Jésus—sa vie et son message: le Sermon sur la montagne Quatre tableaux (2ème partie)

août 22, 2018

par Peter Amsterdam

[JHL&M—The Sermon on the Mount—4 Sketches, Part 2]

Au chapitre 7 de l’évangile de Matthieu, vers la fin du Sermon sur la montagne, Jésus nous propose quatre tableaux qui expliquent comment les croyants doivent agir pour être en accord avec son enseignement dans le Sermon. Nous avons commenté le passage sur les deux portes et les faux prophètes dans la première partie de cet article. Passons maintenant à une autre mise en garde, celle où Jésus parle des gens qui prétendent Le connaître et Le suivre, mais qui en fait ne le font pas. Voici ce qu’Il dit :

Pour entrer dans le royaume des cieux, il ne suffit pas de me dire : « Seigneur ! Seigneur ! » Il faut accomplir la volonté de mon Père céleste. Au jour du jugement, nombreux sont ceux qui me diront : « Seigneur ! Seigneur ! Nous avons prophétisé en ton nom, nous avons chassé des démons en ton nom, nous avons fait beaucoup de miracles en ton nom. » Je leur déclarerai alors : « Je ne vous ai jamais connus ! Allez-vous-en, vous qui pratiquez le mal ! ».[1]

C’est pour le moins déconcertant, parce qu’Il nous dit qu’il y a des gens qui déclarent leur allégeance à Jésus, en l’appelant « Seigneur », et qui étayent même leur déclaration en énumérant leurs accomplissements spirituels faits en Son nom, mais qui pourtant ne seront pas admis dans le royaume de Dieu. Jésus vient de dire que l’on peut reconnaitre un bon arbre et un mauvais arbre par les fruits qu'ils portent ; mais là, Il nous dit que certains de ceux qui prophétisent, qui chassent les démons et font des exploits en son nom ne sont pas à la hauteur. Jésus a dit à ses disciples Guérissez les malades, ressuscitez les morts, rendez purs les lépreux, expulsez les démons[2] et les gens dont Jésus parle dans ce passage ont fait tout cela ; pourtant Il dit qu’ils seront rejetés, parce qu’ils ont pratiqué le mal (ou l’iniquité dans la version Darby). Avouez que c’est déconcertant ! Qu'est-ce que cela peut bien signifier ?

Pour replacer cela dans son contexte, il est important de comprendre que quiconque ne s'adresse pas à Jésus comme Seigneur (c’est-à-dire quiconque n’a pas accepté Jésus comme Sauveur) n’entrera pas dans le royaume de Dieu. Comme l’a écrit l’apôtre Paul :

En effet, si de ta bouche, tu déclares que Jésus est Seigneur et si dans ton cœur, tu crois que Dieu l’a ressuscité des morts, tu seras sauvé, car celui qui croit dans son cœur, Dieu le déclare juste ; celui qui affirme de sa bouche, Dieu le sauve.[3]

Ceux qui ne croient pas dans leur cœur que Jésus est leur Sauveur, et qui ne l’affirment pas publiquement, ne sont pas sauvés.

Pour recevoir le don du salut qui vient de Dieu, nous devons croire que Jésus est notre Sauveur—nous devons croire qu’Il est le Fils de Dieu, Dieu incarné, et qu’Il a été envoyé par son Père pour être le Messie, le Sauveur du monde ; nous devons croire qu’Il a vécu ici-bas comme un être humain, et qu'Il est mort sur la croix pour nos péchés.

