Jésus—Sa vie et son message : Un mariage et du vin
septembre 8, 2015
par span> Peter Amsterdam
Jésus—Sa vie et son message : Un mariage et du vin
[Jesus—His Life and Message: Wedding and Wine]
(Vous pouvez lire l’explication et la présentation d’ensemble de cette série dans l’article d’introduction.)
Après nous avoir présenté les premiers disciples de Jésus, l’Evangile de Jean continue en décrivant un mariage auquel Jésus assiste à Cana, en Galilée. Cana, une bourgade située à environ quatorze kilomètres au nord de Nazareth[1], était la ville natale de Nathanaël (un des tout premiers disciples de Jésus).[2]
Deux jours plus tard, on célébrait des noces à Cana, en Galilée. La mère de Jésus y assistait. Jésus avait aussi été invité au mariage avec ses disciples.[3]
La coutume de l’époque voulait que les festivités de mariage durent de préférence sept jours, et que la plupart des amis de la mariée et du marié restent pendant toute la durée des réjouissances. Bien avant le jour du mariage, le couple s’était fiancé – un contrat d’engagement mutuel qui ne pouvait être rompu que par une procédure de divorce. Le jour du mariage, l’époux emmenait son épouse dans la maison de ses parents. Le soir du premier jour, les proches de la mariée se réunissaient dans la maison de son père et ceux du marié chez le sien. Sous la conduite de « l’ami de l’époux »[4] ou du garçon d’honneur[5], l’époux et ses amis allaient chercher sa fiancée chez son père, puis ils se rendaient chez lui ou chez ses parents, où des festivités avaient lieu. Cette nuit-là, la mariée se retirait sans sa propre chambre. Le lendemain, avait lieu une célébration et à la fin de la journée, un repas de noces était servi. Cette nuit-là, le couple consommait leur mariage dans la chambre nuptiale.[6]
Les écrits juifs parlaient de l’importance du vin pendant des festivités, en particulier pendant les repas du sabbat et les mariages. Dans la Méditerranée antique, les gens coupaient le vin avec de l’eau avant de le servir aux repas, à raison de deux ou quatre parts d’eau pour une part de vin.[7] Généralement, les invités de la noce buvaient jusqu’à tard dans la nuit, et il était donc important d’avoir assez de vin pour les sept jours que duraient les festivités. Il aurait été déshonorant de manquer de vin, ce qui aurait été un sujet de commérage honteux dont les gens auraient parlé pendant des années à venir.[8] Et c’est exactement ce qui arriva au mariage auquel Jésus avait été invité.
Or voilà que le vin se mit à manquer. La mère de Jésus Lui fit remarquer : « Ils n'ont plus de vin. »[9]
Certains commentateurs ont écrit que les paroles de Marie sonnaient comme une accusation, parce que Jésus était venu accompagné de ses disciples, et que c’était de leur faute si le vin était venu à manquer. S’il est vrai que le texte peut être interprété de cette façon, rien ne permet d’en être certain. Il se peut que l’époux ait été quelqu’un de pauvre et qu’il avait servi tout le vin qu’il pouvait se permettre d’acheter en espérant que ce serait suffisant. Quoi qu’il en soit, il était socialement inacceptable d’enfreindre les règles les plus élémentaires de l’hospitalité en ne mettant pas suffisamment de nourriture et de vin à la disposition des invités.
