Au Cœur de la Foi : L’Homme-Dieu (2ème partie)
septembre 25, 2014
par span> Peter Amsterdam
Au Cœur de la Foi : L’Homme-Dieu (2ème partie)
[The heart of it all: the God-Man , part 2]
Dans la première partie de l’homme-Dieu, nous avons examiné certaines des déclarations et des actes de Jésus qui proclamaient sa divinité.
Ses disciples, qui ont vécu et œuvré à ses côtés pendant les années de son ministère public et qui L’ont observé de près, en sont tous arrivés à la conclusion qu’Il était Dieu.
Le point de vue des disciples de Jésus
Ses disciples étaient tous Juifs et, par conséquent, ils connaissaient les Écritures juives par cœur. Ils étaient conscients du fait que, d’après les Écritures, il n’y avait qu’un seul Dieu, et que le fait d’adorer un autre dieu était un crime passible de mort.
Ces hommes ignoraient que Jésus était Dieu lorsqu’Il les avait appelés à Le suivre. Ils avaient fini par croire qu’Il était le Messie attendu – le Christ. Mais les Juifs en général ne s’attendaient pas à ce que le Messie soit Dieu. Les Juifs contemporains de Jésus pensaient que le Messie serait « l’oint » — de la même façon que les rois d’Israël étaient oints – qui les délivrerait de l’oppression de Rome. Les disciples pensaient que Jésus serait un roi terrestre, oint de Dieu. Ils ne s’imaginaient pas que leur Messie serait Dieu Lui-même. Au fil du temps, les disciples en vinrent à comprendre que Jésus était plus que le Messie, qu’Il était Dieu, mais ce n’est qu’après sa mort et sa résurrection qu’ils le comprirent véritablement.
La nuit même de l’arrestation de Jésus, bien qu’Il les ait avertis de ce qui allait arriver, ils ne comprirent pas ce qui se passait ni les événements qui étaient sur le point de survenir. Quelques jours plus tôt, ils avaient entendu leurs compatriotes ovationner Jésus aux cris de : « Béni soit Celui qui vient de la part du Seigneur », et « Hosanna à Dieu au plus haut des cieux ! »[1] Et voilà que, quelques jours plus tard, cette même foule criait : « Crucifie–Le ! »[2]
Ils L’avaient vu prêcher à des milliers de gens et soigner de nombreuses personnes. Ils avaient été témoins de ses miracles – ils savaient qu’ils n’avaient eu pour commencer que cinq pains et deux poissons, et qu’à la fin du repas ils avaient ramassé plusieurs paniers de restes. Ils L’avaient vu marcher sur l’eau, rendre la vue à des aveugles, guérir des lépreux et ressusciter des morts. Ils avaient assisté à son arrestation, ils avaient vu les Romains Le fouetter et Le crucifier. Ils L’avaient vu rendre l’âme, et ils avaient vu son corps être mis dans une tombe. Ils avaient connu le désespoir et s’étaient cachés après sa mort. Et puis, ils L’avaient vu vivant à nouveau. Ils avaient parlé avec Lui, et quarante jours plus tard, ils L’avaient vu s’élever dans les nuées du ciel.
Les détails de la vie de Jésus, sa mort et sa résurrection, persuadèrent ces hommes – et bien d’autres qui devinrent par la suite ses disciples – que Jésus n’était pas seulement le Messie, mais qu’Il était Dieu. Ses disciples en étaient convaincus au point de le prêcher durant le reste de leurs jours, même si, ce faisant, ils subirent des persécutions, des souffrances, et le martyre. D’après la tradition, presque tous les apôtres furent martyrisés pour leur foi, à l’exception de Jean qui mourut de mort naturelle.
Avant sa crucifixion, les disciples n’avaient sans doute pas tout à fait compris qui était Jésus ni l’importance de sa mort pour les péchés du monde. Mais après sa résurrection et avant son ascension au ciel, Jésus leur expliqua le sens des Écritures, ce qui leur permit d’avoir une meilleure compréhension de son rôle.
