Jésus—Sa vie et son message : Les miracles (1ère Partie)
octobre 25, 2018
par span> Peter Amsterdam
Jésus—Sa vie et son message : Les miracles (1ère Partie)
[Jesus—His life and Message: Miracles (Part 1), publié le 7 février 2017]
L’un des aspects essentiels du ministère de Jésus était les miracles qu’Il accomplissait. Les évangiles recensent pas moins de 34 miracles précis. Dans quinze autres cas, ils font référence à une activité miraculeuse de Jésus dans des termes plus généraux [1], comme par exemple :
Il demanda alors à ses disciples de tenir une barque à sa disposition pour éviter d’être écrasé par la foule. En effet, comme il guérissait beaucoup de gens, tous les malades se précipitaient vers lui pour le toucher.[2]
Il guérit beaucoup de personnes atteintes de diverses maladies. Il chassa aussi beaucoup de démons.[3]
Ils amarrèrent leur barque. Comme ils en descendaient, les gens reconnurent aussitôt Jésus et parcoururent toute la région pour annoncer sa venue. Ils lui amenaient les malades sur des brancards, dès qu’ils apprenaient son arrivée quelque part. Partout où il se rendait, dans les villages, les villes, les campagnes, ils apportaient les malades sur les places publiques et le suppliaient de leur permettre de toucher ne serait-ce que la frange de son vêtement. Et tous ceux qui la touchaient étaient guéris.[4]
En plus des miracles qu’Il a accomplis, les Évangiles nous racontent aussi les miracles dans lesquels Jésus a participé à un acte miraculeux, comme la conception virginale, la transfiguration, sa résurrection et son ascension, ainsi que toutes les fois où Il est apparu à ses disciples après sa résurrection. De toute évidence, les miracles ont joué un rôle important dans le ministère de Jésus et dans la narration de son histoire dans les évangiles et le Nouveau Testament.
Avant d’entrer dans le vif du sujet des miracles de Jésus dans les prochains articles, il peut être utile de commencer par quelques informations générales sur les miracles. Voyons d’abord ce qu’est un miracle.
Un miracle est défini comme un événement extraordinaire survenant dans le monde physique et allant à l’encontre des lois de la nature, et qui surpasse toutes les puissances humaines ou naturelles connues, démontrant ainsi l’intervention de Dieu dans le cours des affaires humaines. Les miracles sont des événements extraordinaires qui constituent des manifestations inexplicables de la puissance de Dieu. Dans la Bible, les miracles se produisent soit par l’intervention directe de Dieu dans les affaires humaines, soit par le truchement d’agents humains qui font des miracles par la puissance de Dieu.
Examinons quelques miracles survenus dans l’Ancien Testament.
Les miracles dans l’Ancien Testament
Dans l’Ancien Testament, nous entendons parler de miracles au cours desquels Dieu a agi directement et d’autres où le miracle s’est accompli par la puissance de Dieu agissant par l’intermédiaire d’un prophète ou d’un homme de Dieu. On peut lire un exemple de l’action directe de Dieu lorsqu’Il donna la manne au peuple d’Israël.
« J’ai entendu les plaintes des Israélites. Dis-leur donc : « Ce soir, avant qu’il fasse nuit, vous mangerez de la viande, et demain matin vous vous rassasierez de pain, et vous saurez que je suis l’Eternel votre Dieu. » En effet, le soir même, des cailles vinrent s’abattre sur le campement qui en fut recouvert ; et le lendemain matin, il y avait une couche de rosée tout autour du camp. Lorsque cette rosée se fut dissipée, on aperçut par terre, sur le sol du désert, un mince dépôt granuleux, fin comme du givre, qui restait.[5]
Les Israélites mangèrent de la manne pendant quarante ans, jusqu’à leur arrivée dans un pays habité, aux confins du pays de Canaan.[6]
A partir du lendemain de ce jour-là, la manne cessa de tomber puisqu’ils pouvaient se nourrir des produits du pays ; il n’y eut plus de manne pour les Israélites qui vécurent des productions du pays de Canaan cette année-là.[7]
Dans l’Ancien Testament, on voit un exemple de Dieu travaillant par l’intermédiaire d’une personne qui accomplit un miracle dans l'histoire de la veuve qui hébergea le prophète Elie. Son fils mourut et, quand elle l’apprit à Elie, celui-ci il porta l’enfant dans sa chambre et l’allongea sur le lit.