En réponse à la remarque de sa mère, Jésus lui dit :
« Que Me veux-Tu, femme ? Mon heure n'est pas encore venue. »[10]
Cela peut être perçu comme une légère réprimande, comparable à celle qu’Il adresse au fonctionnaire dont le fils était à l’article de la mort. Cette fois-là, Jésus avait dit: « A moins de voir des signes miraculeux et des choses extraordinaires, vous ne croirez donc pas ?»[11] Puis Il guérit l’enfant. Pareillement, la réponse de Jésus à sa mère ne constituait pas un refus. Keener écrit:
La principale raison de cette réprimande doit être que sa mère ne se rend pas compte de ce que ce signe miraculeux coûtera à Jésus; cela L’engage sur la voie de sa destinée, de la croix.[12] Yancey, quant à lui, écrit : A partir de ce moment-là, se met en marche un compteur qui ne s’arrêtera qu’au Calvaire.[13]
La façon dont Jésus s’adresse à sa mère en l’appelant femme n’était pas normal, mais ce n’était pas irrespectueux. En d’autres occasions, Il avait appelé d’autres femmes de la même façon, et toujours sur un ton respectueux.[14] Cette façon de s’adresser à elle était sans doute une manière pour Jésus de marquer une certaine distance entre sa mère et Lui[15], pour bien signifier que leur relation changeait maintenant qu’Il entrait dans son ministère public. Comme la fois où Il avait dit : « Car celui qui fait la volonté de Dieu, celui–là est pour Moi un frère, une sœur, ou une mère. »[16]
Quand Jésus dit que « son heure » n’est pas encore venue, Il fait très probablement allusion à l’heure de sa mort, à sa mission messianique, comme les dix-sept fois où Il parle de sa mort ou d’événements en rapport avec sa mort[17]. Ici, au tout début de son ministère, Il anticipe déjà son aboutissement.[18]
Après que Jésus eut parlé à Marie, elle dit aux serviteurs: « Faites tout ce qu'Il vous dira. »[19] Elle s’attendait à ce que Jésus agisse et qu’Il fasse quelque chose pour remédier à la situation. Le fait qu’elle dise aux serviteurs de suivre les instructions de son fils indiquait qu’elle reconnaissait que Jésus allait accéder à sa demande d’une manière très inhabituelle. Marie agissait avec foi et, ce faisant, elle offrait un modèle approprié de prière, en présentant le besoin et en faisant confiance à Dieu pour répondre comme Il voudrait.[20]
Il y avait là six jarres de pierre que les Juifs utilisaient pour leurs ablutions rituelles. Chacune d'elles pouvait contenir entre quatre–vingt et cent vingt litres. Jésus dit aux serviteurs : « Remplissez d'eau ces jarres. » Ils les remplirent jusqu'au bord.[21]
Les jarres d’eau servaient aux rites de purification. Dans l’Evangile de Marc, nous avons un exemple de ce que ces rites impliquaient :
Des pharisiens et des spécialistes de la Loi venus de Jérusalem se rassemblèrent autour de Jésus. Ils remarquèrent que certains de ses disciples prenaient leur repas avec des mains « impures », c'est–à–dire qu'ils ne s'étaient pas lavé les mains. (En effet, les pharisiens, et les Juifs en général, ne se mettent jamais à table sans les avoir soigneusement lavées ; ils observent ainsi la tradition de leurs ancêtres. De même, en revenant du marché, ils ne mangent pas sans avoir fait leurs ablutions. Ils ont reçu beaucoup d’autres traditions qu’ils observent, comme celles de laver rituellement les coupes, les pots et les vases de bronze.)[22]
Les jarres étaient des grands récipients où l’on stockait l’eau qui servait aux ablutions auxquelles les personnes procéder pour être rituellement pures. L’eau et les jarres devaient être rituellement pures. Si l’une ou l’autre venait à être contaminée, l’eau et les jarres devenaient rituellement impures. Dans ce cas, si la jarre était faite en terre cuite, il fallait la détruire. Si les jarres étaient en pierre, il n’était pas nécessaire de les détruire. Il fallait les nettoyer et on pouvait les réutiliser.[23] Généralement, un foyer possédait une ou deux jarres de ce type, donc, dans une occasion comme celle-ci, il avait fallu emprunter des jarres à d’autres familles du village.
Comme nous le verrons souvent tout au long des Evangiles, Jésus, qui en temps normal observait la loi Juive, n’hésitait pas à faire passer les besoins d’une personne avant l’obéissance à la loi.[24] C’était une de ces occasions. Jésus estimait que dans ce cas précis, il était plus important d’épargner au jeune marié une humiliation et d’éviter que les invités soient mécontents, plutôt que d’observer strictement la tradition de purification par l’eau.[25]
Les instructions de Jésus de remplir les jarres étaient plus faciles à dire qu’à faire. Six jarres contenant chacune 75 à 113 litres d’eau, cela faisait un total de 450 à 680 litres d’eau qui pesaient entre 450 et 680 kilos. Les jarres n’étaient sans doute pas toutes entièrement pleines mais néanmoins, il fallait probablement aller puiser l’eau au puits du village. Cette tâche a dû prendre plusieurs heures. Une fois cette besogne accomplie, le miracle a eu lieu, sans toutefois attirer l’attention des invités.
