Jésus—Sa vie et son message : les miracles (2ème partie)

Par Peter Amsterdam

novembre 25, 2018

[Miracles, Part 2]

La guérison d’un lépreux

Nous qui lisons les évangiles ne savons pas exactement combien de miracles Jésus a accomplis. Nous lisons des passages qui nous disent que tous ceux qui avaient des maladies se pressaient autour de Lui pour Le toucher, qu’Il guérissait beaucoup de malades atteints de diverses maladies, et qu’on Lui amenait les malades partout où Il allait. L’évangile de Jean se termine en nous disant que ce qui a été écrit sur Jésus n’est qu’une toute petite partie de tout ce qu’Il a fait :

Jésus a accompli encore bien d’autres choses. Si on voulait les raconter une à une, je pense que le monde entier ne suffirait pas pour contenir tous les livres qu’il faudrait écrire.[1]

Bien que nous ne connaissions pas tous les miracles que Jésus a accomplis, nous en connaissons beaucoup, du fait que les auteurs des évangiles en ont suffisamment consignés par écrit pour nous donner des exemples précis de ses puissantes œuvres afin que nous, les lecteurs, comprenions que Jésus est celui qu’Il prétendait être—le Messie, le Fils de Dieu. Comme le fait d’avoir vu ou entendu parler de ses miracles à son époque avait convaincu beaucoup de gens qu’Il était le Messie, le faire de lire aujourd’hui le récit de ses miracles peut amener les gens à croire.

Chacun des auteurs de l’Evangile rapporte certains miracles qui ne sont mentionnés que dans leur Evangile. Celui de Marc en contient deux, celui de Matthieu trois, et ceux de Luc et Jean cinq chacun. Un seul miracle est décrit dans les quatre évangiles : c’est celui où Jésus nourrit cinq mille personnes. Les évangiles de Matthieu, Marc et Luc ont en commun onze miracles, bien qu’ils les placent dans des contextes différents. Dans cet article et dans les suivants de cette série, lorsque je commenterai un miracle qui figure dans plusieurs évangiles, je citerai une seule version, et je commenterai aussi, le cas échéant, les différences entre les versions.

Le miracle de Jésus guérissant le lépreux est décrit dans les trois évangiles synoptiques (Matthieu, Marc, Luc). Je vais citer la version de Marc, qui dit :

Un lépreux s’approcha de lui. Il le supplia, tomba à genoux devant lui et lui dit : —Si tu le veux, tu peux me rendre pur. Jésus, pris de pitié pour lui, tendit la main, le toucha et lui dit :—Oui, je le veux, sois pur. A l’instant même, la lèpre le quitta et il fut pur. Jésus le renvoya aussitôt, après lui avoir fait de sévères recommandations : —Attention, ne dis rien à personne de ce qui t’est arrivé, mais va te faire examiner par le prêtre et apporte l’offrande prescrite par Moïse pour ta purification. Cela leur prouvera qui je suis. Mais lui, à peine sorti, se mit à proclamer à tout le monde ce qui lui était arrivé et il répandit la nouvelle partout. A cause de cela, Jésus ne pouvait plus aller ouvertement dans une localité ; il se tenait en dehors, dans des lieux déserts. Cependant, on venait à lui de toutes parts.[2]

Aujourd’hui, le mot lèpre désigne principalement la maladie de Hansen. Toutefois, à l’époque biblique, c’était un terme au sens plus large qui incluait une variété de maladies de la peau, y compris la maladie de Hansen. Certaines des maladies de la peau de l’époque biblique que l’on classait avec la lèpre—comme le psoriasis, le lupus, les mycoses cutanées, et la teigne des cheveux—étaient guérissables, comme on peut le voir en Lévitique 13 et 14. À l’époque, on ne pouvait pas guérir de la maladie de Hansen. Toute personne atteinte de ce qu’on appelait lèpre dans la Bible faisait que le malade était considéré comme « impur », et, en tant que tel, il était banni de la société et ne pouvait plus avoir de contact physique avec ses amis et ses voisins, et même avec sa propre famille et son propre foyer, conformément aux prescriptions de Lévitique 13 et 14, à moins que, ou jusqu’à ce qu’il soit guéri. Une fois guérie, la personne participait à une cérémonie religieuse qui durait huit jours, après quoi elle était déclarée « pure » par un prêtre.

La séparation avait pour but d’éviter la contagion de la maladie, mais, bien entendu, il était difficile pour le malade d’être séparé de sa famille et du reste de la société.

