Jésus—Sa vie et son message : Les miracles (8ème partie)
mai 25, 2023
par span> Peter Amsterdam
Jésus—Sa vie et son message : Les miracles (8ème partie)
[JHL&M—Miracles, Part 8]
Miracles touchant la nature (2ème Partie)
Le miracle par lequel Jésus nourrit cinq mille personnes est le seul miracle de Jésus rapporté dans les quatre Évangiles.[1] Bien qu’il se trouve à différents endroits du texte de chaque évangile, les principaux épisodes du récit sont les mêmes. Les quatre récits s’accordent sur le fait que cinq mille personnes étaient présentes, qu’il y avait cinq pains et deux poissons, que douze paniers de restes de nourriture furent ramassés, que Jésus prononça une bénédiction et qu’Il demanda à ses disciples de faire asseoir les gens. (En outre, deux évangiles relatent un autre miracle au cours duquel Jésus nourrit quatre mille personnes.[2] Il y a néanmoins un certain nombre de différences entre le repas des cinq mille et celui des quatre mille indiquant qu’il s’agissait d’événements distincts, d’autant plus que les Évangiles de Matthieu et de Marc contiennent les deux récits).
Je me baserai sur le récit de Marc, qui est le plus long des quatre, et je reprendrai également des aspects des trois autres évangiles.
Les apôtres se rassemblèrent autour de Jésus et lui racontèrent tout ce qu’ils avaient fait et tout ce qu’ils avaient enseigné. Jésus leur dit : « Venez à l’écart dans un endroit désert et reposez-vous un peu. » En effet, il y avait beaucoup de monde qui allait et venait, et ils n’avaient même pas le temps de manger. Ils partirent donc dans une barque pour aller à l’écart dans un endroit désert. Beaucoup de gens les virent s’en aller et le reconnurent, et de toutes les villes on accourut à pied et on les devança à l’endroit où ils se rendaient. Quand il sortit de la barque, Jésus vit une grande foule et fut rempli de compassion pour eux, parce qu’ils étaient comme des brebis qui n’ont pas de berger, et il se mit à leur enseigner beaucoup de choses.
Comme l’heure était déjà bien tardive, ses disciples s’approchèrent de lui et dirent : « Cet endroit est désert, et il est déjà tard. Renvoie-les afin qu’ils aillent dans les campagnes et dans les villages des environs pour s’acheter du pain, car ils n’ont rien à manger. » Jésus leur répondit : « Donnez-leur vous-mêmes à manger ! » Mais ils lui dirent : « Faut-il aller acheter des pains pour 200 pièces d’argent et leur donner à manger ? » Il leur dit : « Combien de pains avez-vous ? Allez voir. » Ils s’en assurèrent et répondirent : « Cinq, et deux poissons. »
Alors il leur ordonna de les faire tous asseoir par groupes sur l’herbe verte ; ils s’assirent par rangées de 100 et de 50. Il prit les cinq pains et les deux poissons, leva les yeux vers le ciel et prononça la prière de bénédiction. Puis il rompit les pains et les donna aux disciples afin qu’ils les distribuent à la foule. Il partagea aussi les deux poissons entre tous. Tous mangèrent et furent rassasiés, et l’on emporta douze paniers pleins de morceaux de pain et de ce qui restait des poissons. Ceux qui avaient mangé les pains étaient au nombre de 5000 hommes.[3]
Un peu plus tôt dans ce même chapitre, Jésus avait envoyé ses disciples deux par deux dans les contrées environnantes, après les avoir investis du pouvoir de chasser les esprits impurs et de guérir les malades.[4] À leur retour, les six équipes racontent à Jésus les miracles qu’elles ont accomplis et ce qu’elles ont enseigné. Les disciples étaient vraisemblablement exténués après être partis un certain temps exercer leur ministère auprès des gens et donc, Jésus les invitent à L’accompagner dans un endroit isolé pour se reposer. Ils partent ensemble dans une barque en direction de ce que les différentes traductions décrivent comme un endroit isolé, un endroit désert, loin de tout le monde, un lieu retiré. Ce n’était pas forcément loin, mais c’était vraisemblablement un endroit retiré à la campagne, à une certaine distance des villes et des foules.
