage dans le royaume du Christ et de Dieu.[12]

Vouloir s’approprier ce qui appartient aux autres ou avoir un appétit excessif pour les choses matérielles est clairement considéré comme quelque chose de malsain et d’inique dans les Ecritures. Si nous adoptons l’attitude selon laquelle une accumulation de richesses et de possessions est nécessaire à notre bonheur, et que cela devient notre objectif principal, cela revient à donner la priorité à nos biens matériels plutôt qu’à Dieu qui la mérite à juste titre. Paul disait de la convoitise que c’est une idolâtrie, parce qu’elle occupe dans notre cœur la place qui appartient à Dieu seul.

L’argent et les possessions ne sont pas intrinsèquement mauvais. Le huitième commandement, Tu ne commettras pas de vol[13], et le dixième, qui nous dit de ne rien convoiter de ce qui appartient à notre prochain[14], indiquent tous deux que la propriété privée est une bonne chose. Toutefois, quand nous accordons trop d’importance aux choses matérielles, nous devenons cupides. Quand notre appétit pour les possessions et l’argent deviennent notre priorité, cela revient à servir l’argent, ce que Jésus a expressément condamné.

« Ne vous amassez pas des richesses dans ce monde, où les vers et la rouille détruisent, où les cambrioleurs forcent les serrures pour voler. Amassez-vous plutôt des richesses dans le ciel, où il n’y a ni vers ni rouille pour détruire, ni cambrioleurs pour forcer les serrures et voler. Car ton cœur sera toujours là où sont tes richesses. …  Personne ne peut servir deux maîtres : ou bien il haïra le premier et aimera le second ; ou bien il s’attachera au premier et méprisera le second. Vous ne pouvez pas servir à la fois Dieu et l’argent ».[15]

Il est dangereux d’avoir une attitude malsaine envers les biens matériels, et il faut donc l’éviter :

Ceux qui veulent s’enrichir tombent dans la tentation, ils sont pris au piège par de nombreux désirs insensés et néfastes, qui plongent les hommes dans la ruine et provoquent leur perte. Car l’amour de l’argent est la racine de toutes sortes de maux. Certains ont eu une telle envie d’en posséder qu’ils se sont égarés loin de la foi et se sont infligé bien des tourments. Mais toi, homme de Dieu, évite tout cela.[16]

Quand nos possessions ou l’envie excessive d’en avoir plus occupent une place prépondérante dans notre cœur, quand notre bonheur en dépend, alors nous sommes animés par la convoitise. Si c’est le cas, nous devons demander à Dieu de nous aider à nous ressaisir, et nous concentrer sur les bénédictions qu’Il nous a données, plutôt que d’être obnubilés par ce que les autres ont et que nous n’avons pas. Nous devons Lui demander de nous aider à être reconnaissants pour les bénédictions que nous avons, à être contents de ce qu’Il nous a donné, et de nous délivrer de cette mauvaise habitude de croire que notre joie ne peut venir que de l’accumulation de richesses et de possessions matérielles.

La clé pour combattre la convoitise c’est d’être conscients de nos bénédictions, d’être reconnaissants et contents de les avoir – qu’elles soient nombreuses ou pas. Nous devrions nous demander : « Est-ce que je passe mon temps à penser aux choses terrestres plutôt qu’aux choses célestes ? Est-ce que je fais confiance à l’argent pour ma sécurité plutôt qu’à l’amour de Dieu ? Est-ce que j’ai trop envie d’avoir de l’argent et des choses matérielles ? Est-ce que j’ai fixé des limites à mon mode de vie pour éviter d’avoir un excès de possessions, en sorte que si Dieu me bénit abondamment, je ne dépasse pas cette limite ?

La cupidité

La cupidité est le désir irrésistible d’avoir toujours plus de quelque chose, un amour malsain des richesses, fondé sur la mauvaise appréciation que le bonheur ou le bien-être d’une personne est lié à la somme de ses possessions. Dans un sens, cela se manifeste sous deux formes différentes. D’une part, cela nous dit « il faut que tu aies cela » ce qui nous pousse à rechercher ces choses ; et dans le même temps : « tu dois t’y accrocher fermement » si bien que nous nous accrochons désespérément à ce que nous avons, ce qui nous incite à agir de manière égoïste et mesquine. La cupidité n’est pas réservée à ceux qui ont des richesses ; elle peut tout aussi bien affecter ceux qui sont dans le besoin, parce que l’objet de la cupidité n’est pas ce que nous avons mais ce que nous voudrions avoir.