Jésus-Christ Lui qui, dès l’origine, était de condition divine, ne chercha pas à profiter de l’égalité avec Dieu, mais il s’est dépouillé lui-même, et il a pris la condition du serviteur. Il se rendit semblable aux hommes en tous points, et tout en lui montrait qu’il était bien un homme. Il s’abaissa lui-même en devenant obéissant, jusqu’à subir la mort, oui, la mort sur la croix. C’est pourquoi Dieu l’a élevé à la plus haute place et il lui a donné le nom qui est au-dessus de tout nom, pour qu’au nom de Jésus tout être s’agenouille dans les cieux, sur la terre et jusque sous la terre, et que chacun déclare : Jésus-Christ est Seigneur à la gloire de Dieu le Père.[4]

En tant que chrétiens, nous croyons que notre destin éternel repose sur Jésus, notre Sauveur. Ainsi, lorsque nous disons : « Seigneur, Seigneur », derrière ces paroles, il y a le fait que nous croyons vraiment et sincèrement que Jésus est le Fils de Dieu, notre Sauveur. Il ne s’agit pas seulement de dire des mots précis ; il s'agit d’affirmer notre foi et de notre engagement envers Jésus en tant que Seigneur de notre vie.

Dans ces versets, Jésus vise les gens qui se disent chrétiens, qui L’appellent Seigneur, et qui font des miracles en son nom, mais auxquels Il dit : Je ne vous ai jamais connus. Dans la Bible, le verbe « connaître » est couramment employé pour désigner une relation qui va bien au-delà de la simple connaissance. Jésus dit qu’en fait certaines personnes qui font des choses en son nom et qui prétendent Le suivre, ne Le connaissent pas et n’ont aucune relation avec Lui. La clé, c’est d’avoir une relation personnelle avec Lui, c’est faire partie de sa famille. Comme il L’a dit ailleurs :

« Qui est ma mère ? Qui sont mes frères ? » Puis, désignant ses disciples d’un geste de la main, il ajouta : « Ma mère et mes frères, les voici. Car celui qui fait la volonté de mon Père céleste, celui-là est pour moi un frère, une sœur, une mère. »[5] 

Jésus dit qu’il ne suffit pas de porter des bons fruits en son nom pour être sauvé, pas plus que le fait de se déclarer loyal envers Lui sans croire en ce qu'Il est et ce qu’Il a fait ; il faut entrer en relation avec Lui, dans une relation ancrée dans la foi.

La foi en Christ, qui aboutit au salut, n'est pas seulement une adhésion intellectuelle à la doctrine du salut en Jésus. Elle implique d’avoir une relation avec Lui, de faire partie de la famille de Dieu.[6] Quand Jésus parlait de ceux qui L’appellent « Seigneur, Seigneur », et qui font des œuvres en son nom, Il disait qu’il y a des gens qui déclarent qu’Il est leur Seigneur mais qui ne Le connaissent pas et n’ont pas de relation avec Lui.

Ici, à la fin du Sermon, Jésus dit que beaucoup de gens diront : « nous avons fait beaucoup de choses en ton nom. » Comme nous le verrons dans la suite du Sermon, Il raconte l’histoire d’un homme qui bâtit sa maison sur de mauvaises fondations, et celle-ci s’effondre. Ailleurs dans les évangiles, nous lisons l’histoire de cinq jeunes filles insensées dont les lampes n’ont plus d’huile, et auxquelles le Seigneur dit : « Je vous le dis en vérité, je ne vous connais pas. » [7] Ce sont d’autres exemples de personnes qui pensent que tout va bien, et qui en apparence font les bons gestes pour la forme, mais découvrent trop tard que ce n’était pas ce que l’on attendait d’elles.

Le message de Jésus à la fin du Sermon nous parle du danger d’avoir mal compris comment parvenir au de salut. Il ne s'agit pas seulement de dire des mots précis ; il s'agit de croire vraiment, ce qui nous conduit à entrer dans une relation avec le Christ, qui se manifeste dans notre vie. Il ne suffit pas de dire « Seigneur ! Seigneur ! », et de considérer que vous avez toute licence pour pécher autant que vous voulez, et de vivre sans réfléchir aux conséquences de vos actes. La foi chrétienne ne consiste pas seulement à faire une déclaration : il s’agit de devenir un enfant de Dieu, ce qui implique d’entrer dans une relation personnelle avec Lui. Cela devrait avoir pour résultat que nous vivons d’une manière qui honore cette relation et se fonde sur elle.