Ils n’eurent guère le temps de relaxer ou de récupérer du fait que les gens virent le bateau depuis le rivage, ce qui permit à une foule de plus en plus nombreuse de les suivre à pied le long de la côte—de sorte qu’à l’arrivée du bateau, une immense foule les attendait.En descendant de la barque, Jésus vit une grande foule et fut rempli de compassion pour eux, parce qu’ils étaient comme des brebis qui n’ont pas de berger. Cette formulation renvoie aux passages de l’Ancien Testament sur la nécessité d’avoir un berger pour guider le peuple de Dieu :
J’ai vu tous les Israélites disséminés sur les montagnes, ils ressemblaient à des brebis qui n’ont pas de berger.[5]
Mes brebis se sont dispersées, faute de berger, et elles sont devenues la proie de toutes les bêtes sauvages.[6]
Que l’Éternel, qui dispose du souffle de vie de toute créature, désigne un homme pour chef de la communauté, quelqu’un qui marche au combat à leur tête, et qui conduise leurs mouvements militaires, afin que la communauté de l’Éternel ne soit pas comme un troupeau sans berger.[7]
Je vais mettre à leur tête un seul berger – et il prendra soin d’elles – mon serviteur David. C’est lui qui prendra soin d’elles et qui sera un berger pour elles.[8]
Jésus rempli de compassion se mit à leur enseigner beaucoup de choses.[9] Dans l’évangile de Luc, on nous dit que Jésus leur fit bon accueil, il leur parla du règne de Dieu et guérit ceux qui en avaient besoin[10], tandis que Matthieu dit que Jésus guérit leurs malades.[11] En fin d’après-midi, ses disciples, constatant que ni Jésus ni la foule ne semblaient vouloir mettre fin à cet événement, Lui suggérèrent pragmatiquement de renvoyer les foules pour qu’ils aillent dans les hameaux et les villages des environs s’acheter de quoi manger.[12] Toutefois, ce n’était pas très pratique vu que les villages des environs n’auraient pas été en mesure de nourrir autant de gens.
Dans les trois Évangiles synoptiques, Jésus répond à la proposition des disciples par ces mots « Donnez-leur vous-mêmes à manger. » Le texte grec est à l’impératif : Il leur commande de le faire. L’idée étant, semble-t-il, que puisque les disciples revenaient d’avoir guéri des malades et chassé des démons, comme autant de manifestations du ministère de Jésus, ils devaient également exercer cette autorité en donnant de la nourriture à cette foule.[13]
Mais ils Lui demandèrent : « Faut-il aller acheter des pains pour 200 pièces d’argent et leur donner à manger ? »[14] Deux cents deniers d’argent représentaient huit mois de salaire d’un travailleur. C’était sans doute une question rhétorique, car il est peu probable qu’ils disposaient d’une telle somme. Dans l’évangile de Jean, Jésus demande à Philippe : « Où pourrions-nous acheter du pain pour leur donner à manger à tous ? » Il disait cela pour mettre Philippe à l’épreuve, car il savait déjà ce qu’il allait faire. »[15] Jésus leur demande expressément quelle quantité de nourriture ils ont et on Lui répond qu’ils ont cinq pains et deux poissons.