L’homme a une maladie infectieuse, il est impur, et le prêtre doit le déclarer impur. C’est à la tête que le mal l’a frappé. La personne atteinte d’une telle maladie de la peau portera des vêtements déchirés et aura la tête décoiffée ; elle se couvrira la partie inférieure du visage et criera : « Impur ! Impur ! ».[3]

Du fait que la lèpre était parfois considérée comme une punition pour le péché[4], cela ajoutait un fardeau supplémentaire à ceux qui en étaient atteint. L’effet global de la lèpre était une forme de « mort vivante ».[5]

Telle était la condition de l’homme qui s’approcha de Jésus ce jour-là, et s’agenouilla devant Lui pour Lui demander de le guérir. Il s’approcha de Jésus avec humilité. Dans l’Antiquité, le fait de s’incliner devant une autre personne était une marque de respect pour la dignité ou le pouvoir de la personne de vous délivrer d’une détresse urgente.[6] Cet homme était prêt à violer les conventions sociales en s’approchant de Jésus pour être guéri. Il voulait désespérément mener une vie normale. La façon dont il s’adressa à Jésus— Si tu le veux, tu peux me rendre pur— montrait qu’il reconnaissait l’aptitude et le pouvoir de Jésus de le guérir. Une traduction le rend comme ceci : si tu le veux, tu peux me rendre net. Il est intéressant de noter qu’il demanda à Jésus de le purifier plutôt que de simplement le guérir. Un auteur a fait la remarque suivante :

Remarquez bien que sa préoccupation première est d’être pur afin qu’il puisse réintégrer la société juive et redevenir une personne à part entière. C’est une façon très judaïque de considérer la maladie, en se préoccupant de ses effets rituels, tandis qu’un non-juif aurait simplement dit : « Si tu le veux, tu peux me guérir. »[7]

Pris de compassion, Jésus fait une chose d’extraordinaire ; il tend la main et touche l’homme. D’après la loi de Moïse, si quelqu’un était touché ou touchait quelque chose d’impur, il devenait lui-même rituellement impur.

Si quelqu’un touche par inadvertance une chose rituellement impure, que ce soit le cadavre d’une bête sauvage ou domestique impure, ou celui d’un reptile impur… si quelqu’un touche par mégarde une impureté humaine dont le contact rend impur … comme réparation envers l’Eternel pour la faute qu’il a commise, il apportera une femelle de petit bétail, brebis ou chèvre, en sacrifice pour le péché. Le prêtre accomplira pour lui le rite d’expiation pour son péché.[8]

En touchant le lépreux, Jésus devenait rituellement impur et s’exposait à la maladie, mais il est clair que cela ne Le préoccupait pas. Au lieu que ce soit Jésus qui devienne impur en touchant l’homme, c’est l’homme qui est devenu pur lorsqu’Il a été touché par Jésus. Jésus aurait pu le guérir simplement en ordonnant la guérison, mais dans son amour et sa compassion, Il a préféré le toucher. Ce faisant, Il répondait aux deux demandes du lépreux. En réponse à « si tu le veux », Jésus dit qu’Il le voulait (« Oui, Je le veux »), et en réponse à « tu peux me rendre pur », Il dit : « Sois pur ». Nous lisons que la lèpre le quitta immédiatement et qu’il fut guéri.

Ayant guéri l’homme, Jésus le renvoya aussitôt, après lui avoir fait de sévères recommandations : « Attention, ne dis rien à personne de ce qui t’est arrivé, mais va te faire examiner par le prêtre et apporte l’offrande prescrite par Moïse pour ta purification. Cela leur prouvera qui je suis. » Dans le récit de cette guérison chez Matthieu et Luc, il n’est pas dit que Jésus parla sévèrement à l’homme. Le terme grec traduit ici par parler sévèrement signifie normalement « être très en colère » et a été rendu dans d’autres versions par en lui parlant avec sévérité, ou en usant de paroles sévères. Toutefois, en Jean 11.33 et 11.38, ce passage est rendu par Jésus fut profondément bouleversé. Robert Stein écrit ceci :

Il vaut mieux ne pas interpréter « fit de sévères recommandations » comme une dure réprimande faite sous le coup de la colère, mais, à la lumière de ce que nous lisons en Jean 11.33 et 38, il vaut mieux y voir la révélation que Jésus, pour une raison quelconque, a été profondément touché à cette occasion.[9]

Bien que le lépreux ait été guéri de sa maladie, il n’était pas encore déclaré pur et ne pouvait donc pas réintégrer la société. Pour cela, il lui fallait se présenter aux prêtres et se soumettre aux procédures prescrites. C’est pourquoi Jésus lui ordonna d’aller se faire examiner par le prêtre et d’apporter l’offrande prescrite pour la purification. Le processus de purification rituelle durait huit jours et il devait avoir lieu au temple. La procédure, énoncée en Lévitique 14, nécessitait d’abord que le prêtre examine la personne. S’il n’y avait aucun signe de la maladie, l’étape suivante consistait à sacrifier et asperger du sang. Ensuite, la personne devait se raser tous les poils du corps, et laver ses vêtements et tout son corps. Le huitième jour, la personne prenait deux agneaux mâles ainsi que de la farine et de l’huile pour les offrir en sacrifice. Au cours du sacrifice, le prêtre prenait une partie du sang de l’agneau et le mettait sur le bout de l’oreille droite de la personne, sur le pouce de sa main droite et sur le gros orteil de son pied droit. Plus tard au cours de la cérémonie, le prêtre mettait l’huile sur les mêmes parties du corps de la personne. Après que les agneaux avaient été sacrifiés et offerts en holocauste, la personne était purifiée et pouvait alors retourner dans sa famille et réintégrer la société.