Jésus met en garde ceux dont la foi n’est qu’un faux-semblant, un simulacre ; ceux qui font les bonnes choses et font preuve de zèle dans leur service, mais dont les actes ne sont pas motivés par le fait qu’ils Le connaissent intimement et qu’Il les connait. Ils agissent par intérêt personnel, pour leur gloire et leur satisfaction personnelles, ils le font dans leur propre énergie, sans la présence de Jésus dans leur vie et sans la puissance de Dieu.

Jésus termine le Sermon sur la Montagne en présentant un choix simple mais exigeant : soit nous entendons et nous ignorons ce qu’Il a enseigné, soit nous l’entendons et nous le mettons en pratique. Il présente ce choix sous la forme d’une simple parabole :[8]

C’est pourquoi, celui qui écoute ce que je dis et qui l’applique, ressemble à un homme sensé qui a bâti sa maison sur le roc. Il a plu à verse, les fleuves ont débordé, les vents ont soufflé avec violence, ils se sont déchaînés contre cette maison : elle ne s’est pas effondrée, car ses fondations reposaient sur le roc. Mais celui qui écoute mes paroles sans faire ce que je dis, ressemble à un homme assez fou pour construire sa maison sur le sable. Il a plu à verse, les fleuves ont débordé, les vents ont soufflé avec violence, ils se sont déchaînés contre cette maison : elle s’est effondrée et sa ruine a été complète.[9]

Comme pour les trois autres tableaux, cette parabole nous lance le défi d’être des vrais disciples ; d’entrer par la bonne porte et de suivre la bonne route ; d’être des bons arbres qui portent des bons fruits ; d’avoir une foi authentique, de faire la volonté de Dieu ; de ne pas nous contenter d’entendre les paroles de Jésus mais de les mettre en pratique. Avoir foi en Jésus implique de ne pas se contenter d’entendre ses paroles, mais de faire ce qu’Il a dit de faire.

Dans le contexte du Sermon, Jésus parle à ses disciples qui L’écoutent, de sorte ces paroles s’adressent directement aux croyants. Le choix qui s’offre à chacun d'entre nous est de savoir si nous nous contenterons d’entendre ses paroles, ou si nous les mettrons en pratique.

Jésus a montré la différence entre les croyants qui construisent leur maison de foi sur de solides fondations et ceux qui ne le font pas. Il nous rappelle une fois de plus que, ni l’adhésion intellectuelle ni une déclaration verbale ne peuvent se substituer à la nécessité de mettre ses paroles en pratique. Il nous incombe de L’appeler Seigneur et d’écouter son enseignement, et de vivre ce qu’Il a enseigné. Être un disciple, c’est ça ; être croyant, c’est ça. Suivre Jésus, c’est ça !

Si vous savez ces choses vous êtes heureux à condition de les mettre en pratique.[10]


Note

 

Sauf indication contraire, les passages bibliques cités sont extraits de la Sainte Bible, version du Semeur, copyright ©2000 par la Société Biblique Internationale. L’autre version citée est la Segond 21 (SEG21). Tous droits réservés. Avec permission.


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[1] Matthieu 7.21–23.

[2] Matthieu 10.8.

[3] Romains 10.9–10.

[4] Philippiens 2.5–11.

[5] Matthieu 12.48–50.

[6] Voyez combien le Père nous a aimés pour que nous puissions être appelés enfants de Dieu — et nous le sommes ! (1 Jean 3.1).

Mais, lorsque le moment fixé par Dieu est arrivé, il a envoyé son Fils, né d’une femme et placé par sa naissance sous le régime de la Loi, pour libérer ceux qui étaient soumis à ce régime. Il nous a ainsi permis d’être adoptés par Dieu comme ses fils. Puisque vous êtes bien ses fils, Dieu a envoyé dans nos cœurs l’Esprit de son Fils qui crie : Abba, c’est-à-dire « Père ». (Galates 4.4–6).

[7] Matthieu 25.12 SEG21.

[8] Pour en savoir plus sur cette parabole, lire La parabole des deux bâtisseurs

[9] Matthieu 7.24–27.

[10] Jean 13.17.