À ce moment-là, Jésus demande à ses disciples de faire asseoir les gens. Le mot grec traduit ici par asseoir peut également se traduire par « se coucher à table », « s’allonger ». Lors d’un banquet, les gens s’allongeaient pour manger. Tous les commentateurs de l’Évangile que j’ai pu lire expliquent que les instructions de Jésus de s’allonger sur l’herbe rappellent le concept du « banquet messianique » mentionné à la fois dans Matthieu et dans Luc :
Je vous le déclare : beaucoup viendront de l’Orient et de l’Occident et prendront place à table auprès d’Abraham, d’Isaac et de Jacob, dans le royaume des cieux.[16]
Des hommes viendront de l’Orient et de l’Occident, du Nord et du Midi, et prendront place à table dans le royaume de Dieu.[17]
On ordonna aux gens de s’asseoir par rangées de cent et de cinquante (c’est-à-dire probablement par groupes de 50 à 100 personnes). Aucune explication n’est donnée sur la raison de cette consigne, mais il semble logique qu’il soit plus facile de servir la nourriture quand les gens sont groupés. Le fait de les mettre en groupes permettait aussi d’estimer la taille de la foule.
L’Évangile de Jean précise que ces événements se produisirent à l’approche de la fête juive de la Pâque qui est célébrée au printemps. Matthieu et Marc précisent qu’on fit asseoir les gens sur l’herbe verte, ce qui laisse également penser que l’événement se produisit au printemps, étant donné qu’il n’y a pas d’herbe verte dans les campagnes de cette région du monde pendant le reste de l’année.[18]
Une fois que les gens furent installés par terre, Jésus prit les cinq pains et les deux poissons, leva les yeux vers le ciel, prononça la prière de bénédiction et partagea les pains ; puis il donna les morceaux aux disciples pour qu’ils les distribuent à la foule. Il partagea aussi les deux poissons entre tous.[19] Après que Jésus eut prononcé une prière de bénédiction ou, comme le rapporte Jean, après avoir remercié Dieu,[20] la nourriture fut distribuée. Jésus prononça cette bénédiction pour exprimer sa gratitude envers Dieu et montrer qu’Il dépendait de Lui. Une bénédiction juive typique pour la nourriture ressemblerait sans doute à ceci : « Béni sois-tu, Toi qui fais pousser le pain de la terre. »
En distribuant le pain et le poisson, les disciples participaient d’une certaine manière au miracle de Jésus. D’une certaine façon, ils faisaient ce que Jésus leur avait demandé de faire plus tôt dans la journée : « Donnez-leur vous-mêmes à manger. »
Dans les trois évangiles synoptiques, nous lisons que « Tous mangèrent et furent rassasiés ». L’évangile de Jean nous dit que les gens eurent à manger autant qu’ils en voulaient. Tous les gens qui étaient présents mangèrent à satiété, et tout le monde eut assez à manger. On nous dit que non seulement chaque personne fut rassasiée, mais que douze paniers de restes furent ensuite ramassés. Le fait que tous aient mangé à satiété et qu’il reste une abondance de nourriture à la fin du repas montre la nature extraordinaire de ce miracle. L’écrivain Joel Marcus a fait le commentaire suivant :
Il est difficile pour les lecteurs d’aujourd’hui qui vivent dans le confort ... et n’ont jamais eu faim d’imaginer l’effet que ces déclarations ont pu avoir sur certains de leurs premiers auditeurs, lesquels ont peut-être souvent connu la faim ; ce n’est pas pour rien que l’une des images bibliques les plus fréquentes de la félicité de l’âge à venir est celle d’un banquet au cours duquel les participants pourront manger autant qu’ils le veulent.[21]
Ceux qui avaient mangé auraient sans doute entendu parler d’un miracle semblable rapporté dans l’Ancien Testament.