Alors Jésus dit aux serviteurs : « Maintenant, prenez–en un peu et allez l'apporter à l'ordonnateur du repas. » Ce qu'ils firent.[26] L’ordonnateur du repas était probablement le garçon d’honneur ou quelqu’un de très proche du jeune marié, qui avait la responsabilité de présider aux festivités, et l’une de ses attributions consistait à déterminer dans quelle proportion on devait diluer le vin. Ce maître de banquet aurait observé la façon dont les invités buvaient et il aurait su que les invités avaient tendance à boire davantage au début de la fête et que leurs sens s’émoussaient quelque peu au fil de la soirée, ce qui signifiait qu’à partir d’un certain moment, on pouvait servir du vin de qualité inférieure sans que personne ne s’en rende compte.[27]
L’ordonnateur du repas goûta l’eau qui avait été changée en vin. Il ne savait pas d’où venait ce vin, alors que les serviteurs le savaient, puisqu’ils avaient puisé l’eau. Aussitôt il fit appeler le marié et lui dit : « En général, on sert d'abord le bon vin, et quand les gens sont ivres, on leur donne de l'ordinaire. Mais toi, tu as réservé le bon jusqu'à maintenant. »[28]
A son insu, l’ordonnateur du repas confirme le miracle. Il ne sait pas que le vin provient des jarres remplies d’eau ; tout ce qu’il sait, c’est que c’est un vin de bien meilleure qualité que celui qui a été servi jusque-là. Les serviteurs qui étaient allés puiser l’eau devaient sûrement savoir que c’était un miracle, mais rien n’indique que qui que ce soit d’autre ait été au courant, à part, peut-être, Marie. Nous découvrons par la suite que les disciples l’apprirent eux aussi.
Le miracle accompli par Jésus épargna au marié une humiliation, d’une manière tout à fait remarquable. En termes actuels, Jésus lui fournit entre 605 et 910 bouteilles de bon vin. Un sacré cadeau de mariage ! Il venait de subvenir miraculeusement et généreusement à un besoin, comme nous Le verrons faire à nouveau lorsqu’Il donnera à manger à la multitude.
L’auteur de l’Evangile conclut sur ces mots:
C’est là le premier des signes miraculeux que fit Jésus. Cela se passa à Cana, en Galilée. Il révéla ainsi sa gloire, et ses disciples crurent en Lui.[29]
Dans son Evangile, Jean se réfère aux actes et aux miracles de Jésus en les appelant des « signes ». Le mort grec, qui a été traduit pas signe, est sēmeion, qui, dans le contexte qui nous intéresse, désigne un signe « de miracles et de prodiges par lesquels Dieu authentifie les hommes qu’Il a envoyés, ou par lesquels les hommes prouvent que la cause qu’ils défendent est celle de Dieu. » C’est un mot dont la racine sēmainō veut dire signifier, faire connaître.
Un autre exemple, où les signes accomplis par Jésus étaient perçus comme une authentification de la part de Dieu, était la fois où Nicodème dit: « Maître, nous savons que c'est Dieu qui T'a envoyé pour nous enseigner car personne ne saurait accomplir les signes miraculeux que Tu fais si Dieu n'était pas avec lui. »[30] Nous en verrons un autre exemple un peu plus loin, dans le même Evangile de Jean: Là–dessus, quelques pharisiens déclarèrent : « Cet individu ne peut pas venir de Dieu, puisqu'Il ne respecte pas le sabbat. » Pourtant d'autres objectaient : « Comment un homme pécheur aurait–il le pouvoir d'accomplir de tels signes miraculeux ? » Ils étaient donc divisés.[31] Les signes accomplis par Jésus indiquaient que Dieu était à l’œuvre à travers Lui; que ces signes provenaient de Dieu et indiquaient la présence de Dieu, et par conséquent, ils faisaient naître la foi. Dans ce cas précis, les disciples qui L’accompagnaient crurent en Lui.