Bien que le désir d’avoir des choses ne soit pas nécessairement mauvais, cela le devient quand ce désir nous obsède. Le désir se transforme en cupidité quand l’obtention de ce que nous voulons devient le centre de nos pensées ; nous le voulons au point de compromettre nos valeurs ou notre intégrité pour l’obtenir. Très souvent, les gens sont prêts à s’endetter lourdement parce qu’ils veulent à tout prix acquérir certaines choses qu’ils n’ont pas les moyens de se payer. (Ce genre de dette est différent des prêts au logement ou des emprunts commerciaux, qui peuvent être de bons investissements.)

La cupidité ce n’est pas seulement désirer de l’argent et ce que l’argent peut acheter ; cela peut s’appliquer à tous les désirs que nous avons. Nous pouvons être avides de réussite, au point de sacrifier notre mariage, notre famille, nos enfants, ou notre santé pour accomplir plus de choses, pour être plus performants, ou pour recevoir les compliments et l’admiration des autres. Nous pouvons faire preuve de cupidité dans nos relations, au point d’exiger de plus en plus de temps et d’attention des personnes qui nous sont chères. Quand nous cédons à la cupidité, nos désirs naturels peuvent se transformer en une pulsion incontrôlable de vouloir toujours acquérir plus, sans tenir compte ou sans nous soucier de ce qui est le mieux pour nous et pour les autres.

Nous pouvons déceler les symptômes de la cupidité en nous lorsque quand nous prenons conscience que nous sommes animés d’une envie irrépressible ou malsaine d’avoir quelque chose que nous n’avons pas, au point que cela nous obnubile et que son obtention  est tellement importante que cela  remplace nos priorités. Nous pouvons aussi voir que nous sommes animés par la cupidité si, alors que nous avons atteint le but que nous nous sommes efforcés d’atteindre ou que nous avons acquis les choses que nous voulions, au lieu d’être satisfaits et reconnaissants d’avoir atteint notre objectif, nous éprouvons un sentiment d’insatisfaction et d’en vouloir toujours, en nous focalisant encore une fois sur ce que nous n’avons pas. Un autre symptôme est de chercher la satisfaction immédiate, et donc plutôt que de chercher à atteindre patiemment notre but, nous cherchons des raccourcis pour l’obtenir le plus tôt possible et à n’importe quel prix, en agissant, si besoin est, de façon malhonnête pour y parvenir.

Si l’on veut combattre la cupidité il faut comprendre que tout ce que nous avons appartient essentiellement à Dieu et que c’est Lui qui nous l’a donné, parce qu’Il est généreux. Dieu nous bénit de nombreuses façons, pourtant lorsque nous sommes cupides, nous Lui disons essentiellement qu’Il ne nous en donne pas assez, et qu’Il ne s’intéresse pas à nous. Un livre donne cet exemple de ce qu’est la cupidité par rapport à Dieu :

La cupidité insulte Dieu en disant : « Tu ne m’en donnes pas assez, alors je vais me faire des réserves moi-même. » Le terme insulter Dieu peut paraître sévère, mais comment vous sentiriez-vous si votre enfant vous disait quelque chose du genre : « Tu ne vas peut-être pas me donner assez à manger au diner ce soir, alors je garde un peu de pain du déjeuner, et je chipe aussi un peu du déjeuner de Jean-Pierre. J’ai pris quelques boites dans le placard et je les ai cachées dans mon tiroir à chaussettes – tu sais … juste au cas où tu ne ferais pas le nécessaire. » Ce serait un véritable affront, n’est-ce pas ? Eh bien, c’est exactement ce que j’ai le sentiment de faire lorsque j’oublie la générosité habituelle de Dieu et que je me mets à faire des réserves avec ce qu’Il me donne ou que j’en prends plus qu’il ne m’est nécessaire.[17]