« Quand J’étais encore avec vous, Je vous ai dit : “Tout ce que disent à mon sujet la loi de Moïse, les livres des prophètes et les Psaumes, tout cela doit se réaliser.”» Alors Jésus leur ouvre l’intelligence pour qu’ils comprennent les Livres Saints. Il leur dit : « Voici ce qui est écrit dans les Livres Saints : le Messie va souffrir et, le troisième jour, Il se relèvera de la mort. En son nom, voici ce qu’on annoncera à tous les peuples, en commençant par Jérusalem : « Changez votre vie, et Dieu pardonnera vos péchés ! ».[3]
Alors, commençant par les livres de Moïse et parcourant tous ceux des prophètes, Jésus leur expliqua ce qui se rapportait à Lui dans toutes les Écritures.[4]
À partir de la Pentecôte, les disciples commencèrent à prêcher que Jésus avait une nature divine et à l’écrire dans les évangiles et les épîtres ; dans cet article, nous citerons des extraits de leurs déclarations. Ce sont les écrits du Nouveau Testament – les Évangiles et les Épîtres – qui ont posé les fondements du christianisme : la divinité de Jésus, son incarnation, et la doctrine de la Trinité.
La foi juive et le blasphème
Tous les premiers disciples et les apôtres étaient juifs. Paul, qui est l’auteur de nombreuses épîtres du Nouveau Testament, n’est devenu un disciple de Jésus que plusieurs années après son ascension au ciel. On le considère cependant comme un des apôtres qui joua un rôle majeur dans le développement de la doctrine chrétienne et de l’église primitive. Il n’était pas seulement juif, mais comme il l’a précisé, il était « de pur sang hébreu. Pour ce qui concerne le respect de la Loi, [il] faisait partie des Pharisiens. Quant au zèle, [il] l’a conduit à persécuter l’Église. Face aux exigences de la Loi, [il] était sans reproche. »[5]
Pour les Juifs de l’époque, et surtout pour quelqu’un d’aussi zélé que Paul, les Écritures – la Loi et les Prophètes – faisaient partie intégrante de leur vie. Ils obéissaient à la Loi, aussi bien à la loi morale qu’à la loi cérémoniale. Elle régissait toute leur vie. Leur contexte, leur culture et leur vision du monde étaient totalement immergées dans les Écritures et les traditions qui s’étaient développées autour des Écritures. Ce que l’Écriture déclarait comme mauvais était universellement perçu comme mauvais. S’ils désobéissaient aux injonctions de l’Écriture, ils risquaient la punition encourue pour cette désobéissance, pas seulement spirituellement mais aussi physiquement. À cette époque, une femme prise en flagrant délit d’adultère encourait la mort par lapidation. Etienne, l’un des premiers disciples, fut lapidé pour avoir proféré ce que les Juifs considéraient comme un blasphème. Telles étaient les lois qui régissaient le peuple juif, et le non-respect de ces lois entraînait de graves conséquences.
Au cœur de la foi juive, soutenue par la Loi juive, se trouvait l’allégeance envers Dieu. L’adoration du Dieu d’Israël était d’une importance capitale. La fidélité à Dieu, et à Lui seul, était au centre de leur foi.
Ecoute, Israël, l’Éternel est notre Dieu, Il est le seul Éternel. Tu aimeras l’Éternel ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ta force.… C’est l’Éternel ton Dieu que tu dois révérer, c’est à Lui que tu rendras un culte, et c’est par son nom que tu prêteras serment. Vous ne vous rallierez pas à d’autres dieux, ces dieux des peuples qui vous entoureront, car l’Éternel votre Dieu, qui est au milieu de vous, est un Dieu qui ne tolère aucun rival : Il se mettrait en colère contre vous et vous ferait disparaître de la surface de la terre.[6]
Je suis l’Éternel ton Dieu qui t’ai fait sortir d’Égypte, du pays où tu étais esclave. Tu n’auras pas d’autre dieu que Moi. Tu ne te feras pas d’idole ni de représentation quelconque de ce qui se trouve en haut dans le ciel, ici–bas sur la terre, ou dans les eaux plus bas que la terre. Tu ne te prosterneras pas devant de telles idoles et tu ne leur rendras pas de culte, car Moi, l’Éternel, ton Dieu, Je suis un Dieu qui ne tolère aucun rival : Je punis les fils pour la faute de leur père, jusqu’à la troisième, voire la quatrième génération de ceux qui Me haïssent. Mais J’agis avec amour jusqu’à la millième génération envers ceux qui M’aiment et qui obéissent à mes commandements.[7]
Celui qui offrira des sacrifices à d’autres dieux qu’à l’Éternel devra être exécuté.[8]
Un peu plus tôt dans le courant du ministère de Jésus, alors qu’Il venait de marcher sur l’eau, la Bible nous rapporte que ses disciples se prosternèrent devant Lui et Lui dirent : « Tu es vraiment le Fils de Dieu. »[9] D’ailleurs, après avoir été les témoins de la mort de Jésus et L’avoir vu ensuite vivant, les disciples L’ont invariablement adoré comme Dieu. Ce qui était tout à fait impensable au regard de la Loi, des coutumes et de la culture juives. Pourtant, les disciples étaient tellement convaincus de la nature divine de Jésus qu’ils n’ont pas hésité à franchir le pas.