Puis il s’allongea par trois fois de tout son long sur l’enfant et implora l’Eternel : —Eternel, mon Dieu, je t’en prie, veuille faire revenir en lui le souffle de vie de cet enfant ! L’Eternel exauça la prière d’Elie : le souffle de l’enfant revint en lui et il reprit vie…. Alors la femme s’écria : —Maintenant je sais que tu es un homme de Dieu et que la parole de l’Eternel que tu prononces est vraie.[8]
Dans le livre de la Genèse, on a à la fois des miracles de la bénédiction de Dieu, comme quand des femmes qui avaient été jusque-là stériles enfantèrent[9], et d'autres liés à la colère et aux jugements de Dieu, comme le Déluge[10], la confusion des langues à Babel[11], et les habitants de Sodome frappés de cécité.[12] Les miracles du livre de l’Exode portent sur deux caractéristiques des miracles. La première est la puissance absolue de Dieu, comme en témoignent les fléaux dont Il frappa le peuple égyptien quand les Israélites étaient leurs esclaves. Il avait dit à Moïse : « Les Egyptiens sauront ainsi que je suis l’Eternel, quand j’interviendrai en Egypte pour en faire sortir les Israélites. »[13] Les fléaux montraient aux Égyptiens que Yahvé, le Dieu d'Israël, était plus puissant que leurs dieux, et en même temps cela montrait aux Israélites qu’Il était suffisamment puissant pour les libérer du joug de leurs oppresseurs ; le miracle de la traversée de la Mer Rouge montrait qu’Il pouvait les venger en anéantissant l’armée du pharaon. Avec les miracles qu’Il accomplit en Egypte, Dieu envoyait trois messages : ce peuple reconnaîtra que je suis l’Eternel; afin que tu saches que moi, l’Eternel, je suis présent dans ce pays[14], afin que tu saches que nul n’est semblable à moi sur toute la terre.[15]
La deuxième caractéristique des miracles de l’Exode était l’assistance et la protection de Dieu que Dieu prodiguait à son peuple quand celui-ci se tournait vers Lui. Pendant 40 ans, Il les nourrit, leur donna de l’eau, de la manne, de la viande ; Il les protégea, Il empêcha leurs vêtements de s’user, et les guida au moyen d’une colonne de nuée et d’une colonne de feu, etc. Durant toutes ces années, la fidélité du peuple envers Celui qui subvenait à leurs besoins fut mise à l'épreuve. Dieu se révéla être le protecteur et le pourvoyeur de son peuple, et leur montra aussi qu’il était dans leur intérêt d’observer ses commandements.[16]
Sous les règnes des rois Saül, David et Salomon—époque que l’on a appelé la monarchie unie—il y eut moins de miracles dans la Bible. Tout changea à l’époque d’Elie et d’Elisée. Les miracles étaient alors devenus nécessaires, parce que la foi en Dieu avait décliné et qu’il y avait énormément d’idolâtrie dans tout le pays d’Israël. Le récit biblique de cette période nous relate le défi d’Élie lancé aux prêtres de Baal[17], le repas de la veuve de Zarepta[18], la résurrection de son fils[19], la séparation des eaux du Jourdain[20], la guérison de lépreux[21], la résurrection de personnes mortes[22] et d’autres miracles. Plus tard, à l’époque des prophètes majeurs et mineurs—connus sous le nom de « prophètes écrivains » du fait que leurs écrits furent consignés dans la Bible—il y eut peu de miracles, sauf ceux consignés dans les livres de Jonas et de Daniel.