À cette époque, un homme vint de Baal-Chalicha. Il apporta des vivres à l’homme de Dieu : vingt pains d’orge et de blé nouveau dans son sac, comme premiers produits de la nouvelle récolte. Élisée dit à son serviteur :—Partage ces vivres entre tout le monde et qu’ils mangent. Celui-ci répondit :—Comment pourrais-je nourrir cent personnes avec cela ? Mais Élisée répéta :—Partage ces vivres entre tous et qu’ils mangent, car l’Éternel déclare : « Chacun mangera à sa faim, et il y aura même des restes. »[22]
Comme lors du miracle de l’Ancien Testament, lorsque Jésus a nourri les cinq mille personnes, il y a eu assez à manger pour tout le monde et il y a même eu des restes. La nature abondante de ce miracle se manifeste par la grande quantité de restes, ainsi que par le nombre de personnes qui furent nourries. Chacun des évangiles précise qu’il y avait cinq mille hommes, et Matthieu ajoute qu’en plus des cinq mille hommes, il y avait également des femmes et des enfants :
Ceux qui avaient mangé étaient au nombre d’environ cinq mille hommes, sans compter les femmes et les enfants.[23]
Cela veut dire que le nombre de personnes présentes était sans doute beaucoup plus élevé.
Les Évangiles de Matthieu et de Marc terminent la narration de ce miracle en soulignant qu’une fois les restes de nourriture ramassés, Jésus renvoya rapidement ses disciples en bateau.
Aussitôt après, Jésus pressa ses disciples de remonter dans la barque pour qu’ils le précèdent de l’autre côté du lac, vers Bethsaïda, pendant que lui-même renverrait la foule.[24]
Jean nous donne quelques détails supplémentaires :
Lorsque tous ces gens-là virent le signe miraculeux de Jésus, ils s’écrièrent :—Pas de doute : cet homme est vraiment le Prophète qui devait venir dans le monde. Mais Jésus, sachant qu’ils allaient l’enlever de force pour le proclamer roi, se retira de nouveau, tout seul, dans la montagne. »[25]
Si Jésus a rapidement envoyé ses disciples dans une barque, c’est peut-être parce qu’Il comprenait que ce miracle d’abondance réveillait des passions politiques dans la foule. D’après Jean, la foule voyait en Jésus l’accomplissement de la promesse de Deutéronome 18 :
Je ferai surgir pour eux, du milieu de leurs frères, un prophète comme toi. Je mettrai mes paroles dans sa bouche et il leur dira tout ce que je lui ordonnerai. Si quelqu’un n’écoute pas mes paroles, celles qu’il dira en mon nom, c’est moi qui lui en demanderai compte.[26]
Leon Morris explique :
Les Juifs de l’époque étaient animés d’une ardente ferveur nationaliste, et il ne fait aucun doute que nombre de ceux qui assistèrent au miracle se dirent qu’ils avaient là un chef désigné par Dieu et que c’était lui qui les mènerait et les délivrerait du joug des Romains. Ils se mirent donc en tête de le faire roi.[27]
Bien entendu, comme nous l’avons vu au chapitre 4 de Matthieu, Jésus avait déjà rejeté l’idée d’être un roi terrestre :
Le diable le transporta encore sur une montagne très élevée, lui montra tous les royaumes du monde et leur gloire et lui dit : « Je te donnerai tout cela, si tu te prosternes pour m’adorer. » Jésus lui dit alors : « Retire-toi, Satan ! En effet, il est écrit : C’est le Seigneur, ton Dieu, que tu adoreras et c’est lui seul que tu serviras. »[28]
Ce miracle qui permit de nourrir cinq mille personnes est semblable à certains miracles de l’Ancien Testament—de moments particuliers où Dieu a utilisé et transformé quelque chose qui était à portée de main. Quand Moïse a exigé un signe qui prouverait que Dieu lui avait parlé, Dieu a transformé le bâton de Moïse en serpent.[29] Lorsqu’une veuve a eu de grosses difficultés financières et qu’elle risquait de voir ses fils réduits en esclavage pour payer ses dettes, le prophète Élisée lui a demandé si elle possédait quelque chose de valeur. Elle n’avait rien d’autre qu’un flacon d’huile. Il lui dit alors d’aller emprunter autant de jarres qu’elle pouvait et de verser l’huile de son flacon dans ces jarres. L’huile se multiplia, toutes les jarres furent remplies et elle vendit l’huile pour rembourser ses dettes.[30] Dans le miracle que nous venons de lire, Jésus demanda ce qui était disponible, puis Il multiplia les quelques pains et les poissons pour nourrir une foule immense.