Les onze disciples se rendirent en Galilée, sur la colline que Jésus leur avait indiquée. Dès qu’ils L’aperçurent, ils L’adorèrent.[10]
Quant à eux, après L’avoir adoré, ils retournèrent à Jérusalem, le cœur rempli de joie.[11]
« Allez vite dire à ses disciples : ‘Il est revenu d’entre les morts et Il va maintenant vous attendre en Galilée ; c’est là que vous Le verrez.’ Voilà ce que j’avais à vous dire. » Elles quittèrent rapidement le tombeau, remplies tout à la fois de crainte et d’une grande joie, et coururent porter la nouvelle aux disciples de Jésus. Tout à coup, Jésus vint à leur rencontre et dit : « Je vous salue ! » Elles s’approchèrent de Lui, saisirent ses pieds et L’adorèrent.[12]
Témoignages des auteurs du Nouveau Testament
Les auteurs du Nouveau Testament, dont un certain nombre étaient des apôtres, déclarent sans équivoque que Jésus est Dieu.
Le Christ qui est au-dessus de tout, Dieu béni pour toujours.[13]
Au commencement de toutes choses, la Parole [Jésus] existait déjà ; Celui qui est la Parole était avec Dieu, et Il était Dieu. Celui qui est la Parole est devenu un homme et Il a vécu parmi nous.[14]
De la part de Simon Pierre, serviteur et apôtre de Jésus–Christ, à ceux qui ont reçu, par la justice de notre Dieu et Sauveur Jésus–Christ, une foi du même prix que la nôtre.[15]
… en attendant que se réalise notre bienheureuse espérance : la révélation de la gloire de Jésus–Christ, notre grand Dieu et Sauveur.[16]
… Jésus–Christ. Il est Lui–même le Dieu véritable et la vie éternelle.[17]
Thomas Lui répondit [à Jésus] : « Mon Seigneur et mon Dieu ! »[18]
Ce dernier exemple, où l’on voit Thomas appeler Jésus Seigneur et Dieu, est l’une des références les plus significatives, puisque Thomas donne à Jésus deux noms qui signifient, l’un comme l’autre, Dieu. L’Évangile de Jean, qui fut rédigé en grec, emploie les mots grecs Kyrios (Seigneur) et Theos (Dieu).
Kyrios est la traduction grecque du mot hébreu Adonaï (Seigneur) que les Juifs employaient à la place de YHWH, le nom que Dieu avait révélé à Moïse sur le Mont Sinaï. Comme les Juifs ne prononçaient pas le nom YHWH, ils appelaient Dieu « Seigneur ». Donc Adonaï (Kyrios) était une référence directe au nom de Dieu YHWH.