Dans l’Ancien Testament, les deux principaux mots employés pour désigner les miracles sont signes et miracles. Ils sont souvent employés dans l’expression signes miraculeux. Il existe plusieurs termes hébreu traduits par « miracle »—l’un se réfère à un acte de puissance surnaturelle, et l’autre à quelque chose qui dépasse l’entendement humain. Ces termes sont généralement utilisés pour indiquer que Dieu intervient dans l’histoire des hommes. Le mot hébreu traduit par « signe » fait référence à un acte qui se produit comme un vœu ou un gage de la maitrise de Dieu sur les événements et comme une révélation de la présence de Dieu parmi son peuple.[23]
Les miracles du Nouveau Testament
Comme dans l'Ancien Testament, les miracles du Nouveau Testament sont des signes et des prodiges qui attestent la présence de Dieu. La différence est que dans les Evangiles, la présence de Dieu s’incarne en Jésus, le Fils de Dieu. L’Incarnation peut être considérée comme le plus grand de tous les miracles, puisqu’en s’incarnant Dieu ne s’est pas contenté d’influer sur l’histoire humaine, mais qu’Il y est entré. De même que les miracles de l’Exode avaient conduit à l’alliance entre Dieu et le peuple Hébreu, de la même manière les miracles de Jésus ont ouvert la voie à l’instauration de la nouvelle alliance.[24]
Dans les trois premiers évangiles—ceux de Matthieu, Marc et Luc—le mot grec traduit par miracles est dynamis, ce qui signifie puissance ou actes de puissance, souvent traduit par prodiges ou miracles.[25] Dans l’Evangile de Jean, les miracles ne sont pas appelés dynamis. Cet évangile se réfère plutôt aux miracles comme à des signes, en employant le mot grec semeia. Par exemple :
Une grande foule le suivait, parce que les gens voyaient les signes miraculeux qu'il faisait sur les malades.[26]
Lorsque tous ces gens-là virent le signe miraculeux de Jésus, ils s’écrièrent : —Pas de doute : cet homme est vraiment le Prophète qui devait venir dans le monde.[27]
Jésus a accompli, sous les yeux de ses disciples, encore beaucoup d’autres signes miraculeux qui n’ont pas été rapportés dans ce livre.[28]
Jean a employé le vocable signes parce que les miracles de Jésus soulignaient au-delà d’eux-mêmes la vérité sur Dieu que Jésus est venu révéler. Ce sont des signes qui montrent que Jésus a le pouvoir et l’autorité de Dieu.
Il vint trouver Jésus de nuit et le salua en ces termes : « Maître, nous savons que c’est Dieu qui t’a envoyé pour nous enseigner car personne ne saurait accomplir les signes miraculeux que tu fais si Dieu n’était pas avec lui. »[29]
Cependant, beaucoup de gens du peuple crurent en lui. « Quand le Christ viendra, disaient-ils, accomplira-t-il plus de signes miraculeux que n’en a déjà fait cet homme-là ? »[30]
En plus d’accomplir Lui-même des miracles, Jésus a donné à ses disciples le pouvoir de faire, eux aussi, des miracles :
Jésus appela ses douze disciples et leur donna l’autorité de chasser les esprits mauvais et de guérir toute maladie et toute infirmité.[31]
Il leur prédit qu’ils feraient même de plus grandes œuvres que Lui:
Vraiment, je vous l’assure : celui qui croit en moi accomplira lui-même les œuvres que je fais. Il en fera même de plus grandes parce que je vais auprès du Père.[32]
Nous entendons parler des « signes miraculeux et des prodiges » accomplis par ses disciples et par d’autres personnes qui furent habités par la puissance de l’Esprit Saint et qui, par les miracles qu’ils accomplissaient, prouvèrent que l’évangile qu’ils prêchaient était authentique.