Jésus ordonna à l’homme de ne rien dire à personne, mais d’aller se faire examiner par le prêtre. Il y avait probablement deux raisons à cela : la première était que Jésus voulait qu’il garde le silence jusqu’à ce qu’il soit officiellement déclaré pur par les prêtres, et l’autre était qu’Il voulait éviter que son ministère de guérison ne déclenche trop d’enthousiasme. Jésus ajouta qu’Il voulait que l’homme aille se faire examiner par le prêtre car « cela leur prouvera qui je suis. » Les érudits de la Bible discutent de la signification de cette phrase, mais il semble que cela signifie que cette guérison serait à la fois un témoignage pour les prêtres du pouvoir de Jésus, ainsi qu’un témoignage de la présence du Messie pour tous ceux qui entendraient parler de cette guérison.[10]

Il n’est pas dit clairement qu’une fois guéri, le lépreux se présenta au prêtre ou qu’il suivit le rituel de purification, bien qu’il l’ait probablement fait. Mais ce qui est clair, c’est qu’il ne garda pas le silence sur sa guérison merveilleuse et miraculeuse, comme Jésus le lui avait demandé. Au contraire, « Mais lui, à peine sorti, se mit à proclamer à tout le monde ce qui lui était arrivé et il répandit la nouvelle partout. A cause de cela, Jésus ne pouvait plus aller ouvertement dans une localité ; il se tenait en dehors, dans des lieux déserts. Cependant, on venait à lui de toutes parts. »

La guérison d’un lépreux était un événement extraordinaire. L’auteur Craig Keener a écrit :

Certains enseignants juifs, se fondant sur Nombres 12.12 et 2 Rois 5.7, considéraient la lèpre comme une sorte de mort, et la purification d’un lépreux comme une sorte de résurrection des morts.[11]

Le fait que l’homme guéri ait répandu la nouvelle de sa guérison de la lèpre eut pour conséquence que des multitudes virent voir Jésus, —à tel point que, dans chaque ville où Il entrait, les gens accouraient vers Lui et qu’il Lui était difficile d’entrer.

La guérison du lépreux nous montre plusieurs choses sur Jésus. Nous voyons son amour et sa compassion pour ceux qui sont malades. Quand le lépreux Lui dit : « Si tu le veux, tu peux me rendre pur », Jésus lui répondit : « Oui, je le veux ! » Il voulait venir en aide à ceux qui étaient dans le besoin, les guérir, les réconforter et leur donner une nouvelle vie. On voit son empathie en comprenant ce que cela pouvait signifier pour l’homme atteint de la lèpre d’être touché, ce qui ne lui était probablement pas arrivé depuis des années. Jésus aurait pu le guérir sans le toucher, mais Il fit ce pas supplémentaire. Ce n’était pas la seule fois que Jésus touchait quelqu’un d’impur ou était touché par une personne impure. Il a pris la main d’une jeune fille morte pour la ressusciter[12] ; Il a permis à une femme pécheresse de le toucher[13] ; et Il s’est laissé toucher par la femme qui perdait du sang et qui a été guérie[14]. Il apparait clairement que le respect des aspects rituels de la loi de Moïse était beaucoup moins important pour Jésus que la nécessité de faire preuve d’amour et de compassion envers ceux qui en avaient besoin.


Note

Sauf indication contraire, les passages bibliques cités sont extraits de La Bible Du Semeur Copyright © 1992, 1999 by Biblica, Inc.® Tous droits réservés.


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[1] Jean 21.25.

[2] Marc 1.40–45.

[3] Lévitique 13.45–46.

[4] Nombres 12.1–15; 2 Rois 5.25–27; 2 Chroniques 26.16–21.

[5] Robert H. Stein, Mark, 105.

[6] Craig S. Keener, The Gospel of Matthew. A Socio-Rhetorical Commentary [L’Evangile de Matthieu: un commentaire socio-rhétorique], 260.

[7] Ben Witherington III, The Gospel of Mark. A Socio-Rhetorical Commentary [L’Evangile de Marc : un commentaire socio-rhétorique], 103.

[8] Lévitique 5.2–3, 6.

[9] Stein, Marc, 107.

[10] Darrell L. Bock, Luc Volume 1. 1.1–9.50, 447.

[11] Keener, The Gospel of Matthew. A Socio-Rhetorical Commentary [L’Evangile de Matthieu: un commentaire socio-rhétorique], 261.

[12] Matthieu 9.25.

[13] Luc 7.37–38.

[14] Matthieu 9.20–22.

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