Dans ce verset, le mot Dieu est la traduction de l’hébreu Elohiym par le grec Theos, qui signifie aussi Dieu. Donc, Thomas déclare sans ambigüité que Jésus est à la fois YHWH and Elohiym, deux mots hébreux qui signifient Dieu, lorsqu’il dit « mon Seigneur (Kyrios-YHWH) et mon Dieu (Theos-Elohiym). »
Dans l’Ancien Testament, on trouve un exemple dans le Psaume 35, verset 23, où Dieu est appelé à la fois Seigneur (Adonaï) et Dieu (Elohiym) :
Réveille–Toi, lève-Toi pour me faire justice ! Mon Dieu et mon Seigneur, défends ma cause ![19]
Des pouvoirs divins
En plus d’avoir appelé Jésus Dieu et de L’avoir adoré comme tel, les auteurs du Nouveau Testament ont écrit que Jésus a fait ou est capable de faire des choses que seul Dieu peut faire – à commencer par la création de toutes choses.
Tout a été créé par Lui ; rien de ce qui a été créé n’a été créé sans Lui.[20]
A bien des reprises et de bien des manières, Dieu a parlé autrefois à nos ancêtres par les prophètes. Et maintenant, dans ces jours qui sont les derniers, c’est par son Fils qu’Il nous a parlé. Il a fait de Lui l’héritier de toutes choses et c’est aussi par Lui qu’Il a créé l’univers.[21]
Car c’est en Lui qu’ont été créées toutes choses dans les cieux comme sur la terre, les visibles, les invisibles, les Trônes et les Seigneuries, les Autorités, les Puissances. Oui, par Lui et pour Lui, tout a été créé. Il est Lui–même bien avant toutes choses et tout subsiste en Lui.[22]
Le jugement des hommes dans l’au-delà, qui est une autre prérogative divine revendiquée par Jésus, est également cité par les auteurs du Nouveau Testament.
Car nous aurons tous à comparaître devant le tribunal du Christ, et chacun recevra ce qui lui revient selon les actes, bons ou mauvais, qu’il aura accomplis par son corps.[23]
Ici se laisse voir le juste jugement de Dieu… Cela se produira lorsque le Seigneur Jésus apparaîtra du haut du ciel, avec ses anges puissants et dans une flamme. Ce jour–là, Il punira comme ils le méritent ceux qui ne connaissent pas Dieu et qui n’obéissent pas à l’Évangile de notre Seigneur Jésus.[24]
Or Dieu ne tient plus compte des temps où les hommes ne Le connaissaient pas. Aujourd’hui, Il leur annonce à tous, et partout, qu’ils doivent changer. Car Il a fixé un jour où Il jugera le monde entier en toute justice, par un Homme qu’Il a désigné pour cela, ce dont Il a donné à tous une preuve certaine en Le ressuscitant d’entre les morts.[25]
Le pardon des péchés, qui est une autre prérogative de Dieu revendiquée par Jésus, est prêché par les apôtres.
Et c’est Lui que Dieu a élevé pour siéger à sa droite, comme Chef suprême et Sauveur, pour accorder à Israël la grâce de changer et de recevoir le pardon de ses péchés.[26]
… le Seigneur Jésus–Christ, qui s’est offert Lui–même en sacrifice pour expier nos péchés, afin de nous délivrer du monde présent dominé par le mal.[27]
… de la part de Jésus–Christ, le témoin digne de foi, le premier–né d’entre les morts et le souverain des rois de la terre. Il nous aime, Il nous a délivrés de nos péchés par son sacrifice.[28]
Le cœur du christianisme
Le cœur du christianisme, c’est que Jésus est Dieu. Et c’est cette conviction qui fait d’une personne un chrétien. S’Il n’est pas Dieu, alors le cœur de notre foi est inexistant et notre foi est sans fondement. Jésus a affirmé qu’Il était Dieu. Ses disciples le croyaient, ils l’ont prêché et ont démarré le mouvement chrétien qui dure depuis plus de deux mille ans, un mouvement qui compte maintenant plus de deux milliards d’êtres humains qui sont, eux aussi, convaincus de cette vérité fondamentale.
Le Nouveau Testament affirme que Jésus existait avant toute autre chose et que tout a été créé par Lui, qu’Il est entré dans sa création en devenant un être humain, qu’Il pardonne les péchés, et que par sa mort et sa résurrection, Il nous a apporté le salut et la victoire sur la mort. Ses miracles sont la marque de sa divinité, tout comme l’est sa relation unique avec le Père. Ses enseignements l’indiquent et le fait qu’Il revendique de juger l’humanité l’atteste.