Les apôtres accomplissaient beaucoup de signes miraculeux et de prodiges parmi le peuple.[33]
Etienne était rempli de la grâce et de la puissance divines et accomplissait de grands prodiges et des signes miraculeux au milieu du peuple.[34]
Paul et Barnabas prolongèrent leur séjour dans cette ville ; ils parlaient avec assurance, car ils étaient confiants dans le Seigneur et celui-ci confirmait la vérité du message de sa grâce, en leur donnant d’accomplir des signes miraculeux et des prodiges.[35]
Comme nous le verrons au fur et à mesure que nous lirons le récit de ses miracles, Jésus a accompli différents types de miracles—Il a guéri des malades, chassé des démons, ressuscité des morts, et fait des miracles qui montraient son autorité sur les forces naturelles, comme la fois où Il a nourri cinq mille personnes avec cinq pains et deux poissons, ou quand Il a marché sur l’eau, calmé la tempête et transformé de l’eau en vin.
Les évangiles évoquent plusieurs raisons aux miracles de Jésus :
Pour rendre gloire à Dieu
Quand Jésus apprit la nouvelle, il dit : « Cette maladie n’aboutira pas à la mort, elle servira à glorifier Dieu ; elle sera une occasion pour faire apparaître la gloire du Fils de Dieu. »[36]
La foule s’émerveillait de voir les sourds-muets parler, les estropiés reprendre l’usage de leurs membres, les paralysés marcher, les aveugles retrouver la vue, et tous se mirent à chanter la gloire du Dieu d’Israël.[37]
Apporter la guérison et la plénitude aux gens
Alors Jésus dit : « O femme, ta foi est grande ! Qu’il en soit donc comme tu le veux ! » Et, sur l’heure, sa fille fut guérie.[38]
Jésus les vit et leur dit : « Allez-vous montrer aux prêtres ! » Pendant qu’ils y allaient, ils furent guéris.[39]
Les gens vinrent se rendre compte de ce qui s’était passé. Ils arrivèrent auprès de Jésus et trouvèrent, assis à ses pieds, l’homme dont les démons étaient sortis. Il était habillé et tout à fait sain d’esprit.[40]
Révéler le royaume de Dieu
D’ailleurs, si moi je chasse les démons par Béelzébul, qui donc donne à vos disciples le pouvoir de les chasser ? C’est pourquoi ils seront eux-mêmes vos juges. Mais si c’est par l’Esprit de Dieu que je chasse les démons, alors, de toute évidence, le royaume de Dieu est venu jusqu’à vous.[41]
Du fond de sa prison, Jean [Baptiste] apprit tout ce que faisait le Christ. Il envoya auprès de lui deux de ses disciples. Ils lui demandèrent : « Es-tu celui qui devait venir ou bien devons-nous en attendre un autre ? » Et Jésus leur répondit : « Retournez auprès de Jean et racontez-lui ce que vous entendez et ce que vous voyez : les aveugles voient, les paralysés marchent normalement, les lépreux sont guéris, les sourds entendent, les morts ressuscitent, la Bonne Nouvelle est annoncée aux pauvres. »[42]
Accomplir la Parole de Dieu
Le soir venu, on lui amena beaucoup de gens qui étaient sous l’emprise de démons : par sa parole, il chassa ces mauvais esprits. Il guérit aussi tous les malades. Ainsi se réalisait cette parole du prophète Esaïe : « Il s’est lui-même chargé de nos infirmités et il a porté nos maladies. »[43]
Une grande foule le suivit et il guérit tous les malades. Mais il leur défendit formellement de le faire connaître. Ainsi devait s’accomplir cette parole du prophète Esaïe : « Voici mon serviteur, dit Dieu, celui que j’ai choisi, celui que j’aime et qui fait ma joie. Je ferai reposer mon Esprit sur lui et il annoncera la justice aux nations.[44]
Montrer que Jésus était le Messie
Vous avez vu les actes que j’accomplis au nom de mon Père : ce sont eux qui témoignent en ma faveur.[45]
Si je n’accomplis pas les œuvres de mon Père, vous n’avez pas besoin de croire en moi. Mais si, au contraire, je les accomplis, même si vous ne voulez pas me croire, laissez-vous au moins convaincre par mes œuvres, pour que vous reconnaissiez et que vous compreniez que le Père est en moi et que je suis dans le Père.[46]
Oui, ces œuvres que j’accomplis attestent clairement que le Père m’a envoyé.[47]
Au moment où Il allait ressusciter Lazare d’entre les morts, Jésus fit cette prière : « Père, tu as exaucé ma prière et je t’en remercie. Pour moi, je sais que tu m’exauces toujours, mais si je parle ainsi, c’est pour que tous ceux qui m’entourent croient que c’est toi qui m’as envoyé. » Cela dit, il cria d’une voix forte : « Lazare, sors de là ! »[48]
Les miracles de Jésus étaient un élément capital de son ministère ; ils confirmaient avec force son identité, ils certifiaient au nom de qui Il était venu, et attestaient qu’Il était rempli de la puissance et de l’onction de Dieu, son Père. Dans les prochains articles de cette série, Jésus—Sa vie et son message, nous étudierons les miracles qu’Il a accomplis et nous nous pencherons sur le message qu’ils adressaient.