Certes, Jésus a multiplié les pains et les poissons, mais Il a aussi donné l’ordre de ramasser les restes. Jésus a fait confiance à son Père pour subvenir à leurs besoins, mais il n’a pas non plus gaspillé cette abondante nourriture. Nous devrions suivre son exemple sur les deux plans—faire confiance à Dieu pour subvenir à nos besoins, sans pour autant gaspiller ce qu’Il nous a déjà donné. Nous devons être de bons intendants de tout ce que Dieu nous a donné.
Le pouvoir de Jésus sur la nature, démontré par la multiplication des pains et des poissons et par les autres miracles qu’Il a accomplis montre qu’Il venait de Dieu et que son Père agissait par son truchement.
Les œuvres que je fais, celles-là mêmes que le Père m’a donné à accomplir, parlent en ma faveur et montrent que le Père m’a envoyé.[31]
Si je n’accomplis pas les œuvres de mon Père, vous n’avez pas besoin de croire en moi. Mais si, au contraire, je les accomplis, même si vous ne voulez pas me croire, laissez-vous au moins convaincre par mes œuvres, pour que vous reconnaissiez et que vous compreniez que le Père est en moi et que je suis dans le Père.[32]
Ne crois-tu pas que je suis dans le Père et que le Père est en moi ? Ce que je vous dis, je ne le dis pas de moi-même : le Père demeure en moi et c’est lui qui accomplit ainsi ses propres œuvres. Croyez-moi : je suis dans le Père et le Père est en moi. Sinon, croyez au moins à cause des œuvres que vous m’avez vu accomplir.[33]
(À suivre dans Miracles touchant la nature 3ème partie)
Note :
Les passages bibliques cités sont extraits de La Bible Du Semeur Copyright © 1992, 1999 by Biblica, Inc.® Et révision 2000. La Bible Segond 21. La Bible en Français Courant. Avec permission.
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[1] Marc 6.34–44; Matthieu 14.13–21; Luc 9.10–17; Jean 6.1–16.
[2] Matthieu 15.32–38; Marc 8.1–9.
[3] Marc 6.30–44 S21.
[4] Marc 6.7–13.
[5] 1 Rois 22.17 SEM.
[6] Ezéchiel 34.5 SEM.
[7] Nombres 27.16–17 SEM.
[8] Ezéchiel 34.23 S21.
[9] Marc 6.34 S21.
[10] Luc 9.11 SEM.
[11] Matthieu 14.14 BFC.
[12] Marc 6.36 SEM.
[13] Stein, Marc, 314.
[14] Marc 6.37 S21.
[15] Jean 6.5–6 BFC.
[16] Matthieu 8.11 SEM.
[17] Luc 13.29 SEM.
[18] Stein, Marc, 315.
[19] Marc 6.41 SEM.
[20] Jean 6.11 BFC.
[21] Joel Marcus, Marc 1–8: A New Translation with Introduction and Commentary [Une nouvelle traduction avec introduction et commentaires] (New York. Doubleday. 2000), 420. (As quoted in Stein, Marc, 347.)
[22] 2 Rois 4.42–44 SEM.
[23] Matthieu 14.21 BFC.
[24] Marc 6.45 SEM. Voir aussi Matthieu 14.22.
[25] Jean 6.14–15 SEM.
[26] Deutéronome 18.18–19 S21.
[27] Morris, L’Evangile selon Jean, 306.
[28] Matthieu 4.8–10 S21.
[29] Exode 4.1–5.
[30] 2 Rois 4.1–7.
[31] Jean 5.36 BFC.
[32] Jean 10.37–38 SEM.
[33] Jean 14.10–11.