Un tournant décisif du ministère de Jésus est survenu lorsque ses disciples ont commencé à comprendre qui Il était:
Jésus se rendit dans la région de Césarée de Philippe. Il interrogea ses disciples : « Que disent les gens au sujet du Fils de l’homme ? Qui est–Il d’après eux ? Ils répondirent : – Pour les uns, c’est Jean–Baptiste ; pour d’autres : Elie ; pour d’autres encore : Jérémie ou un autre prophète. – Et vous, leur demanda–t–Il, qui dites–vous que Je suis ? Simon Pierre Lui répondit : – Tu es le Messie, le Fils du Dieu vivant. Jésus lui dit alors : – Tu es heureux, Simon, fils de Jonas, car ce n’est pas de toi–même que tu as trouvé cela. C’est mon Père céleste qui te l’a révélé. »[29]
Nous pouvons faire la même déclaration de foi que Pierre – à savoir que Jésus est le Fils du Dieu vivant. Et ce n’est pas tout : nous savons qu’Il est Dieu. C’est le précepte chrétien fondamental auquel tous les vrais chrétiens adhèrent. Parce qu’Il est Dieu, Il est l’Eau Vive, la Lumière du Monde, le Pain descendu du Ciel, la Résurrection et la Vie, Celui qui pardonne nos péchés et qui accorde la vie éternelle à tous ceux qui Le reçoivent. L’aboutissement de sa vie, de sa mort et de sa résurrection est le don suprême de Dieu : notre salut.
Récapitulation de « L’Homme-Dieu, » 1ère et 2ème parties:
- Jésus est Dieu.
- Jésus a clairement revendiqué sa divinité durant sa vie, et ces déclarations étaient comprises comme telles par les responsables religieux de son temps.
- Il s’est explicitement appelé JE SUIS et le Fils de l’Homme, qui sont tous deux des noms de Dieu dans l’Ancien Testament.
- Il a revendiqué des prérogatives et des pouvoirs divins comme le jugement des hommes et le pardon des péchés.
- Après sa mort et sa résurrection, et après avoir constaté comment Il avait accompli les Écritures juives, les disciples de Jésus comprirent clairement qu’Il était Dieu.
- Les auteurs du Nouveau Testament, y compris les apôtres qui étaient avec Jésus, attestent la divinité de Jésus.
- Les écrits du Nouveau Testament contiennent et constituent les principes fondamentaux du christianisme.
- La conviction que Jésus est Dieu est au cœur de notre foi chrétienne.
Notes
Sauf indication contraire, toutes les citations bibliques sont extraites de La Sainte Bible, Version du Semeur, copyright © 2000 Société Biblique Internationale. Tous droits réservés. Avec permission. Les autres versions les plus fréquemment citées sont la Bible en Français Courant (BFC), la Bible Parole de Vie (PDV) et la Bible Segond 21 (SEG21).
Bibliographie
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[1] Matthieu 21:9.
[2] Marc 15:13.
[3] Luc 24:44–47 PDV.
[4] Luc 24:27.
[5] Philippiens 3:5–6.
[6] Deutéronome 6:4–5, 13–15.
[7] Exode 20:2–6.
[8] Exode 22:20.
[9] Matthieu 14:33
[10] Matthieu 28:16–17.
[11] Luc 24:52.
[12] Matthieu 28:7–9 BFC.
[13] Paul, en Romains 9:5.
[14] Jean, en Jean 1:1, 14 BFC.
[15] 2 Pierre 1:1 SEG21.
[16] Paul, en Tite 2:13.
[17] Jean, en 1 Jean 5:20.
[18] Jean 20:28.
[19] SEG21
[20] Jean, en Jean 1:3.
[21] Paul, en Hébreux 1:1–2.
[22] Paul, en Colossiens 1:16–17.
[23] Paul, en 2 Corinthiens 5:10.
[24] Paul, en 2 Thessaloniciens 1:5, 7–8.
[25] Paul, en Actes 17:30–31.
[26] Pierre, en Actes 5:31.
[27] Paul, en Galates 1:3–4.
[28] Jean, en Apocalypse 1:5.
[29] Matthieu 16:13–17.