La cupidité est le sentiment qu’on a un droit légitime, l’idée que nous méritons quelque chose et que Dieu ou le monde nous la doivent. Nous faisons preuve de cupidité quand nous sommes égoïstes et égocentriques, quand nous ne pensons qu’à ce que nous voulons, et que nous manifestons très peu de compassion parce qu’à nos yeux, nos propres besoins sont bien plus importants que ceux des autres ; quand nous nous appuyons sur nos propres efforts au lieu de faire confiance à Dieu et d’attendre son heure et sa provision. Nous faisons preuve de cupidité quand nous dérobons ce que nous voulons et stockons ce que nous avons. C’est comme si nous adhérions à la devise « celui qui meurt avec le plus de jouets a gagné », sans être conscient du fait que celui qui meurt avec le plus de jouets est quand même mort, et qu’il doit rendre compte à Dieu de son existence. La cupidité génère de l’anxiété, parce que nous sommes toujours à la poursuite de quelque chose de plus. Quand nous sommes cupides, nous ne sommes jamais satisfaits.

Si nous voulons contrecarrer l’emprise de la cupidité, il est essentiel de progresser dans la générosité et de cultiver l’habitude de partager. (Davantage sur la générosité dans le prochain article.) En cultivant la générosité, notre objectif est d’avoir un trésor dans le ciel.[18]Cela nous rappelle aussi que la vie est courte et qu’après notre mort nous laisserons derrière nous toutes nos possessions, notre position, nos titres, et nos richesses, et que par conséquent, ces choses ne doivent pas avoir une place prépondérante dans notre vie. Une autre chose dont nous devons tenir compte est que les Ecritures nous mettent souvent en garde contre le danger des richesses et l’effet nocif qu’elles peuvent avoir sur nous. Ni nos possessions matérielles ni notre position sociale ne nous satisferons jamais complètement, car le vrai bonheur se trouve seulement en Dieu. Quand on Lui promettait les royaumes du monde et toutes ses richesses, Jésus a rejeté cette offre, car Il n’avait aucune intention de se détourner de ce qui Lui était le plus précieux – aimer et servir son Père.[19]

Si nous désirons ressembler davantage à Jésus, alors nous devons avoir une attitude saine vis-à-vis des possessions matérielles, de notre statut social, et de l’argent ; et cela commence par l’admission que tout ce que nous avons appartient à Dieu, et que nous sommes uniquement des intendants qui ont la responsabilité d’en prendre soin et de les gérer suivant ses instructions. Les Ecritures nous enseignent que ce que Dieu nous a donné doit être utilisé d’une manière qui Le glorifie ; en nous occupant des besoins de notre famille et des personnes qui nous sont chères, en Lui en rendant une partie sous forme de dîme et de dons charitables, et en aidant les gens qui sont dans le besoin et qu’Il a placés sur notre route. Nous sommes appelés à être reconnaissants envers Dieu, quelle que soit notre situation, et à Lui exprimer notre gratitude parce qu’Il prend soin de nous. Quand nous prenons conscience de son amour et de sa protection, que nous apprenons à être contents, et à Lui exprimer notre gratitude parce qu’Il subvient à nos besoins, et quand nous croyons et appliquons ses règles de bonne intendance, nous sommes en position de vaincre l’envie, la convoitise et la cupidité, et de vivre dans le contentement. Cela fait partie de notre cheminement pour ressembler davantage à Jésus.  

(La suite dans la quatrième partie de « la gratitude ».)

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NB :

Sauf indication contraire, les passages bibliques cités sont extraits de la Bible du Semeur, copyright ©2000 par la Société Biblique Internationale. L’autre version citée est La Segond 21 (SEG21). Tous droits réservés. Avec permission.

 



[1] Romains 1.29–31; Galates 5.19–21; 1 Timothée 6.3–6; Tite 3.3.

[2] Marc 7.21–23.

[3] 1 Pierre 2.1 SEG21.

[4] Genèse 37.

[5] Genèse 30.1.

[6] 1 Samuel 18.

[7] 1 Corinthiens 13.4.

[8] Exode 20.17.

[9] Luc 12.15.

[10] Colossiens 3.5.

[11] Ephésiens 5.3.

[12] Ephésiens 5.5.

[13] Exode 20.15; Lévitique 19.11.

[14] Exode 20.17.

[15] Matthieu 6.19–21, 24.

[16] 1 Timothée 6.9–11.

[17] Katie Brazelton and Shelley Leith, Character Makeover [Transformation du caractère](Grand Rapids. Zondervan, 2008), 254.

[18] Luc 18.22.

[19] Matthieu 4.8–10.

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