Les signes miraculeux manifestent aussi la gloire de Jésus. Un peu plus tôt dans son Evangile, Jean nous dit que Celui qui est la Parole est devenu homme et Il a vécu parmi nous. Nous avons contemplé sa gloire, la gloire du Fils unique envoyé par son Père : plénitude de grâce et de vérité ![32] La description de Jean des premiers signes miraculeux de Jésus parle de la manifestation de sa gloire, tout comme le dernier miracle mentionné dans son Evangile—la résurrection de Lazare d’entre les morts. Jésus lui répondit : « Ne te l'ai–Je pas dit : Si tu crois, tu verras la gloire de Dieu ? »[33]
Un peu plus tôt, Jésus avait dit à ses disciples qu’Il était l’échelle de Jacob, la passerelle entre Dieu et le monde.[34] Ce premier miracle nous donne un aperçu de ce qu’Il voulait dire lorsqu’Il déclarait : « Oui, vraiment, Je vous l’assure, à partir de maintenant, vous verrez le ciel ouvert et les anges de Dieu monter et descendre entre ciel et terre, au service du Fils de l’homme. »[35] L’histoire ne fait que commencer.
NB :
Sauf indication contraire, les passages bibliques cités sont extraits de la Sainte Bible, version du Semeur, copyright ©2000 par Société Biblique Internationale. Tous droits réservés. Avec permission. Les autres versions citées sont la Bible Segond 21 (SEG21), La Bible en Français Courant (BFC), et Parole Vivante (PVV).
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[1] Il existe deux anciennes villes que les érudits supposent être la Cana de l’Evangile : Kefar-Kenna, située à environ 6,5 kilomètres de Nazareth, et Khirbet-Kana. Il semble que les documents historiques fassent pencher la balance en faveur de Khirbet-Kana. Keener, The Gospel of John [L’Evangile de Jean], 496.
[2] Simon Pierre, Thomas (surnommé le jumeau), Nathanaël de Cana en Galilée, les fils de Zebédée, et deux autres de ses disciples étaient ensemble. (Jean 21:2).
[3] Jean 2:1–2.
[4] Jean 3:29.
[5] Juges 14:20.
[6] D. J. Williams in Green and McKnight, Dictionary of Jesus and the Gospels [Dictionnaire de Jésus et des Evangiles], 87.
[7] Keener, The Gospel of John [L’Evangile de Jean], 501.
[8] Idem, 502.
[9] Jean 2:3.
[10] Jean 2:4 SEG21.
[11] Jean 4:48.
[12] Keener, The Gospel of John [L’Evangile de Jean], 504.
[13] Yancey, The Jesus I Never Knew [Ce Jésus que je ne connaissais pas], 168.
[14] Jean 4:21, 20:13–15; Matthieu 15:28; Luc 13:12.
[15] Morris, The Gospel According to John [L’Evangile selon Jean], 158.
[16] Marc 3:34–35.
[17] Jean 2:4; 4:21, 23; 5:25, 28; 7:6, 8, 30; 8:20; 12:7, 23, 27; 13:1; 16:2, 21, 25, 32; 17:1.
[18] Morris, The Gospel According to John [L’Evangile selon Jean], 160.
[19] Jean 2:5.
[20] Milne, The Message of John [Le message de Jean], 63.
[21] Jean 2:6–7.
[22] Marc 7:1–4.
[23] Lévitique 11:32.
[24] Matthieu 12:1–8; Marc 3:1–5; Luc 13:10–17; 14:1–6; Jean 5:1–18; 7:22–24.
[25] Keener, The Gospel of John [L’Evangile de Jean], 513.
[26] Jean 2:8.
[27] Keener, The Gospel of John [L’Evangile de Jean], 514.
[28] Jean 2:9–10.
[29] Jean 2:11.
[30] Jean 3:2.
[31] Jean 9:16.
[32] Jean 1:14.
[33] Jean 11:40 BFC.
[35] Jean 1:51 PVV.