Note
Sauf indication contraire, les passages bibliques cités sont extraits de La Bible Du Semeur Copyright © 1992, 1999 by Biblica, Inc.® Tous droits réservés. L’autre version citée est la Segond 21. Avec permission
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[1] B. L. Blackburn, “Miracles and Miracle Stories,” in J. B. Green and S. McKnight Dictionary of Jesus and the Gospels, (eds), [Miracles et récits de miracles, in Dictionnaire de Jésus et des Evangiles] 549–59.
[2] Marc 3.9–10.
[3] Marc 1.34.
[4] Marc 6.53–56.
[5] Exode 16.12–14.
[6] Exode 16.35.
[7] Josué 5.12.
[8] 1 Rois 17.21–22, 24.
[9] Sarah, l’épouse d’Abraham. Genèse 17.15–17, 21; 21.1–3. Rébecca, l’épouse d’Isaac. Genèse 25.21. Rachel, la jeune épouse de Jacob. Genèse 29.31; 30.22–24. Anne, la mère de Samuel. 1 Samuel 1.1–20.
[10] Genèse 6–7.
[11] Genèse 11.
[12] Genèse 19.11.
[13] Exode 7.5.
[14] Exode 14.18; 8.18.
[15] Exode 9.14.
[16] Les éléments d’explication de ce paragraphe et des précédents sont tirés de Walter Elwell and Barry Beitzel, eds., in Baker Encyclopedia of the Bible [Encyclopédie Baker de la Bible] (Grand Rapids. Baker Book House, 1988), 1468–1473.
[17] 1 Rois 18.30–38.
[18] 1 Rois 17.14–16.
[19] 1 Rois 17.17–24.
[20] 2 Rois 2.7–8, 14.
[21] 2 Rois 5.10–14.
[22] 2 Rois 4.18–37.
[23] Elwell and Beitzel, Baker Encyclopedia of the Bible, [Encyclopédie Baker de la Bible] 1468–1473.
[24] Ibid.
[25] Matthieu 11.20–23; Marc 6.2, 5.
[26] Jean 6.2 SEG21.
[27] Jean 6.14.
[28] Jean 20.30.
[29] Jean 3.2.
[30] Jean 7.31.
[31] Matthieu 10.1.
[32] Jean 14.12.
[33] Actes 5.12.
[34] Actes 6.8.
[35] Actes 14.3.
[36] Jean 11.4.
[37] Matthieu 15.31.
[38] Matthieu 15.28.
[39] Luc 17.14.
[40] Luc 8.35.
[41] Matthieu 12.27–28.
[42] Matthieu 11.2–5.
[43] Matthieu 8.16–17.
[44] Matthieu 12.15–18.
[45] Jean 10.25.
[46] Jean 10.37–38.
[47] Jean 5.36.
[48] Jean 11.41–43.